La Directive Cadre Européenne (DCE 2000) a demandé, en 2000, à tous les États membres d'améliorer la qualité des eaux de surface et souterraines.
Cette directive a fait l'objet en France, de la loi « LEMA 2006 » du 31 décembre 2006 (Loi sur l'Eau et les Milieux Aquatiques) qui a institué la continuité écologique dans les termes suivants : « permettre le transit des sédiments vers l'aval des cours d'eau et la libre circulation des poissons à la montaison comme à la dévalaison ».
Une des solutions mise en place par l'administration Française est de supprimer (ou araser) les ouvrages hydrauliques, notamment nos chaussées, pour évacuer plus rapidement nos pollutions diffuses vers l'aval (la mer).
La destruction des chaussées ne réglera en aucun cas le problème des pollutions des eaux.
Nous demandons :
- à garder des niveaux d'eau minimum dans nos rivières pour permettre la conservation de la faune et de la flore ;
- la conservation et la protection du petit patrimoine rural que sont nos moulins et nos chaussées ;
- la remise en fonction des vannages des chaussées avec une gestion coordonnée de ceux-ci ;
- à favoriser, chaque fois que cela est possible, la production d'hydroélectricité, énergie verte et renouvelable.
Collectif d'associations pour la protection de la Sèvre Nantaise et de ses affluents
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