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Médias : on nous cache tout

Médias : on nous cache tout Pétition
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Auteur :
Auteur(s) :
Alain Nicolaï
Destinataire(s) :
CSA
La pétition
On nous cache tout.


« L’information objective tend à être complète. L’information partiale tend à être partielle. »


 « Le droit à l’information objective est un droit fondamental des démocraties et de toutes sociétés tendant vers le Progrès. »


Est-il normal que des informations essentielles soient volontairement passées sous silence ?


Vous voulez un exemple, avez-vous entendu parler de ceci ?


  
Un collectif de médecins et scientifiques alerte sur les dangers du nouveau confinement

Près de 300 universitaires, scientifiques, professionnels de la santé, du droit, de l’éducation et du social, ainsi que des artistes, se déclarent « atterrés » par des discours officiels qui dramatisent indûment la réalité afin de justifier des mesures de confinement.


C’est un secret de polichinelle : le reconfinement était envisagé depuis l’été dernier. La stratégie de communication du ministère de la Santé s’est déployée autour de cette perspective depuis plus de deux mois, de façon à le faire accepter par la majorité de la population le jour J. Les médias mainstream lui ont fourni une aide décisive. Ils sont le relais et l’instrument privilégiés de cette communication.


Et, force est hélas de constater qu’ils jouent très bien le rôle qui leur a été assigné. S’appuyant mécaniquement sur les chiffres, cette communication consiste à ne s’intéresser qu’aux indicateurs les plus alarmants, en les changeant au fil du temps si celui qu’on utilisait ne permet plus d’envoyer le message espéré.


Et si un indicateur a une évolution en dents de scie, la communication se fait uniquement les jours où les chiffres augmentent. Il n’y a qu’un seul message possible.


Avant-hier, 27 octobre, la manipulation a encore opéré. La totalité des médias a titré sur les prétendus 523 morts : « Du jamais vu depuis le confinement » . Or ce chiffre était faux. Selon Santé Publique France, il y a eu 292 morts à l’hôpital le 27 octobre, contre 257 la veille (le 26) et 244 (en baisse donc) le 28. Mais l’on ajoute les morts en EHPAD qu’une fois tous les quatre jours en les cumulant. Prétendre compter les morts quotidien ce jour-là revient donc à gonfler artificiellement les chiffres. Et c’est étonnamment ce qui s’est passé la veille de l’allocution annoncée du président de la République, qui a repris à son compte ce chiffre faux. Est-ce un détail ? Non, ce n’est hélas qu’un exemple parmi beaucoup d’autres.


Une deuxième vague prétendue « plus terrible encore que la première »

C’est le président du « Conseil scientifique » (M. Delfraissy) qui le disait il y a quelques jours : arriverait une deuxième vague « plus forte encore que la première » et nous serions déjà dans « une situation critique ». Ce genre de prédiction catastrophique constitue une manipulation d’un Conseil qui n’est pas scientifique mais politique. Rien ne permet non plus d’affirmer que, sauf confinement, « d’ici quelques mois, c’est au moins 400.000 morts supplémentaires à déplorer » , comme l’a pourtant prétendu hier soir le président de la République. Enfin, il est également faux de dire que nous ferions comme tous nos voisins européens. A ce jour, seuls l’Irlande et le Pays de Galles ont reconfiné la totalité de leur population.


Il serait urgent de revenir à la raison. Selon les chiffres de Santé Publique France, sur les près de 15 millions de tests effectués à ce jour, 93% sont négatifs. Et parmi les 7% restant de la population testée positive, plus de 85% ont moins de 60 ans ; il s’agit donc essentiellement de personnes qui ne risquent pas de faire une forme grave de la maladie. Au final, moins de 1% de la population est donc « à risque » et c’est uniquement elle qu’il faut protéger.


Autre façon de le dire : au cours de la période récente (entre le 1er septembre et le 20 octobre, jour où nous avons fait ce calcul), 7.621.098 personnes ont été testées. Sur cette même période, 38.100 individus ont été hospitalisés (0,5%) et 6.593 ont été admis en réanimation (0,09%) avec un test positif au Covid. En d’autres termes, depuis le 1er septembre, sur cet énorme échantillon de la population de 7,6 millions, la probabilité moyenne pour un individu lambda (sans distinction d’âge ou de comorbidité) de ne pas être hospitalisé est de 99,5% et celle de ne pas être admis en réanimation est de 99,91%.


Justifier le reconfinement de 67 millions de Français sur cette base s’appelle un délire.


Hier, le 28 octobre, 3045 personnes étaient en réanimation. Comment parler de saturation lorsque l’on se souvient que, fin août, le ministre de la Santé annonçait 12.000 lits disponibles si besoin (quatre fois plus donc). Où donc sont ces lits ?


On dit alors : « Oui, mais l’hôpital est submergé par le Covid ».


Manipulation encore, pour trois raisons. D’abord, les tests ayant été généralisés depuis juillet, toute personne entrant à l’hôpital porteuse d’une trace du Covid est comptée comme un « hospitalisé Covid » même si elle vient en réalité pour son cancer ou son hypertension. Et c’est la même chose si elle entre en réanimation ou si elle décède.


Ensuite, si les chiffres de l’hospitalisation et de la réanimation augmentent bel et bien, cela n’a rien d’exceptionnel : c’est au contraire ce qui se produit chaque année à la même époque (automne-hiver) mais que l’on fait semblant d’avoir oublié. Un Alzheimer généralisé s’est-il emparé de nos politiques et des journalistes ? Faut-il rappeler qu’en janvier 2020, à la veille de la crise du Covid, 1000 médecins dont 600 chefs de service des hôpitaux avaient menacé de démissionner pour dénoncer « un hôpital public qui se meurt » ?


La vérité est que les gouvernements ne veulent pas investir dans l’hôpital public où l’on maltraite les professionnels et où l’on a perdu près de 70.000 lits en 15 ans lors même que la médecine de ville est saturée et que les services d’urgence voient leur fréquentation augmenter d’année en année. Oui, l’hôpital est en tension mais ce n’est pas fondamentalement à cause du Covid ! C’est essentiellement à cause de la maltraitance politique dont ce service public est l’objet de manière générale depuis plus de 20 ans, et tout particulièrement depuis que les politiques y ont introduit comme partout une politique du chiffre et de la rentabilité inspirée du management des grandes entreprises.


La vie sociale amputée, la démocratie en péril

La vérité est que le confinement (qui sera peut-être prolongé au-delà du 1er décembre) crée bien plus de problèmes qu’il n’en résout. Son bilan mondial n’est associé à aucune réduction mesurable de la mortalité tandis que son principal résultat observable est d’abord de mettre au chômage des centaines de milliers et peut-être demain des millions de personnes, surtout évidemment parmi les plus fragiles (emplois précaires, CDD, intérim, personnes payées à la prestation, saisonniers, etc.), et de menacer de disparition la plupart des petites entreprises, souvent familiales, autres que les commerces de bouche, dont l’activité quotidienne est la seule source de revenu. Gageons que les très grands groupes s’en satisferont car ils les rachèteront sans doute demain.


Ces mesures de confinement ont ensuite pour effet d’amputer la vie sociale de la plupart des liens sociaux autres que familiaux. Un certain style de vie et de pensée embourgeoisé s’en satisfaisait certes au printemps dernier, chaque enfant ayant sa chambre pour vivre son intimité, son ordinateur pour rester en contact avec l’école et son smartphone avec forfait illimité pour échanger en permanence avec ses amis, les parents faisant du télétravail, sortant chaque jour faire leur footing dans des rues et des espaces verts « où on entendait de nouveau les oiseaux », et se faisant livrer des repas à domicile s’ils avaient la flemme de faire à manger ou la peur d’aller se mêler à la populace dans un supermarché.


Mais de quelle proportion de la population cette vie est-elle le quotidien en confinement ? Qui ne voit que le confinement fait exploser les inégalités sociales, les échecs scolaires, les violences intra-familiales, les troubles psychologiques et les renoncements au soin ? Qui ne sait qu’il entraîne déjà dans d’autres pays des soulèvements et des émeutes de la faim ? Et qui comprend que les oiseaux ont bon dos et que ces petits moments de répit procurés par la panique des humains ne sont rien au regard de leur lente extinction ?


Quant à la démocratie, elle est mise sous cloche par l’état d’urgence permanent et le confinement. Qu’est-ce qu’une démocratie sans liberté d’aller et venir, de se réunir et de manifester ? Qu’est-ce qu’une démocratie où il n’y a quasiment plus personne dans les hémicycles des assemblées parlementaires ? Qu’est-ce qu’une démocratie où la justice est paralysée faute de pouvoir audiencer ? Qu’est-ce qu’une démocratie où, finalement, il n’y a plus qu’un pouvoir exécutif ? Qu’est-ce qu’une démocratie où tout ceci s’impose par la peur et la culpabilisation, voire la censure et la mise en accusation de quiconque refuse d’y céder ?


Chacun, en conscience, tirera les conséquences qu’il veut de tous ces dramatiques constats. Nous n’appelons pas à la révolution et nous ne faisons pas de politique partisane. Mais nous voulons dire que nous en avons plus qu’assez qu’on nous demande de nous comporter comme les moutons de Panurge au nom d’un principe de précaution totalement dénaturé et d’interprétations statistiques relevant de la manipulation.


Nous réclamons qu’on en finisse avec cette panique sanitaire, qu’on donne aux soignants les moyens de remplir leurs missions de santé publique, qu’on cesse de violenter des pans entiers de la société et qu’on sorte de cet état d’urgence permanent pour bâtir démocratiquement une politique sanitaire consensuelle.


Signataires :


Laurent Mucchielli, sociologue, directeur de recherche au CNRS


Laurent Toubiana, chercheur épidémiologiste à l’INSERM, directeur de l’IRSAN


Jean Roudier, professeur de médecine, rhumatologue, directeur de l’unité INSERM UMRs 1097


Paul Touboul, Professeur de cardiologie à l’université Lyon 1


Pierre-Yves Collombat, ancien sénateur du Var, ancien vice-président de la commission des lois


Jean-François Toussaint, professeur de physiologie à l’Université de Paris, ancien président des Etats Généraux de la Prévention


Marc Rozenblat, président du syndicat National des médecins du sport-santé


Christian Celdran, Directeur Régional des Affaires Sanitaires et sociales (DRASS) honoraire


Chantal Brichet-Nivoit, médecin et correspondante de l’Académie d’Ethique à l’Université de Paris


Dominique Eraud, médecin, présidente de la coordination nationale médicale santé environnement


Louis Fouché, médecin anesthésiste, réanimateur hospitalier


Bernard Marsigny, médecin anesthésiste réanimateur hospitalier


Gilles Perrin, médecin anesthésiste réanimateur


Bernard Swynghedauw, biologiste, directeur de recherche émérite à l’INSERM


Rose-Marie Castello, médecin du Travail


Sroussi Hubert, médecin généraliste (Montbéliard)


Cécile Bourdais, maîtresse de Conférences en Psychologie à l’Université Paris 8 Vincennes à Saint-Denis


Marie Estripeaut-Bourjac, professeur Émérite à l’Université de Bordeaux


Rémy Marchal, professeur des universités à l’École Nationale Supérieure d’Arts et Métiers


Marie-Laure Cadart, médecin et anthropologue


Jean-Jacques Vallotton, médecin généraliste (39)


Florence Lair, radiologue libérale, Blois


Gilles Guglielmi, professeur de droit à l’Université Paris II Panthéon-Assas, Directeur du Centre de Droit public comparé


Éric Desmons, professeur de droit public, université Sorbonne Paris Nord


Alain Wurtz, professeur émérite de Chirurgie Thoracique, Université de Lille


Bernard Dugué, ingénieur des Mines, docteur en pharmacologie, docteur en philosophie


Elizabeth Oster, avocat à la Cour, ancien membre du Conseil National des Barreaux


Arnaud Rey, chercheur en psychologie au CNRS


Mathias Delori, politiste, chargé de recherche CNRS


Alexandra Menant, docteur en biologie, chercheuse au CNRS


Alain Deville, physicien, professeur émérite à l’Université Aix-Marseille


Thierry Oblet, Maître de Conférences en Sociologie, Université de Bordeaux


Éric Plaisance, professeur de sociologie à l’Université Paris Descartes


Thierry Flaget, Conseiller principal d’éducation


Marc Cognard, professeur de biologie et physique-chimie en lycée


Cesare Mattina, enseignant/chercheur à Aix-Marseille Université


Nathalie Chapon, Enseignante et Chercheure à Aix-Marseille Université


Elise Carpentier, professeur de droit public à l’Université d’Aix-Marseille


Marc Roux, professeur Honoraire de Zootechnie


Pascale Gillot, Maître de conférences en philosophie, Université de Tours


Charalambos Apostolidis, Professeur de droit international à l’Université de Bourgogne


Didier Blanc, Professeur de droit public à l’Université de Toulouse


Christophe Leroy, Biologiste, Docteur en Biologie Moléculaire et Cellulaire


Dominique Domergue Anguis, gynécologue


Evelyne Fargin, professeur de chimie à l’Université de Bordeaux


David Lepoutre, professeur de sociologie, Université de Paris Nanterre


Isabelle Vinatier, professeur émérite de sciences de l’éducation à l’Université de Nantes


Marie Touzet Cortina, Maître de Conférences à l’Université de Bordeaux


Murielle Dellemotte, Médecin du Travail


Monique Lamizet, médecin


Bernard Lamizet, ancien professeur d’université à Sciences Po Lyon


Monique Romagny-Vial, professeur des universités


Jean-Jacques Robin, Juriste ancien directeur d’établissements médico-sociaux


Sébastien Aubert, professeur agrégé de Génie Mécanique, Ecole Nationale Supérieure d’Arts et Métiers


Laurence Maury, psychologue (psychologie sociale et cognitive)


Isabelle Aubert, Maitre de conférences HDR à l’Université de Bordeaux


Thierry Gourvénec, pédopsychiatre


Michèle Leclerc-Olive, chercheure retraitée CNRS-EHESS


Hélène Banoun, pharmacien biologiste, Docteur ès-sciences pharmaceutiques


André Cayol, enseignant chercheur retraité de l’Université de Compiègne Sorbonne


Shanti Rouvier, Docteure en Psychologie Clinique et Psychopathologie


Jean-Michel de Chaisemartin, psychiatre des Hôpitaux Honoraire


Gilles Mottet, enseignant artistique compositeur


Marta Barreda, Médecin généraliste, spécialiste en Santé Publique


Camille Allaria, Sociologue, chercheuse associée au CNRS


Pierre Duchesne, Psychanalyste


Michel Angles, médecin généraliste (12)


Daniel Robinson, médecin généraliste (Ecully)


Jean-Pierre Eudier, Chirurgien-Dentiste


Christian Perronne, médecin infectiologue


Christine Claude-Maysonnade, avocate (Tarbes)


Eugenia Lamas, chercheuse en éthique, INSERM


Hervé Joly, directeur de recherche CNRS, Lyon


Sylvie Laval, psychiatre


Daniel Chollet, médecin pneumologue


Brigitte Agostini, infirmière libérale, Propriano


David Esfandi, psychiatre-addictologue, Bordeaux


Thiou Sandrine, médecin généraliste à Besançon


Ariane Bourgeois, Avocat au Barreau des Hauts-de-Seine


Emmanuelle Lemonnier, médecin généraliste, Villenave d’Ornon


Jean-Jacques Coulon, médecin généraliste Bourges


Marc Richevaux, magistrat, maître de conférences à l’Université du Littoral Côte d’Opale


Jean-François Lesgards, biochimiste, chercheur au CNRS


Brigitte Weiss, Médecin généraliste


Laura Giusti, Médecin psychiatre


Mylène Weill, biologiste, directrice de recherche au CNRS


Eric Bouvier, pharmacien


Bernard Cornut, polytechnicien


Mohamed Zelmat, biologiste médical


Dominique Jaulmes, médecin retraitée, ancien PHTP AP-HP


Anne Marie Begue-Simon, ancien maître de conférences des Universités en sciences humaines, ancien médecin et expert honoraire près des Tribunaux


Tanguy Martinelli, médecin généraliste à Issigeac (Dordogne)


Caroline Mecary, Avocate aux barreaux de Paris et du Québec, Ancien Membre du Conseil de l’Ordre


Bernard Banoun, Professeur de littérature allemande, Sorbonne Université, Faculté des Lettres


Hugues Debotte, Conseiller en droit


Sendegul Aras, avocat au barreau de Strasbourg, Membre du Conseil de l’Ordre


Amandine Thomasset, psychiatre, praticien hospitalier


Lisbeth Girard Claudon, Médecin généraliste


Benoît Rousseau, juge des libertés et de la détention (Cayenne)


Cécile Fortanier, docteur en Économie de la Santé, Cadre Hospitalier


Delphine Rive, médecin généraliste (Rezé)


Claude Gautier, professeur de philosophie, École Normale Supérieure de Lyon


Nathalie Caradot, médecin généraliste


Michel Soussaline, chirurgien AIHP- ACCAHP


Nicolas Sembel, professeur de sociologie à Aix-Marseille Université


Roland Pfefferkorn, professeur émérite de sociologie à l’Université de Strasbourg


Maryse Esterle, sociologue, enseignante-chercheure honoraire de l’université d’Artois


Lucie Jouvet Legrand, Maîtresse de Conférences en Socio-Anthropologie


Caroline Petit, chercheuse au CNRS, USR 3608


Pascal Lardellier, Professeur de sciences de la communication à l’Université de Bourgogne


Aurélia Vessière, Chercheur en maladies infectieuses


Marie-José Minassian, philosophe


Fausto Lanzeroti, Ostéopathe D.O.


Jean-Marc Le Gars, Avocat au Barreau de Nice


Michel Deshaies, Professeur de Géographie, Université de Lorraine


Thierry Orsiere, Ph D HDR, Ingénieur de Recherche en Toxicologie Génétique à Aix Marseille Université


Jean-Luc Viaux, professeur émérite de psychologie à l’Université de Rouen


Jacques Bouaud, chercheur en informatique médicale


Jean-Michel Crabbé, médecin généraliste (Besançon)


Patrick Bellier, pneumologue


Isabell Erhardt, médecin généraliste


Franklin Joulie, Chirurgie Gynéco-Obst (Nantes)


Pascal Sacré, Anesthésiste-réanimateur


Aurélien Dyjak, docteur en sociologie, formateur


Jean-Luc Stanek, Santé Navale et chirurgien-dentiste


Jeanine Jemet, médecin généraliste


Rosa Gutierrez Silva-Lenud, infirmière, diplômée en Santé publique


Claude Amzallag, musicien


Bénédicte Helfer, Expert Science de Régulation


Nicole Foulquier, Avocat (Beziers)


Claude Murtaza, médecin généraliste


François Gastaud, Chirurgien orthopédiste


Gérard Ostermann, Professeur de Thérapeutique, Médecine Interne, Psychothérapeute


Michel Boudet, Médecin généraliste


Anne-Elisabeth Migeon, Diététicienne/Nutritionniste


Béatrice Adam, Kinésithérapeute


Maylis Ferry, post-doctorante en science politique au Centre Émile Durkheim


Pierre Sonigo, directeur de recherche et développement


Rik Verhellen, médecin généraliste


Alain Le Hyaric, Médecin de Santé publique, Paris


Koryna Socha médecin, PH, docteur en sciences médicales


Jean Baptiste Mouzet, praticien hospitalier gériatre, Maine-et-Loire


Gérard Le Roux, médecin généraliste retraité


Jean Jacques Gandini, Avocat honoraire, Montpellier


Marie Monguet, psychologue clinicienne


Jean-Marc Rehby, médecin généraliste (Lille)


François de Chabalier, psychiatre, épidémiologiste


Cynthia Galand, infirmière diplômée d’état


Jérôme Reynier, Docteur en psychologie sociale


André-Pierre Bouillet, médecin généraliste (Talant)


Jean-Dominique Michel, socio-anthropologue


Maryse Pechevis, Avocat à la Cour (Montpellier)


Nadège Pandraud, enseignant-chercheur à Aix-Marseille Université


Didier Delaitre, médecin légiste, Le Bourget


Peter El Baze, médecin Ancien attaché des Hôpitaux du CHU de Nice


Heike Freire, philosophe et psychologue, spécialiste de la Pédagogie Verte


Dominique Leiber, médecin généraliste


Pascal Roman, Professeur de Psychologie clinique, psychopathologie et psychanalyse à l’Université de Lausanne


Maxime Langevin, Doctorant en mathématiques appliquées


Hélène Chollet, Docteur en médecine


Béatrice Petit, médecin généraliste


Raphaël Sendrez, masseur-kinésithérapeute et ostéopathe


Nicole Chaudiere, pharmacienne


Karim Souanef, maître de conférences en sociologie à l’Université de Lille


Vincent Manns, médecin généraliste acupuncteur


Martine Mérour, pneumologue


Myriam Balsat, médecin généraliste


Yves-Marie Mattheyses, Infirmier Anesthésiste


Anne Atlan, Directrice de Recherches au CNRS, Généticienne des populations et Sociologue


Caroline Mouzet-Heaulme, Médecin généraliste


Dominique Bouvier, pharmacienne


Nicole Roattino, pharmacienne Praticien Hospitalier


Evelyne Jaumary-Lapeyre, avocat, docteur en Science Politique


Sybille Burtin-Philibert, Médecin spécialiste de Santé Publique


Laurent Durinck, médecin anesthésiste


Véronique Ahari, médecin nutritionniste


Nathalie George, médecin du travail et épidémiologiste


Frédéric Schnee, médecin gériatre coordonnateur en Ehpad


Thierry Medynski, médecin généraliste


Teddy Francisot, Avocat à Montpellier


Blanche Magarinos-Rey, avocate au Barreau de Paris


André Bonnet, avocat au barreau de Marseille


Hélène Palma, maître de conférences à l’Université d’Aix-Marseille


Jean Luc Wabant, avocat


Guy Chapouillié, Professeur Emérite à l’ENSAV de Toulouse


Évelyne Gandais, Dermatologue


Nicole Karsenti, Médecin généraliste


Fabien Giboudot, médecin généraliste (39)


Gwennola Nouet Berthelot, docteur en médecine (49)


Édith Delbreil, avocate au barreau d’Avignon


Serge Rader, Pharmacien, Paris


Valérie Giraud, Sage-femme sexologue


Emmanuel Sarrazin, médecin généraliste


Franck Enjolras, psychiatre et anthropologue


Anne Catherine Martin, médecin généraliste


Paul-André Bellot, chirurgien dentiste


Francine Barouch, médecin Homéopathe (Nice)


Catherine Delmas, médecin généraliste, Toulouse


Jean Emsallem, médecin angéiologue


Morgane Miègeville, cadre de santé


Patricia Melot, médecin généraliste


Sylvie Huitorel, infirmière libérale (56)


Marc Arer, médecin généraliste (Saint-Etienne)


Philippe Bos, anesthésiste-réanimateur retraité


James Masy, maître de conférences en sciences de l’éducation à l’Université Rennes 2


Benoit Marpeau, maître de conférences en histoire, université de Caen-Normandie


Anne-Gabrielle Mottier, orthophoniste


Lidia Wacheux, aide-soignante


Bénédicte Dassonville, médecin généraliste


Christophe Dargere, sociologue, chercheur associé au Centre Max Weber


Tamara Baron, psychologue


Dominique Géraud-Coulon, médecin rééducateur (Gap)


Pierre Maugeais, médecin généraliste (30)


Françoise Giorgetti-D’Esclercs, médecin Oto-rhino-laryngologiste, CHU Marseille


Paul Report, retraité, ancien magistrat des tribunaux administratifs et cours Aude Meesemaecker, infirmière, naturopathe, Montpellier


Marianne Bordenave-Jacquemin, maître de conférences en physiologie végétale, Sorbonne-Université


Emmanuel Krivine, chef d’orchestre, directeur honoraire de l’orchestre national de France


 

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28 commentaires
Le 03/11/2020 à 14:21:54
PFFFFFFFFFFFF vous ne savez plus quoi inventer !!
8 0
Alain - Le 04/11/2020 à 18:06:05
N'est manipulé que celui qui veut bien se laisser manipuler.
5 0
Le 04/11/2020 à 09:01:26
Mieux vaut (comme beaucoup aujourd'hui ) s'eloigner de ces medias bien plus toxiques que ce qui nous entoure.
4 0
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