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Pétition

Décentralisation du pouvoir au Gabon.

Décentralisation du pouvoir au Gabon. Pétition
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Auteur :
Auteur(s) :
TOUS DEBOUT POUR LA DEMOCRATIE AU GABON !
Destinataire(s) :
L’Organisation des Nations unies (ONU).
La pétition
L’heure est grave....

Le Gabon, pays situé en Afrique Centrale avec une population 2.172.579 habitants et une richesse inestimable se retrouve aujourd’hui dans un bourbier chaotique semblable à celui dont parle l'écrivain Gabonais  Armel NGUIMBI BISSIELOU dans son œuvre intitulé <<le Bourbier>>.
Ce problème est dans tous les secteurs: économique, politique et social. Gabonais, peuples pacifique et patient semble être délaissé par le reste du monde. Alors, nous faisons appel aux pères fondateurs du concept de la démocratie dans le but de savoir si l'avènement du 17 août 1960 était une mise en scène. Sinon, laissez nous jouir de cette liberté. 



J’aimerai attirer votre attention sur la centralisation du pouvoir au Gabon.

En effet, en 1961 Léon MBA devint président, sous le nouveau régime présidentiel. Jean-Hilaire AUBAME devint quant à lui ministre des Affaires étrangères.
À la fin de l'année 1966, une révision de la constitution institue la succession du vice-président au cas où le président viendrait à décéder en fonction. Au mois de mars de l'année suivante dont en 1967, Léon MBA et Albert- Bernard BONGO (qui prendra ultérieurement le prénom d'Omar) sont élus respectivement président et vice-président.Le président Léon MBA décède au cours de l'année et Albert-Bernard Bongo devient président.

En mars 1968, Albert-Bernard Bongo dissout le BDG et établit un parti unique, le Parti Démocratique Gabonais (PDG). En avril 1975, la charge de vice-président est supprimée et remplacée par celle de Premier ministre, qui n'a pas de prétention à la succession comme le signifiait la constitution de 1991. Elle fut modifiée en soulignant que : en cas de mort du président en fonction, le Premier ministre, le président de l'assemblée nationale ainsi que le ministre de la défense se partagent le pouvoir jusqu'à ce qu'une nouvelle élection ait lieu. Durant son règne, le mécontentement économique et politique génère de violentes grèves et manifestations chez les étudiants et les ouvriers minent la société. Durant plus de 50 ans au pouvoir (1967-2009), aucune élection n’a pris en compte le vote du peuple et des contestations aboutissant aux pertes des vies humaines.


En février 1999, Ali BONGO est nommé ministre de la Défense en remplacement de NGARI au sein du gouvernement. Ali Bongo dépense beaucoup pour sa popularité au sein de l'armée et place ses alliés. Ali BONGO est désigné candidat par le parti au pouvoir pour l'élection présidentielle prévue le 30 août 2009 et destinée à remplacer Omar BONGO, mort en juin 2009. Cette décision est le fruit d'un accord entre les élites gabonaises et la France afin d'assurer la stabilité du régime, des critiques apparaissant cependant sur cet héritage monarchique.


Le 3 septembre 2009, les résultats officiels indiquent qu’Ali Bongo est élu président de la République avec 41,7 % des voix, face à Pierre MAMBOUNDOU (25,6 %) et André MBA OBAME (25,3 %). Ces derniers contestent la légalité de la proclamation et la sincérité des résultats. À la suite de l'annonce des résultats, des émeutes éclatent à Port-Gentil et sont violemment réprimées, faisant des morts. Après la validation des résultats de l'élection, Ali Bongo est investi le 16 octobre 2009.Par la suite, plusieurs enquêtes indiquent que les résultats ont été truqués.Octobre 2009, Ali BONGO inverse le décompte des voix et se déclare président.


 Ali BONGO se présente à  nouveau à l'élection présidentielle du 27 août 2016. Il remporte le scrutin avec 49,8 % des voix. Sa victoire est contestée par l'opposition, dont le principal candidat, Jean PING. L'opposition s'étonne de la non-publication des résultats par bureau de vote et invoque des fraudes dans la province du Haut-Ogooué, fief d'Ali Bongo, où la participation s'élève à 99,9 % (contre 59,5 % au niveau national) et où  Ali BONGO aurait reçu 95,5 % des voix. Des émeutes éclatent après l’annonce de la victoire de BONGO, par Marie-Madeleine MBORANTSUO présidente de la cours constitutionnelle.Le 2 février 201, une résolution est adoptée par le parlement européen  pour condamner les violences, violations des droits de l’homme, arrestations arbitraires, détentions illégales et intimidations politiques qui ont suivi la proclamation de résultats « extrêmement douteux » qui remettent en cause la légitimité d' Ali BONGO comme président du GABON. En 2018, Ali BONGO  est hospitalisé à Ryade pour une '' fatigue sévère". Pendant cette période, les médias se font l'écho de débats quant à la nature de la transition politique à mettre en œuvre en cas d'incapacité du chef de l'État et des multiples informations annonces de son décès.

Depuis un moment, le fils d'Ali BONGO notamment Noureddin Edouard Bongo-Valentin ancien DGA d'Olam Gabon est sous les projecteurs politique, il occupe aujourd’hui le  poste de coordination des Affaires présidentielles, Il y est officiellement chargé d'assister le président de la République dans la conduite de toutes les affaires de l'État». Le samedi 19 décembre la Constitution a subi à nouveau une modification stimulante que, en cas de vacance du pouvoir, l’intérim du chef de l’État est assuré par un collège composé des présidents des deux chambres du Parlement et du ministre de la Défense. Cette pratique semble être une méthode de succession habituelle. D'ici quatre matin, Noureddin Edouard Bongo-Valentin ne ferait-il pas partie des protagonistes?


Aujourd’hui je fais appel à vous afin d'aider la population Gabonaise à faire valoir ses droits, à retrouver sa situation normale, en signant et en partageant au maximum cette pétition afin que le résultat des élections présidentielles à venir soit celui exprimé dans les urnes par le peuple, empêcher tous bourrages d’urnes et éviter la fraude électorale.







 
































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14 commentaires
Jeeanne - Le 19/02/2021 à 10:22:26
Je signe parce que je suis gabonaise et que j’ai l amour de mon pays je suis fatigué de voir mes frères mourir parce que l état ne bouge pas le petit doigt fatigué de voir mes frères et sœurs à la maison sans aller à l école l éducation est l essence d un pays on nous prive de nos droits .
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Le 19/02/2021 à 13:46:01
Mal gérance du pays et pour crimes contre la population vidéo à l'appui
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Le 19/02/2021 à 12:56:44
La démocratie
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