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Pétition

Stop aux abus : pour que l’aide sociale à l’enfance ne reste pas impunie !

Stop aux abus : pour que l’aide sociale à l’enfance ne reste pas impunie ! Pétition
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Auteur :
Auteur(s) :
Une citoyenne en colère
Destinataire(s) :
Charlotte caubel
La pétition
Mise à jour
L’aide sociale à l’enfance et ces abus. Rapports faussaires, placements abusifs, à quand une réforme de ce système qui détruit des familles impunément ?

Dénoncer le parent agresseur revient à être humilié par les institutions censées protéger le parent et la victime.
C’est l’horreur d’un appareil judiciaire qui fonctionne à l’envers. C’est la froideur d’un bras de l’administration publique qui n’a aucun respect pour le caractère sacré de la vie.

Toute société saine et pérenne doit se doter d’institutions pour protéger les plus faibles. Corollairement, elle se doit d’écarter au plus vite les éléments psychopathiques aux comportements prédateurs et asociaux, mais là j’ai l’impression que c’est l’arrogance tranquille de l’ignorance assumée … comment peut-on traiter un parent qui tente de protéger l’intégrité de son enfant de cette manière ? 

Ma meilleure amie a déposé plainte le 25 juillet contre son ex compagnon suite au révélation de son fils de 5 ans « papa me fait des bisous sur le zizi, il me fait mal au zizi, et il me fait caca sur le doigts » il parle d’un cabanon, d’autres enfants, « la fête » où ils se font des bisous etc… le père de son petit garçon est un ancien agent pénitentiaire et jouit de connaissance au commissariat, lors de son dépôt de plainte elle a été non seulement humiliée mais l’opj qui a entendu les révélations de son fils ne les a consigné nulle part.

Elle dira « Mais c'est dans la douche que tu vois le zizi de papa ».
Son fils lui répond du haut de ses 5 ans « Non ! Dans mon lit ! Et j'en ai marre ! » 


En garde alternée, le père est venu agresser la grand mère et prendre le petit, il aura passé 8h en compagnie de son père avant que le procureur ne saisisse la gendarmerie et mettre le petit sous protection au domicile de sa mère.


Le commissariat a mis 8 jours à transmettre la plainte pour attouchements par ascendant sur mineur de moins de quinze ans au procureur de la république. 8 jours ! 


Le petit a été auditionné le lendemain par la gendarmerie (un peu tôt bien évidemment après avoir vu son père quelques heures plus tôt)  « je n’aurai pas du le dire papa va aller en cellule »


« tu ne me prends que pour l’argent »


« Papa a pas peur de la police »


Vendredi 4 août elle est contactée par une assistante sociale polyvalente de secteur totalement paniquée qui lui fait savoir qu'une enquête sociale aura lieu à son domicile aujourd'hui, qu'elle doit rendre un « non-lieu » ou pas, que le Procureur lui a mis la pression et que c'est sa première enquête rapide.


Lorsque l'assistante sociale et l'infirmière PMI arrivent à son domicile, son fils et sa mère sont présents. Ses deux grands enfants mangent avec leur papa. L'entretien se passe très bien.


Enfin quelqu'un qui l'entend et ne la considère pas coupable. 


Elle reçoit même quelques éloges « une femme capable et compétente » référence à son diplôme de moniteur éducateur « ses enfants sont bien suivis par le médecin généraliste, la courbe de l’enfant est normale (carnet de santé).


« Toutes les conditions sont réunies pour que la mise sous protection continue chez elle »


Elle informe que son ex compagnon vit dans un studio en sous location sans chambre pour leur fils mais qu'il est déclaré chez sa mère et qu'elles y verront des personnes très bien sous tout rapports, une grande maison et de grand sourire, accompagné d'un beau langage. L'assistante sociale répond « ce n'est pas parce qu'on a une grande maison qu'on élève mieux ses enfants ». 


Mardi 8 août elle reçoit un appel de l'infirmière PMI reçue à son domicile, son ton est différent, froid. Elle n'a pas été délicate et sans jugement. Elle l'informe que ça ne va pas, qu'elle et l'assistante sociale sont inquiète pour le petit, il casse les jouets (effectivement il a cassé les jouets offert par son papa) qu'elles souhaitent pousser les investigations, qu'elles demandent une expertise psychiatrique de ses 3 enfants et d’elle


Elle lui dit aussi qu'elles ont bien visité le studio du père. 


Comment peuvent-elles sans au préalable avoir rencontré et entendus ses deux grands enfants demander une expertise psychiatrique ?Sans avoir entendu le père des deux grands qui fait parti de leur vie et existe ?


Comment ne peuvent-elles pas faire preuve de psychologie face à une victime qui, oui, casse ses jouets par colère et exprime un mal être dirigé vers son papa et ne comprennent-elles pas le conflit affectif et de loyauté auquel il fait face ? 


Comment ne peuvent-elles pas comprendre la culpabilité de trahir son papa ?


Cet enfant aime son papa. Il aime sa maman aussi. Il a 5 ans.


L’infirmière de la pmi et l’assistante social ont saisie la juge des enfants


La juge des enfants a décidé de confier son fils au domicile maternelle pour une durée de 6 mois, un examen psychologique du père la mère et l’enfant. 


Le père a droit à une visite médiatisée et mon amie doit de nouveau avoir une assistante social et une éducatrice qui viennent à son domicile et doivent fournir un rapport à la juge après chaque visite durant ces 6 mois. 


« Il ressort de ces éléments que les révélations faites par S surviennent dans un contexte de défiance réciproque entre les deux parents alors même qu'une résidence alternée est en place depuis peu de temps. Le comportement agité de S relevé par les services dans l'évaluation révèle le sentiment d'insécurité qui pèse sur lui. Si les faits d'agressions sexuelles font l'objet d'une enquête qui doit se poursuivre, force est de constater que le comportement sexué de S décrit par sa maman est inquiétant et l'aveu de Monsieur que son fils a pu être témoin de relations sexuelles entre lui et sa compagne interpelle.


Outre la nécessité de préserver la sérénité de S durant le temps de l'enquête, le fait qu'il ait pu assister à de telles scènes, même involontairement, constitue un élément de danger qu'il faut prendre en compte. De plus, les circonstances qui ont conduit au placement provisoire de S  et plus particulièrement la virulence de son papa à l'égard de sa grand-mère est inquiétante, d'autant que l'enfant a été témoin de cet incident.Au regard de ces éléments, il existe une situation de danger au domicile du père dont li faut extraire S. Son placement chez sa mère sera ordonné pour une durée de 6 mois. Le père bénéficiera d'un droit de visite médiatisée en lieu neutre. » (rapport décision juge) 


Un père qui avoue la corruption de son enfant en ayant des rapports sexuel devant lui… 


 « S'agissant des conditions d'accueil de S qui vit en résidence alternée chez ses parents, il est rappelé que Monsieur vit actuellement dans un studio d'une pièce où S doit partager son lit. Les deux logements sont toutefois décrits en bon état et adapté à l'accueil d'un jeune enfant. Madame vit avec ses deux enfants issus d'une autre union, Monsieur vit seul et a une nouvelle compagne. »


L’assistante sociale et l’infirmière pmi qui ont établi ce rapport à charge précise que Monsieur vit actuellement dans un studio d'une pièce où S doit partager son lit. Les deux logements sont toutefois décrits en bon état et adapté à l'accueil d'un jeune enfant. 


Un homme accusé d’inceste qui doit partager son lit avec son fils de 5 ans est considéré comme normal, « logement adapté » 


L’enquête suit son cours, enfin, c’est ce que nous pensons, mais la charge émotionnelle que vis mon amie et l’humiliation aussi est absolument monstrueuse. 


C’est un acharnement contre une mère et son fils, ajoutant des traumatismes à leurs traumatismes. Mon amie avait elle-même tenté de joindre sans résultat la crip lors des révélations de son fils, elle avait été au cmpi dès le début qu’il lui avait répondu que tant qu’il n’avait pas été auditionné rien ne pouvait être mis en place, elle a obtenu un rendez-vous au cmpea pour septembre. 


Je suis révoltée. En colère. Que des institutions telles que l’ase reste insensible au drame de mon amie et son fils et tente de faire placer son fils sans avoir peur de mentir malgré leurs accréditations m’horrifie. 


Ce fut pour moi la découverte ahurissante que, dans ce cadre, on n’hésitait pas à recourir à des comportements délictueux pour nuire à un parent se moquant des conséquences pour les enfants !


Ce milieu ne peut supporter que l’on remette en cause sa toute-puissance en soulignant ses échecs, limites, et incompétences.


Il est indispensable dans l'intérêt de l'enfant de protéger le parent protecteur du parent violent ! 

Protégeons les enfants ! Protégeons le parent !
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84 commentaires
Lucas - Le 08/09/2023 à 13:19:14
Les enfants doivent être protégés des prédateurs sexuels et de ceux qui les défendent. Un enfant n'est pas un objet !!! STOP PÉDOPHILIE
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Le 08/09/2023 à 20:38:30
il faut des contrôles , c'est impératif , il faut prendre soin des Enfants ,partout , toujours ,sans cesse...
22 0
Ophélie - Le 08/09/2023 à 11:28:19
Ça suffit Pédoland pays des francs-macs qui se protègent entre frères dans le système judiciaire (et pas que) !
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