En 1975, la France supprimait le vote par correspondance et le remplaçait par le vote par procuration afin de prévenir la fraude électorale. Prenant prétexte de l'épidémie de Covid-19,
les macronistes veulent aujourd'hui réformer la loi électorale pour rétablir le vote par correspondance en vue des prochaines élections, et notamment pour le scrutin présidentiel de 2022.
Officiellement, le rétablissement du vote par correspondance vise notamment à lutter contre l'abstention et à éviter le report des scrutins en raison de la situation sanitaire.
Mais personne n'est dupe. Après la fraude massive organisée par le clan Biden lors des élections américaines de 2020, fraude précisément rendue possible par le recours massif au vote par correspondance et par l'usage de machines à voter électroniques,
une telle réforme des procédures électorales françaises ne peut viser qu'un seul but : celui d'altérer la sincérité des scrutins à venir en manipulant les résultats des élections pour garantir aux candidats du système leurs réélections en dépit de leur impopularité et de leurs résultats catastrophiques.
Le Mouvement National-Démocrate s'oppose donc formellement à la réintroduction du vote par correspondance en France et à la généralisation des machines à voter électroniques. Nous formulons
8 contre-propositions pour une grande réforme de nos institutions :
- Prendre en compte le vote blanc parmi les suffrages exprimés ;
- Rétablir l'anonymat des parrainages d'élus pour les candidats à l'élection présidentielle ;
- Instaurer la prise en charge à 100% de l'impression des bulletins de vote et de la propagande électorale par l'État à chaque élection ;
- Supprimer toutes les subventions publiques destinées aux partis politiques ;
- Réhabiliter l'usage du référendum en donnant le dernier mot au peuple, et non plus en l'Assemblée Nationale, en cas de désaccord entre l'Assemblée et le Sénat à l'issue de la navette parlementaire ;
- Rétablir le septennat présidentiel pour rendre au chef de l'Etat sa hauteur de vue et sa fonction d'arbitrage par-delà les clivages partisans ;
- Réformer le mode de désignation des parlementaires, en faisant élire les députés au scrutin proportionnel et en instaurant le tirage au sort des sénateurs sur une liste de maires volontaires ;
- Aggraver les sanctions des élus qui se rendent coupables, dans l'exercice de leur mandat, de fraudes, de trafics d'influence et de conflits d'intérêts.
Aidez-nous à déconfiner la démocratie française : signez et partagez massivement cette pétition !