Mettre fin aux ventes à la sauvette à la gare de Saint-Denis

<span;>Monsieur le Maire,
<span;>Monsieur le Préfet,
<span;>Monsieur le Ministre de l'intérieur,
<span;>Monsieur le Ministre de la Justice,

<span;>Les villes de la 1ère couronne parisienne connaissent des réalités différentes mais partagent un fléau commun: la massification de la vente à la sauvette.

<span;>Dans notre ville, le quartier de la gare de Saint-Denis concentre les principales nuisances lié à ce fléau : saturation de l'espace public, violences diverses et notamment entre vendeurs, dégradation du mobilier urbain, insultes et remarques sexistes, etc.

<span;>Les usagers des transports en commun comme les riverains de la gare n'en peuvent plus d'être les victimes quotidiennes de personnes souvent dans un état second en raison de consommation excessive d'alcool ou de drogue.

<span;>Les usagers des transports en commun comme les riverains n'en peuvent plus de voir la Police Municipale de la Ville, seule, tenter d'enrayer une vague qui submerge tout.

<span;>La ville a tenté de prendre des arretés anti attroupements qui ont été invalidé par la justice après une procédure intentée par idéologie par des associations extérieures à notre ville. Ils n'étaient pas suffisants mais donnaient un signal qui allait dans le bon sens.
<span;>Aujourd'hui la ville, l'Etat avec sa Police et enfin la Justice, doivent venir à notre secours.

<span;>Nous, habitants et usagers du quartier de la gare de Saint-Denis, dénonçons la situation de notre quartier et demandons :
<span;>- des actions quotidiennes, fortes et conjointes des Polices Municipales et Nationales pour empêcher le commerce illégal sur l'espace public de la gare de Saint-Denis
<span;>- des sanctions judiciaires immédiates, fortes, pérennes et impitoyables contre les revendeurs
<span;>- la mise en oeuvre d'arrêtés interdisant les regroupements sur l'espace public sur les parvis de la gare
<span;>- la fin de l'impunité pour les voyous qui fâchent la vie des habitants

<span;>Monsieur le Maire, Monsieur le Préfet, Messieurs les Ministères, nous avons besoin de vous, il est temps d'agir !