Pétition
43
signatures
Encore 57 signatures pour que cette pétition ait plus de chances de devenir virale sur les réseaux sociaux.
Auteur :
Auteur(s) :
Adrien Gontier
Destinataire(s) :
Secrétaire d’État à la Consommation, les Candidtats à la présidentielle et les représentaux locaux
A la députée européenne de l’Est de la France, Sandrine Bélier (EELV)
Au député de la 2ème circonscription de Strasbourg, Jean-Philippe Maurer (UMP)
Au Secrétaire d’État à la Consommation, Frédéric Lefebvre
Aux candidats à l’élection présidentielle
Les consommateurs européens sont de plus sensibles aux qualités socio-environnementales des produits qu’ils consomment. Mais ils doivent faire face au fleurissement de logos plus ou moins honnêtes et de slogans trompeurs. Ainsi, même en lisant un emballage ou une étiquette de composition, il leur est impossible de connaître réellement l’impact social et environnemental de leurs achats.
En tant que consommateurs ordinaires, nous souhaitons qu’une information claire et fiable soit obligatoirement mentionnée sur tous les produits de consommation et nous proposons quelques mesures simples qui permettraient d’y voir plus clair.
Nous proposons :
I. Contre les dérives des slogans
Que, lors de la mise en avant de certains ingrédients, figure explicitement à côté de la mention dudit ingrédient son pourcentage massique. Dans une crème à l’arnica par exemple, que soit mentionné le pourcentage d’arnica sur le produit total.
II. Pour la traçabilité des produits
Que l’indication des origines géographiques des composants soit obligatoire. Dans le cas de composants issus de la transformation de matières premières, que les noms des matières premières utilisées soit mentionnés. Par exemple, lauryl sulfate sodium : palme, coco – Indonésie, Malaisie, Philippines.
III. En ce qui concerne les impacts des produits
Que les impacts socio-environnementaux (englobant le bilan carbone® des matières premières et du produit fini, l’impact des déchets, les conditions de travail …) soient signifiés de manière obligatoire, par une note globale par exemple.
IV. Pour les répercutions des impacts
Que soit petit à petit instaurée, en se basant sur cette note, le prélèvement d’une taxe sur les produits à faible note qui serait redistribuée aux bons élèves de la même gamme.
Cette démarche relève d’une évolution du mode de consommation de citoyens dont les buts premiers lors d’un achat sont :
• d’encourager des productions respectueuses de l’Homme et de l’environnement,
• la transparence pour des choix éclairés.