JUSTICE POUR NADEGE CHEVALLEREAU, victime et témoin d'un CRIME DE BIENS !
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Auteur(s) :
Anabelle C.
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Destinataire(s) :
Emmanuel Macron (Président de la République)
Eric Dupond-Moretti (EX garde des Sceaux, Ministre de la Justice )
Marlène Schiappa, Eric Corbaux
La pétition
Le 12 août 2009, Nadège a perdu son mari dans des circonstances tragiques, la laissant seule avec son petit garçon de 4 ans.
Trois mois après le décès de son époux, Nadège a été victime de délits de faux avec usage de faux et d'abus de confiance de la part de son notaire et de 3 salariés d'une agence du Crédit Mutuel Océan ; ils ont détourné des fonds de la succession de son défunt mari dont leur but a été "sûrement" de s'enrichir ; en effet, son notaire lui avoua avoir gagné de l'argent sur la succession de son mari !
Dans leur malheur, suite à l'intervention d'un avocat d'affaire peu scrupuleux, deux salariés d'une autre agence de la Caisse d'Epargne s'interféraient dans leurs affaires afin de leur soustraire des biens ; pendant 12 ans, elle va devoir lutter contre les conséquences de ces délits "voyous à col blanc" mais aussi protéger son fils car malgré le deuil et les atermoiement liés à la succession qui les affligent, elle et son fils vont se soutenir mutuellement ne pouvant compter que sur eux même.
Elle déposa plainte fin août 2010, l'enquête démontra qu'il y avait irrégularité dans sa situation et malgré les charges accablantes contre les auteurs, une ordonnance de non lieu fut prononcée au bout de 7 ans, le 6 septembre 2017 ; leurs droits furent bafoués durant ces 7 longues années et leur condition de vie durcit. (Déni de justice / irresponsabilité du délai d'enquête en violation de l'art. 6 CEHD)
Nadège ne baissa pas les bras et aidée d'un soutien et ami, Serge R., ils vont reprendre toute l'enquête et obtenir de la directrice des greffes de la Cour d'appel de Poitiers en avril 2018, la signature et l'apposition du tampon "TGI de Poitiers" sur tous les documents frappés de faux (gros volume).
Dans un délai de 30 jours, par LRAR, elle prévînt les auteurs d'inscription en faux , de faire usage ou non de l'acte prétendu faux ou falsifié et/ou revenir sur leur déclaration ; aucun ne répondit, le doute lui profitant, elle demanda au Tribunal Correctionnel de la Roche sur Yon à rentrer en voie de condamnation. Seulement, elle ne trouva aucun huissier en Vendée pour délivrer les assignations. Elle découvrit plus tard que les huissiers sont achetés par les banques.
Il lui faudra attendre la crise sanitaire du COVID 19, mars 2020, pour que son avocate de l'époque se pencha véritablement sur son dossier pour constater qu'il s'agissait d'un délit de recel successoral (captation d'héritage) prenant origine avant le décès de son époux.
Bien que réquisitionnée comme agent de soin (au SMIC) auprès des structures d'un hôpital, elle va demander un 2ème avis auprès d'un avocat nantais qui, gracieusement (rare dans cette profession) en février 2021, va lui confirmer le recel successorale mais soulever un CRIME de Biens ; il lui demanda de remonter le fil de son histoire avant le décès de son mari jusqu'à trouver le dénominateur commun de ce crime. En effet, elle va découvrir qu'il y a eu deux autres décès avant son mari, les personnes sont décédées à 6 jours d'intervalles, deux carabines une volée l'autre découvert sur le côté d'une cuve à fuel, une captation d'héritage par une veuve d'un des défunts.. etc.. Le dénominateur commun aux trois décès est le NOTAIRE et pour deux d'entre eux l'agence CMO..
Nadège conclut à la criminalité de l'affaire et souhaiterait l'intervention d'un juge d'instruction car trop de coïncidence... Sans rentrer dans les détails, elle s'est fait dépouillée, tout récemment, des fonds de son bien locatif hérité de feu son mari par une notaire (ancienne salariée du 1er précité ci dessus semble t il ?!) (une honte cette profession) avec l'aide d'un huissier dans une mise en scène grotesque. Nadège a déposé plainte pour prise d'intérêt illégal.
En tout, ce n'est pas moins de 260 000 € qui lui ont été volés, une quinzaine de procédure devant le tribunal civil conséquence des faux ; elle a dû faire face à d'énormes conflits d'intérêts.
Durant 12 ans et jusqu'à tout récemment, Nadège et son fils ont été matraqués, salis, diffamés par les auteurs et à ceux qui voulaient bien les écouter, propager des rumeurs sur cette veuve et son fils aux fins de compliquer leurs existences et surtout détourner les soupçons afin de ne pas montrer son vrai visage.
Pendant 12 ans, elle n'a bénéficié d'aucune allocation veuvage ni de pension retraite car trop jeune (39 ans) quand son mari est décédé. Aucun soutien de son proche entourage l'a lâchement abandonné. Auraient-ils quelque chose à se reprocher ?? Seuls deux couples d'amis lui viennent en aide.
La maltraitance est un mauvais traitement (occasionnel, durable ou répété) infligé à une personne que l'on traite avec violence, mépris ou indignité ; cela implique un pouvoir ou domination entre l' ou les auteurs et la victime souvent dépendante et sans défense, lié à l'abus de pouvoir.. Mais dans ce cas ci, il s'agit d'un crime non résolu dont Nadège et indirectement son fils en subissent toutes les conséquences.
Son état de santé, physiologique et psychique, est altéré ; elle ne dort pas bien et s'inquiète pour son fils car il pourrait bien être le prochain dans le viseur. Son fils âgé aujourd'hui de 15 ans a été son plus grand soutien et c'est pour lui qu'elle a tenu.
A 52 ans bientôt, elle souhaiterait que tout s'arrête... Seulement "ils" veulent sa mort parce qu'elle est un TEMOIN !
Nadège a écrit plusieurs fois aux Ministres de la Justice, Mme TAUBIRA et Mr DUPONT MORETTI et pour réponse la séparation des pouvoirs empêchant toute intervention dans cette affaire .. Les dysfonctionnements des services judiciaires et le déni de justice auxquels a été confrontée Nadège, empêchée dans son droit à la justice, doivent être sanctionnés afin de ne plus se répéter.
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