Bonjour,
Vous trouverez en pièce jointe une lettre ouverte.Voilà, plus d'un an que j'aspire à avoir des documents administratifs de mes anciens employeurs pour mes recherches d'emplois.
Rien n'y fait, que faire pour obtenir ces documents dont j'ai besoin pour faire valoir mes compétences et expériences auprès de futurs d'employeurs?C'est un droit, le droit de chaque salarié qui a cotisé.
Lettre ouverte
Maintes lettres recommandées et sans jamais de réponse
- « Résidente d’Aubevoye-Le Val d’Hazey, je me vois dans l’obligation de saisir la presse pour tenter d’obtenir des réponses à tous mes questionnements. Voilà près de 4 ans que je suis en recherche d’emploi et maintenant plus d’un an que j’essaie d’obtenir des documents administratifs de mes anciens employeurs et ce sans succès malgré plusieurs relances en lettres recommandées avec accusés de réception. Pour mes recherches d’emplois et faire valoir mes compétences, j’ai émis des requêtes auprès de la Communauté de Communes Eure Madrie Seine, la Mairie d’Aubevoye-le Val d’Hazey et l’association LOCAL pour lesquelles j’ai travaillé en tant que salariée. Pourquoi depuis mai 2015, date à laquelle j’ai fait ma première demande, je reste toujours sans réponse ? Je veux comprendre !!!! J’ai simplement besoin d’attestations ou de certificats de travail détaillés justifiant l’ensemble des tâches et missions que j’ai effectuées indéniablement. Faute de ne pouvoir obtenir ce que je suis en droit d’exiger pour pouvoir trouver du travail dans mon champ de compétences ou bien autre, je me suis vu perdre deux emplois saisonniers en CDD pour ne pas avoir obtenu de simples courriers attestés et signés que mes futurs employeurs exigeaient !!!!! Pour donner un peu de clarté et de précisions : Le 27 février 2015, envoi d’un courrier à LOCAL et la Mairie d’Aubevoye. Le 4 mai 2015, envoi d’un courrier à la Mairie d’Aubevoye. Ce même jour et très curieusement, je reçois un courrier de LOCAL à mon domicile (Courrier stipulant que l’on est en mesure de m’apporter quelques précisions par rapport à ma demande et que malgré les recherches qu’ils ont faites, ils ne peuvent fournir d’autres renseignements). Le 8 juin 2015, je réceptionne à nouveau un courrier de la mairie d’Aubevoye à mon domicile. Il s’avère qu’on est au regret de ne pouvoir réserver une suite favorable à mes sollicitations en l’absence de précisions. . Les périodes concernées ne seraient en effet nullement datées et concerneraient en tout état de cause une période nécessairement antérieure à 2002, ce qui ne leur permet pas de trouver aisément les informations sollicitées. Le 27 octobre 2015, envoi d’un courrier à la CCEMS, le 1er novembre 2015, de nouveau un courrier à la Mairie d’Aubevoye, le 17 décembre 2015, courrier à la Mairie d’Aubevoye. Le 31 décembre 2015, je réceptionne de nouveau un courrier de la Mairie d’Aubevoye me réitérant la même chose : « Nos services ne peuvent réserver une suite favorable à vos sollicitations des 1er novembre et 17 décembre 2015. Les services me renvoyant aux termes de la correspondance du 8 juin 2015 : mes demandes étant soit disant insuffisamment précises ou ne concernant pas la période pendant laquelle j’ai travaillé auprès de la commune d’Aubevoye. Le 7 janvier 2016, envoi d’un courrier à la Mairie d’Aubevoye, le 1er mars 2016 envoi encore et encore à nouveau d’un courrier à l’association LOCAL avec toujours la même requête en y apportant plus de détails et d’informations dans l’espoir cette fois d’obtenir ce que je veux : un courrier mentionnant l’ensemble de toutes mes missions effectuées. Une fiche de poste détaillée avec les différents emplois successivement occupés (dates et lieux précis), mes mises à disposition… eh non et bien rien. Juste la réponse orale d’un élu mardi 24 mai 2016 qui m’a été faite le soir d’un Conseil Communautaire : « Je ne peux plus rien pour toi, regarde tes bulletins de salaire ».
Le 1er mars 2016, tout dernier courrier à la Mairie d’Aubevoye-Le Val d’Hazey, avec
toujours la même requête en y joignant quelques documents relatifs à mes
demandes et spécifiant que je ne dispose d’aucun certificat de travail et solde de tout
compte à la fin d’une période de contrat…
Je suis donc fortement surprise et dans l’incompréhension. Est-ce respectueux et tolérable d’élus et d’employeurs de laisser les gens dans le néant sans même leur adresser un courrier ! Non et surtout quand cette même personne vit aujourd’hui seule avec 682 euros par mois ! Il y a encore quelques semaines avec moins de 400 euros et bénéficiaire des Restos du cœur.
Sandrine Eychenne