Les agresseurs ne sont pas forcément des hommes contrairement à ce que les féministes veulent faire croire oui à une vraie justice et que les femmes soient condamnées et les hommes soient condamnés mais pour ça faudrait encore avoir des hommes et des femmes politiques qui est le courage d'affronter la magistrature rose et corrompu
Moi je souhaite comme d'autres personnes une legiferation de la la castration physique pour au moins les recidivistes de l'inceste. Je crois que ça serait bon et efficace d'opter pour cette operation pour les modérer et leurs induirent de la honte et peut-être de la culpabilité !
L’ampleur de la souffrance des enfants victimes de comportements incestuels et(ou) incestueux ne semble pas atteindre notre société.
Quand envisagera-t-on de faire peser la peur sur les prédateurs et non sur les victimes ?Qu’attendent nos gouvernants pour que le juge DURAND et ses collaborateurs reprennent leurs fonctions à la tête de la Ciivise. Un lourd travail avait été réalisé par cette équipe mais il semble demeurer lettre morte.
Qui a repris le flambeau ? Personne ? Plus de nouvelles de cette Commission !!!
La présidente, gynécologue désignée un temps pour remplacer le Juge DURAND, s’opposait à ce que les médecins puissent faire le moindre signalement. C’était déjà de mauvais augure.
Par qui ces jeunes victimes pourraient -elles être entendues ? Veut-on les entendre ou les bâillonner ? On peut se poser la question.
C’est scandaleux !
Il est grand temps que la justice fasse réellement et vraiment son travail mais bon car les pervers sexuels aujourd'hui sont protégés par nos lois et notre pays et les victimes (que ce soit les enfants et adultes) sont maltraités durant des années par une justice qui décide d'effectuer sans cesse des reports de procès au lieu de le terminer réellement (preuves à l'appui). Il est temps de nous faire entendre et que la justice nous écoute enfin !!
La force des habitudes S'habituer, c'est renoncer. Ne nous habituons jamais à tout ce qui se passe sous nos yeux.
C'est l'erreur la plus cruelle, celle qui pousse à se dire que "Finalement, c'était pas si grave".
Ce murmure oppressant qui veut nous faire croire qu'une page tournée est toujours plus agréable qu'une colère qui demeure.
Non, tout cela n'est pas dans l'ordre normal des choses.
"C'était pire avant" et "On verra demain si c'est mieux" sont nos menottes.
Des bouleversements de société comme celui incarné par la crise du Covid-19 sont la preuve que l'habitude est un poison lent, discret et qui vous détruit en un claquement de doigts quand il se réveille.
Restons vigilants.
Gardons nos neurones en alerte.
Assurément, nous ne changerons jamais la face du monde.
Mais nous aurons agi, déjà en ayant gardé les yeux ouverts.
Nous aurons agi, aussi, en parlant.
On se dit qu'une vidéo YouTube, par exemple, peut avoir un écho suffisant aujourd'hui pour alerter les esprits et amorcer un changement.
Mais n'oubliez jamais : parler à son voisin, à son boulanger, à un collègue, le changement se cache aussi dans le banal.
N'oublions pas que les crises traversées font de nous des individus de plus en plus atomisés, esseulés, éloignés.
Par la peur, par les désaccords, par la distance, nous nous éloignons.
Et l'individu seul s'enferme tôt ou tard dans le cachot de ses pensées qui reprennent en miroir ce que les écrans auront bien voulu dire.
Mais deux individus qui échangent, qui discutent, qui débattent ?
Que peuvent-ils ?
N'oublions jamais la force du commun.
Ceux qui attendent l'inverse pourront peut-être bien gagner la partie un jour.
Mais offrons-leur un combat digne de ce nom.
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