Contre le relâchement des eaux usées des réacteurs nucléaires du Japon dans l’océan Pacifique

Madame, Monsieur,

merci pour votre soutien.

Veuillez trouver ci-dessous la mise à jour de l'article, simplifié.

En ce moment même de l'ouverture d'un sommet, il est important d'être mobilisé. Merci de transmettre le lien à vos ami(e)s.

Il en dépend de notre bien être de notre écosystème.

Merci.

Bien cordialement,

L’opérateur de la centrale accidentée de Fukushima (Tepco) avait annoncé le 25 août 2021 vouloir déverser dans l’océan plus d’un million de tonnes d’eau contaminée, issue des opérations de refroidissement des réacteurs endommagés par le séisme et le tsunami géant en 2011.

Douze ans après Fukushima, la pollution radioactive reste très élevée et le Japon va déverser dans l’océan Pacifique ces plus de 1 000 réservoirs d’eaux usées produites par le refroidissement des réacteurs de Fukushima.

Le 13 janvier 2023, le gouvernement du Premier ministre japonais Yoshihide Suga a de nouveau validé le relâchement des eaux de Fukushima dans l’océan Pacifique pour ce printemps ou cet été 2023, opération qui aura des effets pendant trentaine d'années, au moins.

L'eau tritiée étant très semblable à de l'eau ordinaire, son importance en radiotoxicité dépasse celle du gaz tritium parce qu'elle est assimilée par l'organisme représentant un grave danger sur la santé publique des populations du pacifique : îles et archipels français d'Océanie, d’États insulaires d'Océanie, Australie, de la Corée du sud ...

Aussi, faute de retour fiable sur les études scientifiques, le gouvernement Japonais doit faire preuve de recul sur les conséquences à venir pour notre planète.

Des témoignages montrent que des habitants ont perdu leurs cheveux, ainsi que des enfants qui jouaient avec la poussière des retombées. Aussi, quelques années plus tard, les taux de cancers ou de malformations congénitales y sont toujours élevés. Ainsi que dans la Polynésie française et des îles australiennes ont aussi souffert des retombées radioactives, moins intenses toutefois.

C'est une évidence, l’océan ne connaît pas de frontière et se chargera lui-même de répandre et de mettre à la dérive l’intégralité de ses eaux usées dans l’océan du Pacifique.

Mouvement pour la sécurité de la planète.

Lien de la pétition : Mouvement pour la Sécurité de la Planète