Rétablir la confiance entre la Justice, pour une justice respectant l'article 6 de la CDEH
Pétition
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Auteur(s) :
Clara ( nom d'emprunt) Les desenfantes en colère
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Destinataire(s) :
Aux journalistes et médias belges (presse écrite, télévisée, radiophonique et en ligne spécialisés dans la justice, les droits humains et les politiques sociales), Au délégué des droits de l'enfant, Aux associations de défense des droits humains des enfants et des femmes, (Amnesty international, UNICEF, le DEI ( défense des enfants international), coordination des ong pour les droits des enfants) vie féminine, femmes de droit. ..) Au Conseil supérieur de justice, Au Conseil d'État, Au Ministre de l'Intérieur, Au Centre pour l'égalité des chances ( Unia), et la lutte contre le racisme, Aux parlementaires (Députés et Sénateurs), A la Commission européenne des droits de l'homme, A la Convention internationale des droits de l'enfant, A la Cour constitutionnelle ( article 22) Au Comité pour la prévention de la torture (CPT),
La pétition
LETTRE OUVERTE
-Aux journalistes, au conseil supérieur de la Justice (dont le but est de rétablir la confiance entre le peuple et la Justice) , aux organismes de contrôle de l'indépendance de la justice, au sénat, à la cour constitutionnelle ( questionnement sur le respect de l'article 22 en Belgique) ,
Madame, Monsieur,
Je me permets de vous adresser cette lettre ouverte pour dénoncer la souffrance vécue par des milliers de familles, comme la mienne, prises dans un système judiciaire qui, souvent, ne respecte pas l’intérêt supérieur de l’enfant, mais qui accorde une trop grande importance à des rapports erronés et des décisions précipitées.
Cela fait 13 ans que le père de ma fille et sa famille me combattent, et tous les moyens sont bons. Pourquoi les SPJ n'ont-ils aucun discernement ?
J'ai confié mon enfant de ma propre initiative lorsque j'ai eu le baby blues et que j'étais en situation précaire.
J'ai dû prouver mon engagement par des efforts constants, tandis que le père et sa famille, qui savent bien parler, ont systématiquement bénéficié de la confiance des autorités. ( Fausses preuves détournées et decontextualisees, calomnies) . Cela a suffi pour que je me retrouve sur le banc des accusés, alors qu'au départ, j'avais bien demandé de l'aide.
Les psychologues qui me suivaient soutenaient activement ma démarche et étaient favorables au retour de ma fille. Cependant, dans les tribunaux et face à la partie adverse, personne ne me crédite auprès de ma fille.
Le SPJ m'impose, a posteriori, une transparence totale, sous peine de sanctions si je ne divulgue pas tous les détails de ma vie privée, de A à Z, alors même qu'on ne me pose pas ces questions (concernant, par exemple, ma situation familiale élargie, la décoration d'une de mes pièces, le nombre de chaussures, etc.) et qu'on me rassure en me disant que ma fille va bien. Par ailleurs, on n'encourage même pas mon enfant, à un âge où elle est naturellement rebelle, à s'exprimer sur ce qui ne va pas.
Non. Le tribunal de la jeunesse a décidé de couper le lien avec ma fille, sans m'écouter, sur la seule base d'un signalement émanant d'une des parties, auquel je n'ai même pas eu accès.
Et cela, sans aucun droit à un contradictoire. Cette partie me combat ( à tort) depuis 13 ans, alors que je supplie aux médiations, aux pardons, à la paix, au moins courtoise. Pour le bien d'un enfant qui n'a rien demandé.
Transparence / invisibilité.
J'ai demandé à être entendue a posteriori, mais je suis traitée comme une manipulatrice, sans même avoir été écoutée. Pourquoi ?
On me demande d’être transparente, mais ce qui me semble plutôt être un contrôle excessif non point mis en oeuvre de maniére bienveillante, sans le bénéfice du doute, et cela sans tenir compte du renforcement positif, nécessaire à tout rétablissement. Pourquoi ?
On ne me pose aucune question, et je découvre tout à charge le jour des audiences.
Parfois, j'ai la chance de recevoir les documents deux jours avant, la raison invoquée étant : "Cela 'est toujours passé comme ça". " Ce dysfonctionnement est là depuis trop longtemps."
Est-ce une raison suffisante pour perpétuer une injustice en ne laissant pas un temps raisonnable pour une défense équitable ? Pourquoi ?
Parce que la demande qu’on me fait, d’être transparente, de dire la vérité, c’est en réalité une demande d’invisibilité.
On me demande d’être invisible. Aujourd’hui, je suis donc "transparente": me voici.
Aujourd'hui, le tribunal de la jeunesse me semble bien maltraitant , envers les familles. Je ne suis pas un cas isolé .
Est ce cela, le bien supérieur d'un enfant ?
Est ce parce que je ne viens pas de la bonne couche de la société , qu'on m'écoute pas les mères comme moi ? Un enfant n'a t'il pas besoin de sa mère pour grandir? Il est deconstructeur d'être placé sans raison proportionné ou de devoir de battre pas toute chose, et de ne jamais être cru.
J'ai porté ma fille neuf mois, maintenant, je suis obligée de la remettre à une autre femme.
J'étais juste précaire. J' ai fait efforts, mises en place, c'était tout du trop ou trop peu, et je me suis épuisée! .
Et parce que la toute puissance des rapports des intervenants prévaut sur mon humanité, mais aussi le lien d' un enfant qui m'a connue en tant que mère, a t on le droit de dénigrer mes mises en place?
Et ensuite, de de ne pas comprendre pourquoi je suis à bout?
Sans même écouter ni essayer de comprendre sur base de la vérité ?
Comment aider un enfant si on ne le fait pas à partir de socles vrais? On me demande la transparence, mais on ne me laisse pas dire la vérité.
Ma vérité à moi, elle ne sert en aucun cas à attaquer l'autre.
Ma vérité à moi, elle sert à donner une famille, à ma fille.
Les tribunaux, confondent la cause avec le symptôme.
Depuis 13 ans, ma fille et moi vivons une bataille dont nous nous passerions, et séparation injustifiée, causée par un placement qui n’a jamais pris en compte ses besoins réels.
Mon cas n’est malheureusement pas unique. Les autorités ont décidé de retirer ma fille de mon foyer suite à des accusations fabriquées par la famille paternelle, malgré l'absence de preuves ou preuves fabriquées , hors contexte, sans accès au contradictoire.
En plus de cela, le système a ignoré les souffrances émotionnelles que cette séparation a causées à ma fille, la manipulant pour qu’elle croie des mensonges sur sa propre mère.
Dans de nombreux cas, les décisions sont prises sur la base de rapports biaisés, souvent rédigés par des personnes jugées "parties prenantes" dans le dossier. Ces rapports peuvent déformer la réalité pour soutenir une seule version des faits, oubliant l'équilibre des situations et l'impact réel sur les enfants.
Ainsi, les autorités jugent sans véritablement enquêter de manière impartiale. Les familles sont jugées sur la base de dénonciations calomnieuses, où des accusations infondées sont prises pour argent comptant, alors qu'elles ne reposent sur aucune preuve solide.
Et s'il y a signalement, une véritable enquête devrait avoir lieu et aide appropriée aux familles, bien souvent mises à bout par les procédures à charge et répétitives, alors qu elles sont et seraient sans cela, des parents moins stressés et donc optimaux.
Les dénonciations calomnieuses et la manipulation de la vérité:
Il est malheureusement courant que certains parents ou membres de la famille fassent des dénonciations calomnieuses, accusant l'autre parent de maltraitance ou de négligence, sans que ces accusations ne soient fondées.
Ces dénonciations peuvent entraîner des décisions de placement précipitées, basées sur des mensonges, et ce, sans que les faits soient vérifiés de manière rigoureuse. Le pire dans cette situation, c’est que, parfois, des enfants sont remis à des parents maltraitants ou négligents, alors que d'autres parents, accusés faussement, voient leur droit de garde injustement retiré.
Le rôle des délégués du juge et les rapports mensongers:
Les délégués du juge, qui sont censés évaluer de manière objective les situations familiales, peuvent se retrouver juges et partis dans certains cas.
En effet, ces rapports, souvent rédigés à la hâte ou influencés par des parties prenantes biaisées, peuvent servir un seul objectif : justifier des décisions de placement, parfois sans tenir compte de la réalité des familles concernées.
Cette situation est particulièrement préoccupante car elle renforce l'idée que des décisions majeures, affectant la vie des enfants, sont prises sans fondement solide et parfois sans une véritable enquête de fond.
Négligence des enquêtes et placement injustifié:
Dans certains cas, des enquêtes insuffisantes ou mal menées ne permettent pas d'identifier correctement la situation réelle de l'enfant. Des parents en difficulté peuvent être jugés sévèrement sans qu'aucune alternative sérieuse, comme un accompagnement social ou psychologique, ne soit mise en place.
Le placement d'enfants devient alors une réponse par défaut, alors que des solutions moins traumatisantes, comme un suivi renforcé ou un soutien adapté à la famille, auraient pu permettre à ces enfants de rester dans un environnement stable et aimant.
Il est important de souligner que de nombreuses mères, confrontées à des difficultés temporaires, font des efforts considérables pour offrir un cadre de vie stable à leurs enfants.
Le soutien social et psychologique est souvent un facteur clé dans leur capacité à surmonter leurs épreuves. Leur travail acharné pour surmonter la précarité et les obstacles devrait être pris en compte avant de prendre des décisions aussi graves que le placement.
Le devoir d'intervention des services de l'aide à la jeunesse:
Le devoir d'intervention des services de l'aide à la jeunesse est parfois nécessaire pour garantir la sécurité de l'enfant, mais il devrait toujours être exercé avec plus de discernement, en laissant une place au contradictoire, afin d'éviter de graves erreurs et de garantir que les décisions prises sont véritablement dans l'intérêt supérieur de l'enfant.
Dans certains cas, l'intervention des services de l'aide à la jeunesse peut être bénéfique, mais en apportant un soutien bienveillant aux familles en difficulté et en offrant une prise en charge temporaire pour garantir la sécurité et le bien-être de l'enfant, tout en permettant aux parents de surmonter leurs épreuves.
Une réforme du système est nécessaire Il est donc urgent que des réformes profondes soient mises en place pour garantir que les placements d'enfants ne soient jamais décidés à la hâte, sur la base de dénonciations calomnieuses ou de rapports biaisés.
Un véritable travail d'enquête doit être effectué pour vérifier les faits avant de prendre des décisions aussi graves.
Aujourd’hui, je demande justice non seulement pour ma fille et moi, mais pour toutes les familles séparées injustement.
Il est temps que le système judiciaire soit réformé pour éviter que de telles injustices continuent. Nous proposons que des tables rondes soit organisée avec les professionnels concernés (psychologues, travailleurs sociaux, juges, associations, etc.) pour discuter des améliorations nécessaires à ce système.
De plus, une commission d’enquête permanente devrait être mise en place pour évaluer en continu les pratiques de placement, afin que des mécanismes de riposte directes sur les dossiers soient empêchés, et que les dossiers des parents injustement accusés soient réexaminés avec toute la rigueur nécessaire.
Le système doit changer pour garantir que les décisions prises respectent véritablement les droits des enfants et des parents, sans céder à des manipulations ou à des jugements erronés.
Je vous remercie pour votre attention et j’espère que des mesures concrètes seront mises en place pour réformer ce système et éviter de nouvelles souffrances.
Je vous prie d'agréer, Madame, Monsieur, l’expression de mes salutations distinguées. Clara (nom d'emprunt)
Analyse de nos associations :
Il est essentiel de rappeler que, dans les situations de placement, l’intérêt supérieur de l’enfant est souvent invoqué.
Cependant, il est crucial de différencier ce qui est réellement bénéfique pour l’enfant d’un jugement précipité qui pourrait se baser uniquement sur des circonstances momentanées ou des difficultés passagères des mères. Plusieurs points doivent être pris en compte :
1. Précarité et difficultés temporaires : De nombreuses mères concernées par des placements vivent dans des situations de précarité. Cela ne reflète pas une incapacité permanente à s’occuper de leur enfant, mais plutôt des périodes difficiles que toute famille peut traverser. Ces mères ne sont pas des mauvaises personnes, elles traversent juste des épreuves.
2. Évaluation psychologique positive : Les rapports psychologiques réalisés par les professionnels montrent souvent que ces mères ont un potentiel de rétablissement et qu’elles peuvent offrir un cadre de vie stable pour leurs enfants une fois les obstacles surmontés. Il serait donc contre-productif et injuste de retirer un enfant sans donner de temps et de moyens pour que la mère puisse prouver sa capacité à s'améliorer.
3. Le placement comme dernier recours : Le placement des enfants devrait toujours être envisagé comme une solution de dernier recours, après avoir exploré toutes les autres alternatives, comme l’accompagnement social, la mise en place de soutien psychologique et matériel. Retirer un enfant à sa mère, surtout en cas de difficultés temporaires, peut avoir des conséquences traumatisantes et ne doit pas être systématique.
4. Stigmatisation malgré les efforts :
Malgré les dispositifs de soutien mis en place pour accompagner les mères en difficulté, ces dernières sont souvent stigmatisées en raison de leur situation de précarité. Cette stigmatisation peut nuire à leur estime de soi et à leurs efforts de rétablissement, rendant plus difficile le processus de réinsertion familiale. Il est donc important de reconnaître que la stigmatisation sociale peut être un facteur aggravant, rendant les mères encore plus vulnérables à l’échec dans leur parcours.
Bien sûr, l’argument de l’intérêt supérieur de l’enfant est fondamental, mais cela doit inclure la reconnaissance que les mères aussi ont des droits, et que les situations difficiles ne sont pas synonymes d’incapacité parentale. Les mères ne cherchent pas à se victimiser mais à être reconnues et soutenues dans leurs efforts pour surmonter les difficultés. L’intervention doit donc viser à renforcer la famille plutôt qu’à la séparer.
70 % des mères qui bénéficient d’un soutien social et psychologique surmonte leurs difficultés et retrouvent un environnement stable pour leur enfant.
85 % des placements peuvent être évités grâce à un accompagnement précoce et un soutien adapté.
Il est donc important de considérer la situation globale et d’agir avec empathie et soutien avant de prendre des décisions irréversibles.
"Le placement d’enfants devrait être le dernier recours." Code Madrane+ Lien d'une étude : CODE coordination des ONG, droit de l'enfant et relations enfants places - familles.
OPEN BRIEF
Aan de journalisten, de Hoge Raad voor de Justitie (die tot doel heeft het vertrouwen tussen het volk en de Justitie te herstellen), de controleorganen van de onafhankelijkheid van de rechtspraak, de senaat, het constitutionele hof (vraag over de naleving van artikel 22 in België),
Geachte dames en heren,
Ik neem de vrijheid u deze open brief te sturen om het lijden aan te klagen van duizenden gezinnen, zoals het mijne, die vastzitten in een rechtssysteem dat vaak het belang van het kind niet respecteert, maar te veel belang hecht aan onjuiste rapporten en overhaaste beslissingen.
Het is al 13 jaar dat de vader van mijn dochter en zijn familie mij bestrijden, en alle middelen zijn goed. Waarom hebben de Jeugdzorg geen enig discernement? Ik heb mijn kind uit eigen initiatief toevertrouwd toen ik de baby blues had en in een precaire situatie verkeerde. Ik moest mijn inzet bewijzen door constante inspanningen, terwijl de vader en zijn familie, die goed kunnen praten, systematisch het vertrouwen van de autoriteiten hebben gekregen. Dit was voldoende om me op de beklaagdenbank te zetten, terwijl ik oorspronkelijk om hulp had gevraagd.
Het SPJ legt mij achteraf volledige transparantie op, op straffe van sancties als ik niet alle details van mijn privéleven openbaar maak, van A tot Z, terwijl men mij niet deze vragen stelt (bijvoorbeeld over mijn uitgebreide familiale situatie, de inrichting van een van mijn kamers, het aantal schoenen, enz.) en men mij geruststelt door te zeggen dat mijn dochter goed is.
Verder moedigt men mijn kind, op een leeftijd waarop ze van nature rebellie vertoont, niet aan om zich uit te spreken over wat niet goed gaat.
Nee.
Het jeugdrechtbank heeft besloten het contact met mijn dochter te verbreken, zonder naar mij te luisteren, op basis van een melding van een van de partijen, waar ik geen toegang toe heb gekregen. En dat zonder enig recht op wederhoor. Deze partij bestrijdt mij (ten onrechte) al 13 jaar, terwijl ik smeek om bemiddeling, om vergeving, om vrede, ten minste beleefdheid. Voor het welzijn van een kind dat niets heeft gevraagd.
Transparantie / Onzichtbaarheid.
Ik heb gevraagd om achteraf gehoord te worden, maar ik word behandeld als een manipulator, zonder zelfs maar gehoord te zijn. Waarom? Men vraagt mij om transparant te zijn, maar wat mij betreft lijkt dit eerder een buitensporige controle te zijn, uitgevoerd zonder echte goedwillendheid, zonder het voordeel van de twijfel, en zonder rekening te houden met positieve versterking, die essentieel is voor elk herstel. Waarom?
Men stelt mij geen enkele vraag, en ik ontdek alles op beschuldigende wijze op de dag van de zittingen. Soms heb ik geluk en ontvang ik de documenten twee dagen van tevoren, met als reden: "Het is altijd zo geweest." "Dit probleem bestaat al te lang." Is dit een voldoende reden om een onrechtvaardigheid voort te zetten door geen redelijke tijd voor een eerlijke verdediging te geven? Waarom?
Omdat de vraag die aan mij wordt gesteld, om transparant te zijn, om de waarheid te zeggen, in feite een verzoek om onzichtbaarheid is. Men vraagt mij om onzichtbaar te zijn. Vandaag ben ik dus transparant. Hier ben ik. Vandaag lijkt de jeugdrechtbank zeer misbruikend tegenover gezinnen. Ik ben geen geïsoleerd geval. Is dit het belang van een kind?
Is het omdat ik niet uit de juiste laag van de samenleving kom, dat men moeders zoals ik niet hoort? Heeft een kind niet zijn moeder nodig om op te groeien? Het is destructief om geplaatst te worden om een reden die niet evenredig is, of om over alles te moeten vechten, en nooit geloofd te worden.
Ik heb mijn dochter negen maanden gedragen, en nu moet ik haar aan een andere vrouw overdragen. Ik was gewoon precair. Ik heb inspanningen geleverd, plannen gemaakt, maar het was altijd te veel of te weinig. Vandaag ben ik uitgeput! En omdat de almacht van de rapporten van de betrokkenen zwaarder weegt dan mijn menselijkheid, maar ook de band van een kind dat mij als moeder heeft gekend, mag men mijn inspanningen niet afbreken?
En daarna niet begrijpen waarom ik het niet meer aankan? Zonder me zelfs maar te horen of te proberen te begrijpen op basis van de waarheid? Hoe kan men een kind helpen als men dit niet doet op basis van werkelijke fundamenten? Men vraagt mij om transparant te zijn, maar men laat mij de waarheid niet zeggen.
Mijn waarheid dient in geen geval om de ander aan te vallen. Mijn waarheid dient om een familie te geven aan mijn dochter.
De rechtbanken verwarren de oorzaak met het symptoom.
Al 13 jaar leven mijn dochter en ik een strijd die we zouden willen vermijden, en een onterechte scheiding veroorzaakt door een plaatsing die nooit rekening heeft gehouden met haar werkelijke behoeften.
Mijn geval is helaas niet uniek. De autoriteiten hebben besloten mijn dochter uit ons huis te halen op basis van beschuldigingen die door de vaderlijke familie zijn gefabriceerd, ondanks het ontbreken van bewijs of gefabriceerd bewijs, uit de context, zonder toegang tot wederhoor.
Daarnaast heeft het systeem de emotionele schade die deze scheiding mijn dochter heeft berokkend genegeerd, en haar gemanipuleerd zodat ze leugens over haar eigen moeder gelooft. In veel gevallen worden beslissingen genomen op basis van bevooroordeelde rapporten, vaak geschreven door mensen die als "betrokkenen" in het dossier worden beschouwd. Deze rapporten kunnen de werkelijkheid vervormen om een enkele versie van de feiten te ondersteunen, waarbij de balans van de situaties en de werkelijke impact op de kinderen wordt vergeten.
Op deze manier wordt er geoordeeld zonder echt onpartijdig onderzoek. Gezinnen worden beoordeeld op basis van lasterlijke beschuldigingen, waarbij ongegronde beschuldigingen als waarheid worden aangenomen, terwijl ze geen solide bewijs hebben.
En als er een melding is, zou er een echt onderzoek moeten plaatsvinden en zou er passende hulp aan gezinnen moeten worden geboden, die vaak tot het uiterste worden gedreven door de beschuldigende en herhalende procedures, terwijl zij, zonder dit, minder gestreste ouders zouden zijn en dus optimaal.
De lasterlijke beschuldigingen en de manipulatie van de waarheid:
Het is helaas gebruikelijk dat sommige ouders of familieleden lasterlijke beschuldigingen doen, waarbij ze de andere ouder beschuldigen van mishandeling of verwaarlozing, zonder dat deze beschuldigingen gegrond zijn.
Deze lasterlijke beschuldigingen kunnen leiden tot overhaaste plaatsingsbeslissingen, gebaseerd op leugens, zonder dat de feiten grondig worden gecontroleerd. Het ergste in deze situatie is dat, soms, kinderen aan mishandelde of verwaarlozende ouders worden toegewezen, terwijl andere ouders, ten onrechte beschuldigd, hun recht op voogdij onterecht verliezen.
De rol van de rechterlijke gedelegeerden en de valse rapporten:
De rechterlijke gedelegeerden, die geacht worden de familiesituaties objectief te evalueren, kunnen in sommige gevallen rechter en partij zijn. Deze rapporten, vaak gehaast geschreven of beïnvloed door bevoordeelde betrokkenen, kunnen slechts één doel dienen: het rechtvaardigen van plaatsingsbeslissingen, soms zonder rekening te houden met de realiteit van de betrokken gezinnen.
Deze situatie is bijzonder zorgwekkend omdat het het idee versterkt dat belangrijke beslissingen die het leven van kinderen beïnvloeden, worden genomen zonder solide grondslagen en soms zonder een diepgaand onderzoek.
Verwaarlozing van onderzoeken en onterechte plaatsing:
In sommige gevallen zorgen onvoldoende of slecht uitgevoerde onderzoeken ervoor dat de werkelijke situatie van het kind niet goed wordt vastgesteld.
Moeilijkheden bij ouders kunnen leiden tot een strenge beoordeling zonder dat er een serieuze alternatieve oplossing, zoals sociale of psychologische begeleiding, wordt geboden.
De plaatsing van kinderen wordt dan een standaardoplossing, terwijl minder traumatische oplossingen, zoals intensievere begeleiding of passende steun voor het gezin, mogelijk hadden kunnen voorkomen dat deze kinderen uit hun stabiele en liefdevolle omgeving werden gehaald.
Het is belangrijk te benadrukken dat veel moeders, die geconfronteerd worden met tijdelijke moeilijkheden, aanzienlijke inspanningen leveren om een stabiele leefomgeving voor hun kinderen te bieden.
Sociale en psychologische ondersteuning is vaak een sleutel tot hun vermogen om hun moeilijkheden te overwinnen. Hun harde werk om de precairheid en obstakels te overwinnen, zou in aanmerking moeten worden genomen voordat er zo'n ingrijpende beslissing als plaatsing wordt genomen.
De interventieplicht van de diensten voor jeugdhulp:
De interventieplicht van de diensten voor jeugdhulp is soms nodig om de veiligheid van het kind te waarborgen, maar deze moet altijd met meer discretie worden uitgeoefend, met ruimte voor wederhoor, om ernstige fouten te voorkomen en ervoor te zorgen dat de genomen beslissingen daadwerkelijk in het belang van het kind zijn. In sommige gevallen kan de interventie van jeugdhulp nuttig zijn, maar dan wel door een welwillende steun aan gezinnen in moeilijkheden te bieden en tijdelijk opvang te bieden om de veiligheid en het welzijn van het kind te waarborgen, terwijl de ouders hun moeilijkheden kunnen overwinnen.
Een hervorming van het systeem is noodzakelijk: Het is dus dringend dat diepgaande hervormingen worden doorgevoerd om ervoor te zorgen dat plaatsingen van kinderen nooit overhaast worden besloten, op basis van lasterlijke beschuldigingen of bevooroordeelde rapporten.
Er moet grondig onderzoek worden verricht om de feiten te verifiëren voordat er zo'n ingrijpende beslissing wordt genomen. Vandaag vraag ik gerechtigheid, niet alleen voor mijn dochter en mij, maar voor alle gezinnen die onterecht gescheiden zijn.
Het is tijd dat het rechtssysteem wordt hervormd om te voorkomen dat dergelijke onrechtvaardigheden doorgaan. Wij stellen voor dat er ronde tafels worden georganiseerd met de betrokken professionals (psychologen, maatschappelijk werkers, rechters, verenigingen, enz.) om de noodzakelijke verbeteringen aan dit systeem te bespreken.
Daarnaast zou er een permanente onderzoekscommissie moeten worden opgericht om continu de plaatsingspraktijken te evalueren, zodat de juiste responsmechanismen direct kunnen worden toegepast op de dossiers en zodat de dossiers van ouders die onterecht beschuldigd zijn, grondig worden herzien.
Het systeem moet veranderen om ervoor te zorgen dat de genomen beslissingen de rechten van de kinderen en de ouders werkelijk respecteren, zonder toe te geven aan manipulatie of foutieve oordelen. Ik dank u voor uw aandacht en ik hoop dat er concrete maatregelen zullen worden genomen om dit systeem te hervormen en nieuwe lijdenswegen te voorkomen.
Hoogachtend,
Clara (schuilnaam)
Analyse van onze verenigingen:
Het is essentieel om te benadrukken dat, in plaatsingssituaties, altijd het belang van het kind wordt ingeroepen.
Het is echter belangrijk te onderscheiden wat werkelijk gunstig is voor het kind van een overhaaste uitspraak die mogelijk alleen gebaseerd is op tijdelijke omstandigheden of passagere moeilijkheden van moeders. Verschillende punten moeten in overweging worden genomen:
1. Precariteit en tijdelijke moeilijkheden: Veel moeders die te maken hebben met plaatsingen leven in precaire situaties. Dit weerspiegelt niet een permanente onmacht om voor hun kind te zorgen, maar eerder moeilijke periodes die elk gezin kan doormaken. Deze moeders zijn geen slechte mensen, ze gaan gewoon door moeilijke tijden.
2. Positieve psychologische evaluatie:
Psychologische rapporten van professionals tonen vaak aan dat deze moeders herstelpotentieel hebben en in staat zijn een stabiele leefomgeving voor hun kinderen te bieden zodra de obstakels zijn overwonnen. Het zou dus contraproductief en onrechtvaardig zijn om een kind weg te nemen zonder tijd en middelen te geven zodat de moeder haar vermogen kan bewijzen om zich te verbeteren.
3. Plaatsing als laatste redmiddel:
De plaatsing van kinderen moet altijd worden beschouwd als een laatste redmiddel, nadat alle andere alternatieven zijn onderzocht, zoals sociale begeleiding, psychologische en materiële steun. Het wegnemen van een kind van zijn moeder, vooral in het geval van tijdelijke moeilijkheden, kan traumatische gevolgen hebben en mag niet systematisch zijn.
4. Stigmatisatie ondanks inspanningen:
Ondanks de steunmaatregelen die worden geboden om moeders in moeilijkheden te helpen, worden ze vaak gestigmatiseerd vanwege hun precaire situatie. Deze stigmatisatie kan hun zelfvertrouwen schaden en hun herstel bemoeilijken, waardoor het moeilijker wordt om terug te keren naar hun gezinssituatie. Het is daarom belangrijk te erkennen dat sociale stigmatisatie een verergerende factor kan zijn, waardoor moeders nog kwetsbaarder worden voor falen in hun herstel.
Zeker, het argument van het belang van het kind is fundamenteel, maar dat moet ook inhouden dat moeders rechten hebben, en dat moeilijke situaties geen synoniem zijn voor onvermogen als ouder. Moeders zoeken geen slachtofferstatus, maar willen erkend en ondersteund worden in hun pogingen om hun moeilijkheden te overwinnen. Interventies zouden dus gericht moeten zijn op het versterken van het gezin, niet op het scheiden ervan. 70% van de moeders die sociale en psychologische steun krijgen, overwinnen hun moeilijkheden en herstellen een stabiele omgeving voor hun kind. 85% van de plaatsingen kan worden voorkomen door vroege begeleiding en passende ondersteuning.
Het is dus belangrijk de algehele situatie in overweging te nemen en met empathie en steun te handelen voordat onomkeerbare beslissingen worden genomen. "Het plaatsen van kinderen zou de laatste oplossing moeten zijn." Madrane+ Code - Link naar studie: CODE coördinatie van NGO's, kinderrechten en relaties tussen geplaatste kinderen - families.
OPEN LETTER -To journalists, the Higher Council of Justice (whose goal is to restore trust between the people and the Justice system), the bodies overseeing judicial independence, the Senate, the Constitutional Court (questioning the respect of Article 22 in Belgium),
Madam, Sir,
I am writing to you this open letter to denounce the suffering experienced by thousands of families, like mine, caught in a judicial system that often does not respect the best interest of the child, but places too much importance on erroneous reports and hasty decisions.
It has been 13 years that the father of my daughter and his family have been fighting me, and all means are good. Why do the Youth Protection services lack discernment? I entrusted my child of my own accord when I had the baby blues and was in a precarious situation. I had to prove my commitment through constant efforts, while the father and his family, who are good at speaking, have systematically been trusted by the authorities. This was enough for me to end up on the accused bench, when, initially, I had asked for help.
The SPJ imposes, retroactively, total transparency on me, under threat of sanctions if I do not disclose all the details of my private life, from A to Z, even though these questions are not asked of me (for example, regarding my extended family situation, the decoration of one of my rooms, the number of shoes, etc.) and I am reassured that my daughter is doing well. Furthermore, my child, at an age where she is naturally rebellious, is not even encouraged to express herself about what’s wrong.
No. The Youth Court has decided to sever the link with my daughter, without listening to me, solely based on a report from one of the parties, which I was not even allowed access to. And this, without any right to a hearing. This party has been fighting me (wrongly) for 13 years, while I plead for mediation, forgiveness, peace, at least civility. For the sake of a child who has not asked for any of this.
Transparency / Invisibility:
I asked to be heard retroactively, but I am treated as a manipulator, without even being listened to. Why?
I am asked to be transparent, but what seems to me more like excessive control is being enforced without real benevolence, without the benefit of the doubt, and this without taking into account the positive reinforcement necessary for any recovery. Why?
No questions are asked of me, and I discover everything against me on the day of hearings. Sometimes, I am lucky to receive the documents two days in advance, with the reason given: "It’s always been like this." "This dysfunction has been here for too long." Is this a sufficient reason to perpetuate an injustice by not allowing a reasonable time for a fair defense? Why?
Because the demand made of me to be transparent, to tell the truth, is in reality a demand for invisibility.
I am asked to be invisible. Today, I am transparent. Here I am.
Today, the Youth Court seems to be very abusive towards families. I am not an isolated case. Is this the best interest of a child?
Is it because I do not come from the "right" class of society that I am not listened to, mothers like me? Does a child not need their mother to grow? It is destructive to place a child in an ill-proportioned situation, or to have to fight against everything, and never be believed.
I carried my daughter for nine months, and now, I am forced to hand her over to another woman. I was simply in a precarious situation. I made efforts, took initiatives, it was always either too much or too little, and today, I am exhausted!
And because the absolute power of reports from intervening parties prevails over my humanity, but also over the bond between a child who knew me as their mother, is it right to criticize my efforts? And then, to not understand why I am at my breaking point?
Without even listening or trying to understand the truth?
How can we help a child if we don’t do it on solid truths? I am asked for transparency, but I am not allowed to tell the truth.
My truth does not serve to attack the other. My truth serves to give a family to my daughter. The courts confuse the cause with the symptom. For 13 years, my daughter and I have lived a battle we would rather avoid, and an unjustified separation, caused by a placement that has never taken her real needs into account.
My case is unfortunately not unique. The authorities decided to remove my daughter from my home due to fabricated accusations from the paternal family, despite the absence of evidence or fabricated evidence, out of context, without access to a hearing.
Moreover, the system has ignored the emotional suffering this separation caused my daughter, manipulating her into believing lies about her own mother.
In many cases, decisions are made based on biased reports, often written by people considered "stakeholders" in the case. These reports can distort reality to support a single version of events, overlooking the balance of situations and the real impact on the children.
Thus, authorities judge without truly investigating impartially. Families are judged based on slanderous denunciations, where unfounded accusations are taken at face value, even though they are unsupported by solid evidence.
And if there is a report, a real investigation should take place and appropriate help should be provided to families, who are often worn out by repetitive, biased procedures, when, without these, they would be less stressed and therefore more optimal parents.
Slanderous Denunciations and Manipulation of the Truth:
It is unfortunately common for some parents or family members to make slanderous denunciations, accusing the other parent of abuse or neglect, without these accusations being founded.
These denunciations can lead to hasty placement decisions, based on lies, without the facts being rigorously checked. The worst part of this situation is that, sometimes, children are placed with abusive or neglectful parents, while other parents, falsely accused, see their custody rights unjustly removed.
The Role of Judicial Delegates and False Reports: Judicial delegates, who are supposed to objectively assess family situations, can sometimes find themselves biased in certain cases.
Indeed, these reports, often written hastily or influenced by biased stakeholders, can serve only one purpose: to justify placement decisions, sometimes without considering the reality of the affected families.
This situation is particularly concerning because it reinforces the idea that major decisions affecting children's lives are made without a solid foundation and sometimes without a proper investigation.
Neglect of Investigations and Unjustified Placement In some cases, insufficient or poorly conducted investigations fail to properly assess the child’s real situation. Parents in difficulty can be severely judged without any serious alternative, such as social or psychological support, being put in place.
The placement of children thus becomes a default response, when less traumatic solutions, such as increased monitoring or family support, could have allowed these children to remain in a stable and loving environment.
It is important to emphasize that many mothers, facing temporary difficulties, make considerable efforts to provide a stable living environment for their children.
Social and psychological support is often a key factor in their ability to overcome their challenges. Their hard work to overcome precariousness and obstacles should be taken into account before making such serious decisions as placement.
The Duty of Youth Aid Services to Intervene:
The duty of youth aid services to intervene is sometimes necessary to ensure the child’s safety, but it should always be exercised with more discernment, allowing for the right to a hearing, to avoid serious mistakes and to ensure that decisions made are truly in the child’s best interest.
In some cases, the intervention of youth aid services can be beneficial, but by providing benevolent support to families in difficulty and offering temporary care to ensure the child’s safety and well-being, while allowing parents to overcome their challenges.
A Reform of the System is Necessary:
It is urgent that profound reforms be implemented to ensure that children’s placements are never decided hastily, based on slanderous denunciations or biased reports.
A proper investigation must be conducted to verify the facts before making such serious decisions. Today, I ask for justice not only for my daughter and myself, but for all the families unjustly separated.
It is time for the judicial system to be reformed to prevent such injustices from continuing. We propose that round tables be organized with the concerned professionals (psychologists, social workers, judges, associations, etc.) to discuss necessary improvements to this system.
Moreover, a permanent inquiry commission should be set up to continuously evaluate placement practices, so that mechanisms to directly respond to files are prevented, and the files of parents unjustly accused are reexamined with the necessary rigor.
The system must change to ensure that decisions respect the true rights of children and parents, without yielding to manipulations or erroneous judgments
Thank you for your attention, and I hope concrete measures will be put in place to reform this system and prevent further suffering. Yours sincerely, Clara (pseudonym)
Analysis from Our Associations:
It is important to remember that, in placement situations, the best interest of the child is often invoked.
However, it is crucial to differentiate what is genuinely beneficial for the child from a hasty judgment that may only be based on temporary circumstances or passing difficulties faced by mothers. Several points must be taken into account:
1. Precarity and Temporary Difficulties: Many mothers affected by placements live in situations of precariousness. This does not reflect a permanent inability to care for their child, but rather difficult periods that any family may go through. These mothers are not bad people; they are simply facing challenges.
2. Positive Psychological Assessments: Psychological reports produced by professionals often show that these mothers have the potential for recovery and can offer a stable living environment for their children once obstacles are overcome. It would therefore be counterproductive and unfair to remove a child without giving the mother time and resources to prove her ability to improve.
3. Placement as a Last Resort: The placement of children should always be considered as a last resort, after exploring all other alternatives, such as social support, psychological and material assistance. Removing a child from their mother, especially in the case of temporary difficulties, can have traumatic consequences and should not be systematic.
4. Stigmatization Despite Efforts: Despite the support systems in place to assist mothers in difficulty, these mothers are often stigmatized due to their precarious situation. This stigmatization can harm their self-esteem and hinder their efforts to recover, making the process of family reintegration even more difficult. It is therefore important to recognize that social stigmatization can be an aggravating factor, making mothers even more vulnerable to failure in their journey.
Of course, the argument for the best interest of the child is fundamental, but it must also include the recognition that mothers have rights, and that difficult situations do not equate to parental incapacity. Mothers are not trying to victimize themselves but to be recognized and supported in their efforts to overcome difficulties. Intervention should aim to strengthen the family rather than separate it.
70% of mothers who receive social and psychological support overcome their difficulties and provide a stable environment for their child. 85% of placements can be avoided with early intervention and appropriate support. It is therefore crucial to consider the overall situation and act with empathy and support before making irreversible decisions.
"Placement of children should be the last resort."Madrane Code+Link to a study: CODE coordination of NGOs, children's rights, and relationships between placed children and families.
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