Trop c’est trop ! Cela fait des années que les prédateurs sexuels sévissent dans le milieu de la protection animale, profitant de la bienveillance des militant-e-s ! Et rien n’est fait ! Les responsables d’associations font taire les victimes ou éloignent en catimini les prédateurs : libre à eux d’aller s’en prendre à d’autres un peu plus loin !
La protection animale c’est avant tout une histoire de femmes : elles sont très largement majoritaires dans le mouvement. Et pourtant, la culture du viol y fait des ravages comme ailleurs dans la société. Pourquoi ? Car les postes à responsabilité sont surtout occupés par des hommes, alors même qu’ils représentent, au mieux : 20, 30% des effectifs. Dans une mâle camaraderie, les responsables font mine d’ignorer ou de ne pas voir les actes des prédateurs : viols, agressions sexuelles, harcèlement moral et sexuel...
Pour silencier les victimes, on les blâme de parler des sévices qu’elles ont subis ou subissent encore : « cela pourrait nuire à la cause », leur dit-on ! NON ! Ce sont les prédateurs et les silences coupables qui nuisent à la lutte pour les animaux !
Depuis deux ans, des femmes et des hommes en ont eu marre de l’omerta dans le milieu et ont décidé de dénoncer publiquement les agissements de ces prédateurs et les associations qui les couvrent :
Pour connaître la réalité des sévices dans le domaine de la protection animale :
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