"Vous me direz, si une bombe explose le 24 mars sur les Champs à cause de la Manif pour tous, c'est pas moi qui vais pleurer", retweetait Pierre Bergé, patron du journal Le Monde très pro-Macron, en mars 2013. "Voter Fillon c'est voter Vichy", prétendait le même en novembre 2016.
On la position du journal le Monde durant la campagne a été amplement commentée.
Le syndicat des journalistes de Challenges dénonçait en avril 2017 le parti-pris pro-Macron qu'adoptait son journal, les articles hagiographiques de Bruno Roger-Petit et de Maurice Szafran, et les pressions qu'on subies les journalistes qui ont publié un article critique « Où sont les millions de Macron ? »
Comment peut-on encore donner du crédit à la presse française? 90% des journalistes sont marqués politiquement, et on ne pourra plus nous faire croire que ça ne se ressent pas dans leur travail!
Le journaliste devient un être condescendant, dictant au citoyen-enfant ce qu'il faut penser, jetant ses anathèmes sur quiconque ne pense pas "bien", comme lui, appelant à une rééducation des masses à grand coup de campagnes de publicité, de cris d'opprobre ou de pressions policières.
La presse est devenue un organe de propagande au service d'une idéologie mainstream, aseptisée et méprisante de toute une partie des français.
La presse est soumise au joug d'intérêts financiers ou de lobbies pourtant minoritaires.
Comme la Pravda avant elle, la presse française n'incarne plus cet outil d'information indispensable au bon fonctionnement de la démocratie.
Seul leur porte-monnaie guide leurs "actions." Et c'est leur talon d'Achille. C'est en titillant le porte-monnaie des dirigeants de presse, que l'on pourra faire évoluer les choses! Ne plus la lire, se désabonner, la rejeter symboliquement, permettra de faire réagir les patrons de presse.
Boycotter la presse devient un devoir citoyen!
Il faut un renouvellement des journalistes. La surreprésentation de ces mêmes élites endogames et condescendantes au sein des rédactions est inadmissible. Le formatage idéologique que subissent les jeunes en école de journalisme n'est pas digne du pays des Lumières qu'est la France. Le mépris qu'affichent les journalistes vis-à-vis des souffrances, des peurs ou des espoirs de certains français est insoutenable.
Dès lors, je m'engage à me désabonner de ces médias tendancieux.
Je m'engage à ne plus leur verser un centime en kiosque, alors même que l'information est accessible gratuitement sur internet.
Je m'engage à faire connaître cette position militante autour de moi, afin de promouvoir la pluralité de la presse et l'adoption d'une éthique par les journalistes.
Ensemble, redonnons ses lettres de noblesse à la démocratie!
Vous êtes sûr ? Votre mobilisation est importante pour que les pétitions atteignent la victoire !
Sachez que vous pouvez vous désinscrire dès que vous le souhaitez.