02/04/2025 - LÉGUEVIN (HAUTE-GARONNE)
Depuis 3 ans déjà, moi Elisabeth Devautour, je me bats pour protéger ma fille de 5 ans de son bourreau; elle décrit depuis l'age de deux ans des scènes d'agressions sexuelles et de violences à son encontre. Si le principe de précaution m'a permise d'éloigner mon enfant de son agresseur la première année, une garde alternée a été rétablie et maintenue par la JAF du TJ de TOULOUSE depuis Janvier 2024, décision qui a conduit à de nouveaux faits incestueux rapportés par ma fille en Octobre 2024. Je la protège depuis, en la gardant loin de son agresseur.
Aujourd’hui, malgré les témoignages répétés de mon enfant à différents professionnels médicaux, judiciaires:
- 3 auditions en salle MÉLANIE,
- 1 rapport d'Experte Psychologue,
- 5 signalements dont 2 de l'Académie de Toulouse,
- ..,
et une incitation de la gendarmerie et de l'association France Victime 31 à ne pas représenter ma fille sous peine de poursuite à mon encontre pour non assistance et mise en danger d'un mineur de moins de 15 ans, je suis CONDAMNÉE à la demande du Ministère Public et par le Tribunal Correctionnel de Toulouse, pour non-représentation d’enfant à une personne ayant le droit de le réclamer.
J'ai pour obligation de REMETTRE MON ENFANT EN DANGER, dès la semaine prochaine, lundi 7 avril 2025, sous peine d'un EMPRISONNEMENT DE CINQ MOIS (sursis).
Faut-il attendre la RUPTURE DE L’HYMEN ou un INFANTICIDE pour que les faits soient reconsidérés ? Pourquoi s'acharne-t-on sur une une mère qui protège son enfant ? Pourquoi ne pouvons-nous pas compter sur la justice de notre pays pour protéger nos enfants ?
Vu l'extrême gravité et l'urgence de la situation nous avons besoin de votre signature MAINTENANT.
N'est-ce pas le rôle de TOUS de défendre les droits de nos enfants ?