Pétition
84
signatures
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Auteur :
Auteur(s) :
Nacer Draidi
Destinataire(s) :
Mme DATI ,ministre de la justice
Au nom de la défense des libertés et de l’égalité femme / homme et du respect du code du travail dans les entreprises
Les signataires de la présente pétition se déclarent solidaires de Mr DRAIDI NACER Ex-Délégué syndical de la société ETDE-BOUYGUES
Mme DATI
Les faits :
Depuis le 10 février 2005, je me bats pour ma dignité d’homme bafoué par le système judiciaire mis en place depuis de nombreuses années par ceux auquel vous prétendez défendre les opinions et convictions, c’est à dire l’UMP.
En effet je travaillais dans le groupe Bouygues-ETDE en tant que salarié syndiqué, mais syndiqué CGT et surtout libre de mes opinions et de mes actes, or dans ce groupe, donc le patron est très proche de votre président et quelquefois conseiller personnel de celui-ci, la liberté d’expression est une chose inadmissible.
Malgré un parcours professionnel sans faute, une demande de licenciement a été faite et refusé par l’inspection du travail des Yvelines en août 2004, que cela ne tienne, le groupe fait une demande auprès du ministère du travail, sous la direction de Borloo et de son chef de cabinet un certain Larcher pour mon licenciement avec les fautes suivantes « abondons de poste et demande d’ordre de mission ».
Le service qui gère les demandes de licenciement de salariés soit disant protégés, le bureau DS3 est dirigé par Mr Combrexelle, malheureusement pour moi ,ce service est a priori aux ordres de grands patrons et non de notre république, ce service ose écrire pour mon cas « il ne résulte pas de l’instruction qu’ un tel usage fut pratique dans l’entreprise, que dés lors Mr Draidi doit être considéré comme ayant abandonné son poste, qu’ une telle faute peut donc être considéré comme suffisamment grave pour justifier un licenciement » affaire suivi par Mr F*********. Madame DATI, ses fonctionnaires sont vraiment ignares et leur place n’est pas dans un ministère, ou leur arrogance est tellement forte que cela en devient de la connerie. En tant que syndicaliste, je me dois d’être a priori pour la défense des salariés de tout bord sans préjugé, mais dans leur cas je me demande comment des personnes comme elles, osent percevoir un salaire que nous, citoyens leur donnons.
S’il y avait eu qu’un début d’enquête, ils auraient pu avoir entre leurs mains des ordres de missions établis et signés par des directeurs d’agence du groupe Bouygues, moi-même j’aurai pu leur en fournir une dizaine.
Quand à dire abondant de poste, ma direction voulait m’ envoyer travailler sur un site, où le responsable atteste par écrit qu’il ne peut me recevoir du fait que son équipe est en manque de travail et que certain s de ses ouvriers ont dû resté chez eux.
Après maintes lettres à Chirac, Borloo, Larcher et de Villepin restées sans réponse.
En décembre 2005, j ai porté plainte auprès du procureur de la république de Versailles et auprès de la Halde, dossier fait à la demande de Mr AZOUZ BEGAG après intervention de Mr François BROTTES en date du 17/11/2005
Deux ans après, la Halde a dû clôturer mon dossier, car Mr le procureur ne permet pas l’instruction de ce dossier.
Dans le même temps et malgré des lettres en AR, le procureur de Versailles ne semble pas se préoccuper de mon cas. Et comme dans toutes procédures, au bout de deux ans, le dossier a dû être classé sans suite.
Un ouvrier dans le groupe Bouygues s’est suicidé en laissan