Pour la reconnaissance internationale du génocide Aborigène et qu'il soit déclaré crime contre l'humanité

Pour la reconnaissance internationale du génocide Aborigène et son classement comme crime contre l'humanité


UN Headquarters
First Avenue at 46th Street
New York, NY 10017
USA

A son excellence Monsieur Ban Ki Moon secrétaire général de l'Organisation des Nations Unies

Excellence il fallut attendre 1962, et le Commonwealth Electoral Act, le Premier ministre australien Robert Menzies, afin que le peuple Aborigène ne soit plus inscrit dans la catégorie, faune et flore et qu'enfin il lui fût reconnu sa pleine et entière humanités. Je tiens également à saluer le courage de cette déclaration du premier ministre australien mais qui n'est pas une reconnaissance de génocide

LE 16 février 2008

Le Premier ministre du Ministre Australien, Kevin Rudd, s'adressant aux Aborigenes Au nom du Gouvernement Australien.
Je déclare la chose suivante, la demande d'excuse formelle et historique donnée au peuple Aborigène d'Australie moi Premier Ministre Kevin Rudd pour le compte de son Parlement et le gouvernement australien.

Aujourd'hui nous honorons les peuples Indigènes et natifs de cette terre, les cultures ininterrompues les plus vieilles dans l'histoire humaine.

Nous réfléchissons sur leurs mauvais traitements passés.

Nous refléchissons en particulier sur le mauvais traitement d'entre ceux qui étaient des générations volées - ce chapitre honteux dans notre histoire nationale.

Le temps est maintenant venu pour la nation de tourner une nouvelle page dans l'histoire de l'Australie en corrigeant les maux du passé et ainsi avançant avec la confiance dans l'avenir.

Nous présentons des excuses pour les lois et les politiques des Parlements successifs et les gouvernements qui ont infligé de profonds chagrins, subissant de grandes souffrances par nos faits contre les Australiens natifs.
Nous faisons des excuses particulièrement pour le déplacement forcé d'Aborigènes et des enfants d'Insulaire du Détroit des Sommets de roche: En 1847, le barrister E.W. Landor déclarait : « Nous nous sommes emparés de ce pays, nous avons abattu ses habitants, jusqu'à ce que les survivants aient jugé sage de se soumettre à notre autorité. Nous nous sommes comportés tel Jules César lorsqu'il prit possession de la Grande Bretagne. » Dans la plupart des cas, affirme Reynolds, les Aborigènes commencèrent par résister à la présence britannique. Un colon écrivit dans une lettre au Launceston Advertiser en 1831 :
« Nous sommes en guerre contre eux ; ils nous considèrent comme des ennemis - des envahisseurs ; ils considèrent que nous les opprimons et que nous les persécutons ; ils résistent à notre invasion. Ils n'ont jamais été vaincus, et donc ils ne sont pas des sujets en rébellion, mais une nation injuriée, et ils défendent, à leur manière, les possessions qui sont les leurs de droit et qui leur ont été arrachées par la force. Les maladies européennes imposées, tuèrent des Aborigènes en très grand nombre et l'occupation de terres, accompagnée de l'accaparement ou de la destruction de ressources alimentaires, provoqua des famines les séparations forcées des enfants aborigènes à leurs parents, la distribution d'alcool pour les rendre bêtes et imbéciles afin de les spolier de leurs terres .

Avec des millions de citoyens et citoyennes à travers le monde nous demandons aux nations unies que le génocide du peuple Aborigène soit enfin reconnu sur le plan international !

Veuillez croire excellence en ma très respectueuse considération

Selim Al