Cher signataire de la pétition demandant l'éviction d'Agnès SAAL,
De troisième catégorie sur une échelle qui en compte quatre, la sanction n'a pas été jusqu'à la révocation espérée mais servira certainement de leçon aux hauts-fonctionnaires qui se pensent intouchables.
Merci pour votre soutien et... Restons vigilants!
Bonne année 2016
VICTOIRE DE LA PETITION !
De troisième catégorie sur une échelle qui en compte quatre, la sanction n'a pas été jusqu'à la révocation espérée mais servira certainement de leçon aux hauts-fonctionnaires qui se pensent intouchables.
Bonne année 2016 !
Dans une entreprise privée, le vol ou le détournement vaut d'être viré pour faute lourde (sans indemnité de licenciement, sans indemnité compensatrice de préavis et sans indemnité compensatrice de congés payés).
Dans un gouvernement juste, si un Ministre cautionne le vol ou le détournement, il doit aussi être viré ! Alors que le peuple de France doit se serrer la ceinture, vous comprendrez l'étonnement du contribuable que je suis lorsqu'il voit une voleuse recasée dans une "présidence qui se veut normale".
Rappel des faits :
Alors qu'elle disposait d'une voiture de fonction avec chauffeur, Agnès Saal, patronne de l'I.N.A. (l'Institut national de l'audiovisuel est un organisme public financé avec l'argent du contribuable, qui a connu récemment des difficultés) a dépensé la bagatelle de 40.915€ de frais de taxis en seulement 10 mois d'activité. Sur les 7.800 € de taxis facturés le week-end, plus de la moitié a été dépensé pour des déplacements privés. Si la note est aussi salée, c'est parce que Agnès Saal avait communiqué son code de réservation à son fils qui en a dépensé 6.700€ pour ses trajets personnels. «C'est une maladresse, j'en reconnais la responsabilité et j'ai immédiatement remboursé ces frais», a assuré cette diplômée de Sciences Po et de l'Ena qui n'a pas le permis et n'aime pas prendre les transports en commun.
Si une lettre anonyme envoyée aux administrateurs de l'INA n'avait mis le feu aux poudres, nous paierions encore la note de cette voleuse qui a succédé à Mathieu Gallet. Le 20 avril 2015, Fleur Pellerin, Ministre de la Culture a rappelé dans un communiqué «son attachement très ferme à l'exemplarité des dirigeants des organismes publics placés sous sa tutelle».
La voleuse "maladroite" de l'I.N.A. n'est pas restée longtemps sur la touche. Quelques jours après sa démission présentée le 28 avril 2015 à la demande de Fleur Pellerin et sous couvert de l'application du droit de la fonction publique, elle a retrouvé un bureau rattaché au secrétariat général du ministère de Fleur Pellerin, avec un titre de «chargée de mission sur les questions de gestion prévisionnelle des emplois et des compétences».
Petite précision du quotidien Le Monde qui risque de faire grincer des dents : le poste «semble avoir été créé pour l'occasion». Sa démission "était absolument nécessaire aux vues des graves dysfonctionnements constatés", a réagi Aurélie Filippetti (ancienne Ministre socialiste de la Culture) qui l'avait nommée le 30 avril 2014.
Pour rester crédibles avec votre discours sur la rigueur, la probité, l'exemplarité et pour donner le bon exemple aux jeunes... RÉVOQUEZ AGNES SAAL !