Pour que la voix d'une enfant de 8 ans soit entendue par la justice
Pétition
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Destinataire(s) :
Madame la Garde des Sceaux, Madame la Ministre des droits des Femmes, Madame la Secrétaire d’État chargée de la Famille
Victoire
La pétition
Mise à jour
L'enfant de huit ans a été entendue par la Justice et sa demande a été prise en compte. La justice l'a entendue, alors que le premier juge avait refusé de la voir, et sa demande de résider davantage chez la mère a été prise en compte.
Dans le même temps, la Cour de cassation a rappelé dans une autre affaire que l'âge ne pouvait pas être pris en compte comme argument pour refuser d'écouter un enfant.
Merci à tous pour votre participation !
28/04/2015
VICTOIRE DE LA PÉTITION !
L'enfant de huit ans a été entendue par la Justice et sa demande a été prise en compte. La justice l'a entendue, alors que le premier juge avait refusé de la voir, et sa demande de résider davantage chez la mère a été prise en compte.
Dans les mêmes temps, la Cour de cassation a rappelé dans une autre affaire que l'âge ne pouvait pas être pris en compte comme argument pour refuser d'écouter un enfant.
Merci à tous pour votre participation !
28/04/2015
Sur demande du père lors de la séance de conciliation des parents, un juge du tribunal de Lille a imposé en novembre 2014 la résidence alternée à une enfant de 8 ans.
L’enfant avait écrit pour demander à être entendue par le juge, souhaitant continuer la formule expérimentée depuis quatre mois : partage des périodes de vacances scolaires à mi-temps entre le père et la mère, résidence chez la mère pendant les périodes scolaires avec un week-end sur deux chez le père. Le juge a rejeté la demande compte tenu du jeune âge de l'enfant et en conséquence de son manque de discernement. (sic)
Nous vous demandons, Madame la Garde des Sceaux, Madame la Ministre des droits des Femmes, Madame la Secrétaire d’État chargée de la Famille de faire prendre des mesures pour que le droit à l’expression d’un enfant ne soit pas bafoué et que la résidence alternée ne soit pas imposée avec des prétextes fallacieux lorsque l'enfant et la mère proposent une autre solution.
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Pour que la voix d'une enfant de 8 ans soit entendue par la justice
les enfants ne sont pas entendus, les auditions restent dans les commissariats,les enfants violés sont séparés de leurs mères sous prétexte de conflits parentaux .... la violence inouïe et définitive de l'inceste est niée ou sous estimée ... quel est ce parti pris national ?
100
Jacqueline - Le 30/04/2015 à 09:39:28
il faut toujours ecouter l'enfant .apres c'est aux professionnels d'apporter leur analyse de ce discours .il vaut mieux ecouter un enfant pour rien que de ne pas l'entendre!
100
Caroline - Le 30/04/2015 à 10:29:26
Parce qu'il faut écouter les désirs des enfants et surtout entendre leur crainte, leur peur et les aider à se construire plutôt que de contribuer à leur destruction par manque de dialogue et d'échange avec l'enfant.