“C’est la fin d’un faux suspens”
Vous l’avez peut être entendu, Guillaume Meurice, humoriste talentueux et engagé a été licencié de France Inter pour “déloyauté répétée”.
Cette décision fait suite à ses propos polémiques sur le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, propos qui ont été initialement critiqués comme antisémites, avant que la plainte ne soit classée sans suite.
Cette décision, vous le savez Mme Veil, présidente de Radio France, est perçue par beaucoup d’entre nous comme une atteinte grave à la liberté d'expression.
Guillaume Meurice a toujours utilisé l'humour comme moyen de critiquer et de questionner le pouvoir. Son style mordant et ses propos incisifs sont essentiels dans une démocratie où la satire et la critique sont des outils indispensables pour le débat public.
Son licenciement est une attaque contre la liberté d'expression et un précédent dangereux pour tous les humoristes, journalistes et citoyens. La critique et la satire sont des éléments vitaux de notre société, et les réduire au silence équivaut à affaiblir notre démocratie. Bon nombre des humoristes travaillant pour vous ont d'ailleurs démissionné suite à cela Aymeric Lompret, GiedRé, Laélia Véron…
Par cette pétition, nous souhaitons exprimer notre soutien indéfectible à Guillaume Meurice.
C’est la liberté d'expression que vous dirigeants de France Inter venez de bafouer alors même que nous sommes à une époque où celle-ci est cruciale et plus que jamais importante.
En signant cette pétition, nous affirmons notre soutien à Guillaume Meurice et à tous ceux qui, par leur travail, défendent la liberté d'expression.
Nous refusons que l'humour soit muselé par des décisions administratives et nous nous opposons à toute tentative de restreindre la critique et la satire dans les médias.
Ensemble, défendons notre droit à rire et à critiquer librement.
Lettre à France (Inter) pic.twitter.com/RNQKCR0vwG
— Guillaume Meurice (@GMeurice) June 12, 2024
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