Préambule
Avant toute chose, il convient de dire que M. Bessou est traité avec respect et dignité par le personnel de l’hôpital. Cette pétition ne le met donc point en cause, et ne devrait pas être perçue de cette façon là.
De même, nous faisons la part des choses. Il ne s’agit pas même si de telles situations, graves, impliquant des enfants, sont encore irrésolues malgré les preuves et dénonciations qui sont en ligne depuis des années, ce qui entache nécessairement les administrations et l’État de droit ; il ne s’agit pas malgré cela de mettre en cause le personnel tout entier d’une institution quelle qu’elle soit ou de la force publique. Il y a majoritairement des personnes honnêtes dans tous les corps de métier ! Seuls ceux qui se rendent coupables de méfaits, que la morale interdit et que la loi réprime, doivent être mis en cause. C’est justice, et c’est ainsi que cette pétition devrait être perçue.
Exposé
Jean-Michel Bessou est un militant. Mais avant d’être un militant, il est un bienfaiteur. Pas parce qu’il donne de l’argent à une œuvre, mais parce qu’il fait don de lui-même à son prochain : il fait le bien autour de lui.
Ainsi il est connu de la force publique pour avoir empêché le suicide d’une dame et cela par deux fois. Il est également vérifiable qu’en 2021 il a procédé à la restitution de tous ses papiers et d’une somme d’argent à une jeune femme SDF qui avait tout perdu.
Il est aussi connu pour ses dossiers étayés qu’une gendarmerie de la région parisienne reprendra pour demander l’ouverture d’une enquête au TGI de Bordeaux, concernant la production de faux et usages de faux, une escroquerie au jugement, et un signalement abusif dans une affaire de placement d’enfant.
Musicien mais aussi écrivain, Jean-Michel Bessou a un attrait pour l’honnêteté et donc pour la vérité. Travailleur acharné, enquêteur, ses dossiers révèlent les pratiques frauduleuses à l’origine du placement de certains enfants par certains travailleurs sociaux, notamment membres de l’ASE et de certaines associations, lesquels font des rapports subjectifs ou infondés qui peuvent induire en erreur la police ou la magistrature. Il écrit ces dossiers afin d’aider à disculper les parents qui sont souvent, par un procédé d’inversion, accusés d’un tort ou d’une précarité dont ils sont en réalité victimes, dans l’espoir que leurs enfants placés frauduleusement leur soient rendus ou ne leurs soient pas enlevés.
Dans ces affaires on retrouve typiquement, dans de faux rapports de travailleurs sociaux, cette inversion des culpabilités, assortie de détails montés en épingle par un procédé rhétorique dont le but est de faire passer pour fous des parents sains d’esprit, qui cherchent simplement à faire valoir leurs droits. Les professionnels qui ne corroborent pas ce récit sont souvent ignorés. Pire encore, les enfants se retrouvent souvent abusés sexuellement dans les foyers où ils sont placés. Face à cela et malgré les preuves, la fonction publique se révèle incompétente (l’affaire Yuna en est un exemple flagrant). Le film de Karl Zero « 1 sur 5 » (2021) touche à ces sujets sensibles évoquant la perte de valeur de la parole de l’enfant depuis l’affaire Outreau ainsi que par l’utilisation d’un faux « syndrome d’aliénation parentale » qui n’est pas reconnu officiellement par la médecine, et contient le témoignage d’une mère qui a fuit la France pour protéger ses enfants de tels abus.
Ces familles brisées et bien souvent laissées pour compte par l’État, Jean-Michel Bessou les défend. Pour effectuer ce travail il n’a qu’un téléphone, et insiste pour ne rien recevoir en retour. Il vit modestement de cours de musique qu’il dispense occasionnellement dans son tout petit appartement à Bordeaux. Il ne se repose qu’un jour par semaine, et le reste du temps, il œuvre au bien. Car c’est son habitude, sa nature, son art.
De cette façon, il a pu empêcher le placement abusif de plusieurs enfants, aidant plusieurs parents à prouver auprès de la justice, preuves à l’appui, qu’ils étaient responsables et bienveillants.
Il convient de noter que Jean-Michel Bessou se montre toujours poli et respectable envers les employés de nos institutions. La colère et l’indignation des parents qui subissent avec leurs enfants les abus que nous décrivons, mue en dénonciation parfois énergique faute de réponse institutionnelle, il leur donne une voix par des textes étayés, argumentés, avec toutes les preuves, tournés dans ce même esprit non pas de conflit mais bien de respect.
Il est donc bien un facteur de paix dans notre société.
Parmi ce qu’il expose, il y a les abus d’une association du sud-ouest de la France dont les enfants accueillis ont été maltraités. Abus de psychotropes, prolifération de la violence et des injures antisémites (!) Malnutrition, voilà ce qu’ont subi les enfants de deux centres éducatifs du sud-ouest géré par cette association. Ces centres furent fermés provisoirement par arrêté préfectoral en 2017. Une telle association, gérant ce type de foyer, est encore aujourd’hui habilitée à faire des enquêtes sociales, ce qui la place en conflit d’intérêt car rendant le placement d’enfant intéressé financièrement plutôt que motivé par l’intérêt supérieur de l’enfant (et quel intérêt supérieur, s’ils sont dans des centres aussi mal gérés). Pour un exemple de telles maltraitances, le reportage de France 3 « Enfants placés : les sacrifiés de la république » (2019) présente le cas d’un foyer d’Eysines près de Bordeaux. Un scandale comparable avait éclaté dans ce même centre à Eysines en 2017.
Hélas la vérité dérange, même si elle est énoncée avec égard et politesse. Ce n’est pas Orwell qui dira le contraire.
Un post Facebook, sans doute écrit sous le coup de la colère mais ne contenant aucun nom, n’ayant pas été partagé car son auteur reconnut qu’il n’avait pas une grande valeur, fut à l’origine d’une convocation au commissariat. Jean-Michel y prononça certaines vérités, ce qui indispose et mena à une garde à vue. Puis un médecin psychiatre vint pour l’expertiser, mais il n’avait pas les éléments factuels nécessaires pour porter un diagnostic aussi objectivement qu’il l’aurait voulu. D’ailleurs, trois jours après, un nouveau certificat médical constate que M. Bessou est calme, sociable, et que son discours n’est pas délirant.
Interné abusivement comme l’ont été de nombreuses personnes considérées comme dissidentes avant lui, M. Bessou reconnaît toutefois les bienfaits d’un traitement léger, qui égalise son humeur altérée par long surmenage. Il est traité de façon respectueuse par l’hôpital psychiatrique, dont le personnel bienveillant a compris qu’il faut prendre en compte son tempérament original qui lui vient de sa nature d’artiste.
Bien qu’il assume son internement avec calme et philosophie, M. Bessou aimerait retrouver son quotidien, ses amis, ses élèves, ses voisins avec lesquels il entretient des relations amicales et sa petite chatte Mina qui est actuellement nourrie par un cousin charitable auquel M. Bessou est bien reconnaissant.
Remarques
Ce qui indispose, sans rentrer dans les détails, c’est la dénonciation de personnes faisant partie de réseaux pédocriminels.
Lorsqu’il est parfois question de tels réseaux, la réaction est souvent de crier au complotisme. Mais nous ne sommes pas sans savoir qu’il y a des pédocriminels dans toutes les strates de la société. Tout comme la drogue, lorsqu’il y a de la demande, il y a un trafic. Il est donc bien normal qu’un ou plusieurs réseaux organisent donc le trafic d’enfants.
Le placement d’enfants peut être et est une passerelle vers de tels réseaux. Il est plus facile de croire en la folie de ceux qui parlent de ces sujets, que de les explorer avec la profondeur qu’ils méritent. Que de regarder en face ces horreurs, largement tués par nos autorités et médias. Car puisqu’il y a des pédocriminels dans toutes les strates de la société, il y en a tout en haut de celle-ci. Ces personnes sont tout simplement protégées, ce qui signifie par conséquent que, le trafic, est protégé.
Il n’y a rien d’exceptionnel ni de complotiste à remarquer cela. Pourtant ces réseaux doivent être défaits, car la morale et la justice l'imposent.
Ce qui indispose est également les pratiques sectaires d’une association comme celle dont nous avons parlé dans le sud ouest, caractéristique d’une idéologie de persécution des pauvres afin de leur prendre leurs enfants. L’association Olga Spitzer est elle-même l’objet de bien des controverses.
Dans la plupart des départements français, on trouve de telles associations privées qui jouissent d’une autorité excessive qui nous semble incompatibles avec les libertés individuelles de chaque citoyen. Plutôt que sur les rapports souvent subjectifs voire intéressés de telles associations, les juges des enfants devraient pouvoir s’appuyer sur des rapports objectifs et incontestables, car cela seul peut assurer que l’intérêt supérieur des enfants sera respecté.
Le bonheur des enfants prime toute autre considération.
Demande
Nous demandons donc la libération immédiate de Jean-Michel Bessou.
Il est un homme de vérité et de bien. En France, le pays dit des droits de l’homme et à l’histoire riche de bonté et de paix, on interné abusivement des bienfaiteurs. Cela est inadmissible et ne doit jamais être accepté.
Nous nous en remettons à l’honneur de nos institutions, de la force publique, et de la justice pour que la vérité et le bien prennent la place du mensonge, du mal et de la corruption.
Justice pour le peuple de France et ses enfants.
Justice pour ceux qui les protègent par simple charité.
Signez la pétition, merci !