Le 1er janvier de cette année 2024, la France c'est déshonorée, elle a renoué avec ses heures sombres de l'étoile jaune. Où sont les bruits de bottes, les entendez-vous ? Non, cette fois, elle l'a fait en toute liberté, sans l'excuse de l'autre et l'Histoire en sera marquée à jamais.
C'est le retour des milices : ces petits fonctionnaires improductifs vivant jusqu'à leur mort au crochet de la dette, appelés à faire du zèle pour «aider» ces cas sociaux à retrouver le chemin de l'emploi (pas du travail, ne confondez pas) : les entrepreneurs, les artistes, les agriculteurs, les travailleurs précaires, les retraités, les femmes isolées etc... Tous ceux qui travaillent ou qui ont travaillé plus que la moyenne, qui prennent des risques, font de nombreux sacrifices pour bâtir l'avenir. La cour des miracles quoi, une bande de criminels, qui osent essayer, qui osent croire en la vie, la richesse humaine, un avenir meilleur. Quelle idée, ils devraient voir un psychiatre.
L'esclavage ou la mort, c'est tellement puissant, tellement sexuel !
Et vive le progrès, plus besoin de ghettos ni de chambres à gaz, il suffit juste de couper les vivres et laisser faire les bons petits collabos qui ont des emplois, Eux ! Et qui ne voient pas pourquoi ils défendraient ces assistés, ces profiteurs, comme tout le monde les appelle : vous n'avez qu'à écouter les politiques, les journalistes, les intervenants et lires les commentaires sur les réseaux sociaux, si vous ne les croyez pas. Et puis d'abord, ils sont déjà tellement généreux, car ils font du bénévolat. Oui, Oui, je vous l'assure, ils se sacrifient pour les pauvres qui viennent mendier leur nourriture, ces assistés qui n'ont pas su se faire pistonner. Mais bon, on est en France, personne ne meurt de faim, enfin pas officiellement.
C'est de leur faute après tout, ils n'ont qu'à justifier de leur emploi du temps, heure par heure, ils l'ont bien signé le contrat d'engagement, cette décharge qui leur demande de renoncer aux Droits de l'Homme, aux droits à la retraite, aux congés payés, à la protection sociale, sous peine de mort. Ah bon, c'est comme ça les contrats de travail dans la fonction publique, dans le privé ? Pardon, je ne m'en étais pas rendu compte.
Voilà, nous y sommes, les chefs de la Gestapo, ceux qui ont pillé notre pays, qui le détruisent et le poussent au chaos l'avaient exigé et, croyez moi, ce n'est que le début...
Nous demandons l'abrogation de la loi infamante qui contraint le versement du R.S.A.
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