La France a été plongée, malgré elle, dans un climat malsain. Depuis des semaines les médias répandent avec succès la peur. Et plus récemment, la culpabilisation. Il n’y a plus aucune critique, plus d’opposition (sauf pour des questions de date d’élection dont on se moque), nous n’avons manifestement plus d’intellectuels non plus. On nous demande d’applaudir aux fenêtres à 20h. En boucle, on nous menace d’amende dont le montant augmente d’heure en heure. Nous devons nous auto-justifier sur papier. Mais nous ne sommes pas des enfants.
On nous a déclaré un état de guerre. Beaucoup de petites entreprises sont sommées de cesser leur activité ou ne peuvent plus assurer leur service, les avions restent au sol, les usines ferment. Des millions de gens ne travaillent plus ou n’étudient plus. Les bourses s’écroulent. Mais des dizaines milliards vont être imprimés. Des sommes faramineuses pour qui ? Quoiqu’il en soit la récession et l’hyper-inflation suivront. Les plus pauvres seront touchés pour longtemps. Peut-être que l’Europe et les USA ne s’en remettront pas.
La cause est une nouvelle forme du coronavirus, du même groupe que le SRAS, nommé COVID-19. On nous annonce qu’on fait tout cela pour nous, il faut retarder la contamination car nos services de santé ne peuvent pas faire face, des centaines de milliers de français vont peut-être mourir. Or, en Chine, l’épidémie a été jugulée, il y a eu 3 237 décès ; le nombre de morts journaliers n’est plus en croissance exponentielle mais en diminution : 11 hier pour ce virus sur une population de 1,386 milliards d’habitants.
On nous dit que le taux de mortalité est très supérieur à celui de la grippe, selon le site CNews aujourd’hui : "Le taux de létalité du coronavirus est compris entre 2,5 et 3%, soit près de trente fois plus élevées que celui de la grippe saisonnière ». Peut-on nommer les experts, les administrations ou les scientifiques qui sortent de tels chiffres ? Peuvent ils fournir le détail de leur calcul ? Ou, doit-on tout croire sur parole. Pourtant, en 2018 : « L'épidémie hivernale de grippe s'est terminée mi-avril en France métropolitaine, avec un bilan provisoire de 13.000 morts, soit moins que les 14.400 de l'année précédente, a indiqué Santé publique France mercredi 18 avril 2018 ». Pourrait il y avoir vraiment 300 000 morts en France alors qu’il y en aura eu moins de 4 000 en Chine ? On apprend aussi que plus des 80 % des porteurs seraient asymptomatiques, et pour la plupart non testés. Il n’est pas besoin d’être épidémiologiste ou statisticien pour comprendre que le taux de 2 ou 3 % de mortalité des personnes infectées est très erroné.
Nous demandons une autre façon de traiter cette épidémie, sans saborder l’économie et les finances de la France. Nous sommes contre la stratégie du confinement dont l’efficacité est contestable. L’exemple de la Corée du Sud aurait pu nous inspirer, plus pragmatique, un maximum de personnes ont été testées, le test est facile et peu coûteux. Les personnes positives pourraient être soignées et leur contamination limitée en connaissance de cause. En Corée du Sud, peuplée de 51 millions d’habitants et second foyer de l’épidémie, il n’y a eu à aucun moment de croissance exponentielle, et il est à regretter 84 morts. La population n’a pas été confinée, les commerces sont restés ouverts. On pourrait également parler des exemples de l’Angleterre, de l’Allemagne ou de la Suède.
Enfin, peut on continuer à s’auto-féliciter d’une gestion de la santé publique qui serait une des meilleures du monde ? Dans les faits, après des semaines de paroles et de dépenses, une pénurie de masques, d’alcool et de respirateurs. Pourtant, malgré les experts invités sur les plateaux, contribuant à la spirale de peur, il y a en France de vrais spécialistes de niveau mondial qui pourraient être entendus, même si leur avis sont contraires au consensus de la sphère politico-médiatique. Par exemple, le Prof. Didier Raoult, directeur de l'IHU de Marseille, que je vous invite à écouter sur Youtube. Ce médecin semble penser que ce virus est facile à soigner, que le coronavirus ne génère pas d’encombrement dans la plupart des hôpitaux, que le nombre de morts ne sera au final faible sans faire évoluer de façon notable la mortalité en France. Il propose un traitement, qui est essayé à l’étranger, qui convainc beaucoup de médecins et même des laboratoires comme Sanofi qui propose de livrer gratuitement à la France le médicament, un anti-paludique, pour soigner 300.000 malades (information facile à vérifier sur internet mais pas encore sur les chaînes d’information).
Nous devons sortir de cette zone d’irrationalité dans laquelle une propagande nous pousse et retrouver notre discernement, sinon, cette situation de guerre aura des conséquences économiques et sociales destructrices. Ce qui se passe est un moment grave de notre histoire, ne nous laissons pas manipuler et flouer, ce n’est pas l’esprit français de se soumettre docilement à une nouvelle forme de dictature, de folie ou de spoliation. Merci de signer cette pétition et d’oser résister.
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