Remise en liberté du gardien de la paix mis en examen pour avoir sauvé des gens
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Vincent Khalifat
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Destinataire(s) :
Gérard Collomb et le Ministère de l’intérieur
La pétition
La course-poursuite s’est terminée dramatiquement vers 23 heures non loin de la butte Montmartre. Un automobiliste de 26 ans a été tué par un policier dans la nuit de mardi à mercredi, à Paris, après avoir refusé de s’arrêter à un contrôle, comme l’a révélé mercredi Europe 1.
Selon des sources proches de l’enquête, tout commence un peu plus tôt dans le quartier des Halles, où trois fonctionnaires à pied effectuent un « contrôle routier ». Ils aperçoivent une Renault Modus, « avec un feu défectueux ». Mais son conducteur refuse, semble-t-il, de s’arrêter, accélérant même pour « renverser la patrouille ». Un jeune gardien de la paix âgé de 23 ans, Kévin, demande alors au conducteur d’un scooter de prendre le véhicule en chasse. Et monte à l’arrière. La course-poursuite traverse plusieurs arrondissements du centre de Paris, le fuyard prenant des « rues à contresens à vive allure ». Le conducteur de la voiture se retrouve finalement ralenti par la circulation rue Condorcet (IXe). Le policier bondit de son scooter, se positionnant à la hauteur de la portière avant.
Le policier décide de le prendre en chasse lorsque l’automobiliste manque de percuter plusieurs piétons.
L’automobiliste aurait alors enclenché la marche arrière et percuté le scooter dans sa manœuvre. C’est pour, dit-il, protéger le propriétaire du deux-roues que Kévin tire une balle de 9 mm qui traverse l’épaule avant de se loger dans le thorax du conducteur. Ce dernier, originaire de Draveil (Essonne), meurt sur le coup.
Le gardien de la paix, âgé de 23 ans, a été mis en examen et il n’a plus le droit d’exercer sa profession.
Cette mise en examen révèle qu’il y a bien un problème au sein de notre système judiciaire.
Si ce gardien de la paix n’avait pas fait usage de son arme, serait-il encore en vie aujourd’hui ? Combien de piétons auraient été écrasés ?
Aujourd’hui, ce gardien de la paix est « désespéré » car il a tué quelqu’un mais aussi désespéré car il est traité comme l’un des pires délinquants de France... alors qu’il n’a fait que son travail qui est de protéger les citoyens.
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Assez de laxisme en France que les policiers défendant comme il se doit l'état et le citoyen ne soit plus mis en doute quand il les défendent.
10
Le 19/08/2018 à 03:00:19
Soutien à ce policier. Le conducteur était un fuyard récidiviste qui refusait systématiquement de se soumettre aux contrôles de police. Il a délibérément reculé sur le policier qui était donc en état de légitime défense. La justice et les medias doivent cesser de défendre les voyous et de sanctionner nos forces de l'ordre. Devant ce délit de fuite, le policier n'était pas censé savoir s'il s'agissait d'un terroriste en puissance et si la voiture était volée. La France est devenue un pays de non-droit où la racaille fait sa propre loi au détriment des honnêtes citoyens.
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