Pétition
93
signatures
Encore 7 signatures pour que cette pétition ait plus de chances de devenir virale sur les réseaux sociaux.
Auteur :
Auteur(s) :
Nico
happy_hours_free@yahoo.fr
Destinataire(s) :
M. Le Président et la MILDT
M. Le Président,
Le gouvernement envisage d'interdire les happy hours, open bars et la vente de bouteilles d'alcool fort dans les discothèques, selon un document de la Mission interministérielle de lutte contre la drogue et la toxicomanie (Mildt).
Cette opération permettant aux bars de vendre des verres, avec ou sans alcool, moins chers à certaines heures, pourrait être supprimée selon une information du Parisien, qui dans son édition du lundi 19 mai 2008 révèle la teneur d'une lettre de convocation de la Mildt à l'intention des fabricants d'alcool. "L'interdiction de la promotion des boissons alcoolisées par tarifs incitatifs dans les lieux de ventes et de consommations (happy hours, open bars)" fait partie des trois mesures "visant à limiter les consommations nocives d'alcool" mises en avant dans le document adressé aux fabricants d'alcool.
Parmi les mesures évoquées, "l'augmentation des taxes sur les boissons alcooliques", ou "l'interdiction de la vente à la bouteille de boisson de groupe 3 à 5 (apéritifs à base de vin et liqueurs et spiritueux) dans les établissements qui bénéficient d'une autorisation de nuit".
L’happy hours se pratique généralement entre 18h et 21h, heure à laquelle les gens sortent du travail. Ce moment de convivialité entre collègues ou amis permet de se retrouver en buvant un verre et non pas de se saouler. Prétendre agir pour le bien des consommateurs est mensonger puisque la majorité de la consommation d’alcool se fait chez soi. Cette mesure ne permettra pas de résoudre le problème de l’alcoolisme mais entraînera une diminution du chiffre d’affaire de certains professionnels ce qui pourra conduire à la fermeture de certains bars, pubs ou discothèques...
Supprimer l’happy hours contribue une fois encore à diminuer notre pouvoir d’achat, ce qui va à l’encontre des promesses tenues par notre Président.
Ainsi, nous, signataires de cette pétition, demandons de ne pas mettre en place les différentes mesures dictées par la Mildt.
Sources : Reuters, Le Parisien, Le nouvel Obs et Libération.