Monsieur le Président,
Le monde moderne n’a jamais affronté un fléau planétaire comme le réchauffement climatique, il n’a pas les moyens financiers nécessaires pour le combattre efficacement, pour preuve, le réchauffement progresse toujours.
Pénaliser financièrement les pays et leurs populations n’est pas une solution durable à long terme alors que le réchauffement est là pour durer. Les conséquences seront catastrophiques sur le plan économique et se rajoutent au désastre de ce fléau climatique.
Monsieur le Président, d’autres solutions existent, elles appartiennent à un futur possible comme l’exploitation des richesses du système solaire qui sont inexploitées et n’appartiennent à personne pour le moment.
Cela ne va pas durer, la ruée vers l’or spatial vient de commencer. La NASA a récemment envoyé une sonde pour voir de plus près l’astéroïde Psyché qui contiendrait des métaux précieux dont la valeur s’établirait en milliard de milliards de dollars et dépasserait largement celle de l’économie mondiale.
Légitimement, ces richesses spatiales appartiennent à l’humanité donc à l’ONU qui pourrait proposer des concessions aux puissances spatiales publiques ou privées pour l’exploitation des précieuses ressources, le tout validé par résolution de l’Assemblée générale de l’ONU. En suivant ce raisonnement, l'ONU augmente exponentiellement sa capacité de financement en ne dépendant plus de celui de ses pays membres.
Le réchauffement climatique étant un fléau planétaire, l’immense richesse de l’ONU fait qu’elle peut désormais assurer le financement de la lutte contre ce fléau. Ainsi, l’humanité aura plus de chance de stopper le réchauffement climatique et de limiter ses conséquences désastreuses grâce aux travaux planétaires que l’ONU pourra financer.
Anticiper le financement de la lutte contre le fléau climatique est possible rapidement ! Il n'est pas nécessaire d’attendre d’avoir la technologie permettant d’exploiter ces richesses pour démarrer ce projet futuriste. La création d’une banque centrale et d’une monnaie onusiennes (voir le projet futuriste de refondation financière et territoriale de l’ONU) ne dépendent pas du progrès technologique mais plutôt d’une volonté politique qui est plus facile à faire évoluer face aux impacts du réchauffement climatique.
L’ONU peut emprunter à sa nouvelle banque centrale pour subventionner tous les pays, elle est crédible pour emprunter sur de très longue durée (plusieurs décennies ou même siècles) le temps de démarrer et de rentabiliser l’exploitation de ces richesses.
Monsieur le Président, ce projet futuriste de refondation financière et territoriale de l’ONU est utopique aujourd'hui mais pas forcément demain. Il peut se comporter à terme comme une prophétie auto-réalisatrice. Plus on en parle, plus la population mondiale sera sensible à ses atouts face aux souffrances que le réchauffement climatique va progressivement lui infliger. En parler à la COP28, c'est entretenir l’espoir d’un monde meilleur qui booste la confiance en l’avenir de l’humanité !
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