Pervers narcissique (PN)
Si la loi reconnaît les violences psychologiques, elle ne permet pas de dévoiler les manipulations des PN et donc, rend l’infraction difficile à prouver. Soutenez des êtres humains en grande souffrance en signant cette pétition qui sera soumise à nos législateurs afin d’obtenir des outils législatifs plus performants et mieux adaptés aux fonctionnements des PN pour mieux les confronter.
Des hommes, des femmes, insidieusement intégrés dans la société, au sein même de nos familles et parmi nos amis(es), dans les entreprises publics et privées, ils ou elles sont partout. Chaque jour on en découvre un peu plus, comme la peste et le choléra réunis, leur besoin de détruire leur victime, de s’acharner sur leur proie est insatiable. Cette méchanceté innée et démesurée n’est malheureusement visible trop souvent, que par ceux et celles qui souffrent sous leurs coups de bâton psychologique mais parfois aussi physique. Tout le monde a pu en croiser au moins une fois dans sa vie, mais les masques qu’ils ou qu’elles portent ne permettent pas au commun des mortels de les identifier.
Si l’on dit que l’âge peut apporter la sagesse, pour les pervers narcissiques, l’âge aggrave davantage leurs soif d’assouvir leurs appétits de façon inexorable. La plupart des pervers narcissiques sont inconscients de leur problème et sont persuadés d'agir pour le bien des autres (une minorité est sadique et prend plaisir à faire souffrir les autres). Pour le PN, les autres (hommes, femmes, enfants) ne sont que des moyens d’atteindre ses objectifs, jusqu’à se servir des enfants pour détruire un parent. Conséquence désastreuse pour les enfants soumis à la garde du parent PN.
Le ou la PN est un(e) grand(e) manipulateur(trice) et donc aussi un(e) menteur(se) et représenteraient environ 10% de la population. Il ou elle ne se remet jamais en question, se fait passer pour la victime et va jusqu’à faire passer sa propre victime pour le bourreau. Trop d’affaires, en justice ou devant des représentants de l’ordre, rendent les victimes encore plus victime de par la méconnaissance et l’incompréhension du fonctionnement des PN.
En 1986, le terme de "perversion narcissique" a été utilisé la première fois dans un ouvrage du psychanalyste français Paul-Claude Racamier. Il définissait cette pathologie comme "la propension active du sujet à nourrir son propre narcissisme aux dépens de celui d'autrui". En 1998, une autre psychanalyste Marie-France Hirigoyen, évoque dans son livre ″Le harcèlement moral : la violence perverse au quotidien″, les effets destructeurs (souffrance, dépression, traumatisme psychique, suicide) provoqués par les pervers narcissiques, identifiés à des prédateurs, sur le psychisme de leurs victimes en milieu conjugal, familial, éducatif et professionnel.
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