Sous prétexte d’offrir un accès égalitaire aux réseaux de télécommunication, les antennes relais de la 4G/5G se multiplient, alors que la 3G, 4G et 5G couvrent actuellement notre village. Ce nouveau déploiement augmenterait considérablement le risque d'impact du rayonnement électromagnétique sur notre santé et celles de nos enfants. Plus de 10 000 études sur les effets des ondes électromagnétiques mettent en évidence qu’avec la 5G, la pénétration des ondes dans l’organisme est vingt fois supérieure.
Cette exposition provoquerait sur nous et nos enfants :
- une augmentation fulgurante des cas de cancers et tumeurs au cerveau chez les enfants
- l’apparition ou l’aggravation de maladies auto-immunes
- des troubles cardiaques
- des troubles circulatoires et rénaux
- des risques de cécité
- une atteinte du fœtus et des dysfonctionnements présents dès la naissance.
237 scientifiques et médecins de 41 pays ont demandé un moratoire à l’ONU et à l’OMS pour qu’elles se mobilisent et appliquent le principe de précaution. Ils ont démontré, par leurs connaissances spécifiques sur les champs électromagnétiques, que leur appel était fondé !!
Le principe de précaution n’est pas appliqué, alors que l’impact des ondes électromagnétiques a été démontré par le rapport Bioinitiative sur lequel s’est basé l’OMS (Organisation mondiale de la santé) pour considérer ces ondes comme potentiellement cancérigènes.
Les conflits d'intérêts viennent biaiser et masquer les études réalisées par les médecins et les scientifiques qui demandent donc des études sérieuses et indépendantes !
De plus, la 5G engage des conséquences sociétales et écologiques majeures (surproduction d'objets connectés, consommations énergétiques) en incohérence avec la nécessaire sobriété énergétique.
Dans ces conditions, nous voulons privilégier le principe de précaution, pour nous, pour nos enfants !!
Nous vous demandons de revenir sur votre accord pour le projet d’installation du pylône 5G et de refuser toutes les nouvelles étapes permettant la réalisation de ces projets, il est possible :
- De justifier cette interdiction par des motifs d'urbanisme qui, conformément aux exigences posées par l'article R. 123-2 du code de l'urbanisme, doivent figurer dans le rapport de présentation.
- D'imposer le principe de mutualisation en zone rurale (loi n°2021-1485 du 15 novembre 2021)
- De convaincre les propriétaires des terrains libres de ne pas les louer à l'entreprise TDF
Vous êtes sûr ? Votre mobilisation est importante pour que les pétitions atteignent la victoire !
Sachez que vous pouvez vous désinscrire dès que vous le souhaitez.