Nous sommes des millions en France, au moins 6 à 7, à refuser sciemment l’injection dans notre corps d’une substance à ARN messager. Depuis des mois, on nous présente sur toutes les ondes comme des ignorants et des irresponsables qui mettraient la vie des autres en danger faute d’être solidaires. Nous contestons que ce soit le cas et réclamons le respect de notre liberté de conscience par les autorités publiques et par l’ensemble de la population dite “vaccinée”. Pour notre part, nous respectons le choix des autres de se faire “vacciner”, même si nous pensons que leur décision a été pour partie extorquée par un chantage que nous dénonçons. Nous exprimons notre solidarité avec toutes les personnes parmi nous qui ont été licenciées ou interdites d’exercer leur métier. Nous demandons aux personnes “vaccinées” qui font appel à notre solidarité d’écouter nos raisons, de s’informer sérieusement et de se montrer solidaires avec notre décision.
Pour notre part, nous n’ignorons pas l’existence du système immunitaire. Nous avons confiance dans le système immunitaire, à la base de la construction de l’immunité collective contre les virus et les microbes qu’il est impossible d’empêcher de circuler. On peut s’étonner que, dans les débats, il soit à peine question du système immunitaire et de la possibilité de le soutenir… Nous pensons que le système immunitaire peut et doit être stimulé préventivement et, le cas échéant, qu’il faut qu’il soit renforcé par des traitements permettant de combattre les effets pathogènes du virus.
Nous constatons l’inefficacité relative des “vaccins” qui n’empêchent ni d’être infectés par le virus, ni de le transmettre, et dont l’effet s’estompe dans le temps. Cela prouve d’ailleurs qu’il est infondé de prétendre que les “non-vaccinés” sont responsables de la propagation du virus et, à cet égard, il est tout particulièrement injuste d’incriminer les enfants.
Il nous semble raisonnable de craindre les effets secondaires de l’injection de la protéine spike, constitutivement cytotoxique, alors qu’ils sont désormais attestés dans de trop nombreux cas (myocardites, péricardites, etc.) Nous invitons les autorités sanitaires qui nient l’existence de décès provoqués par l’injection à pratiquer des autopsies. Prenant acte de la distinction faite entre morts avec le “vaccin” et morts à cause du “vaccin”, nous proposons de l’appliquer à propos du Covid de façon à rectifier les chiffres de décès dus au Covid, par contraste avec le nombre de morts avec le Covid.
Nous savons désormais que tous les chiffres qui circulent sont sujet à caution et à interprétation. Seulement 2 % des patients hospitalisés en 2020 l’ont été à cause du Covid et tous les patients en réanimation ne le sont pas pour cette raison. De même, il faut distinguer entre les testés positifs, la plupart du temps sans symptômes, et les patients malades, qui ne sont pas tous hospitalisés. Il faut cesser de confondre propagation et virulence du virus : les variants sont de plus en plus contagieux et de moins en moins pathogènes. Il est de notre responsabilité d’exercer notre esprit critique face à la propagation des chiffres et des nouvelles anxiogènes.
Les contrats passés par les autorités publiques avec les laboratoires pharmaceutiques leur enlèvent toute responsabilité juridique quant aux effets secondaires des “vaccins”. Nous déplorons que ces contrats contenant des clauses secrètes aient été signés en notre nom par des “responsables” qui paraissent bien irresponsables. Nous invoquons le principe de précaution pour refuser d’être les cobayes d’une expérimentation à l’échelle planétaire dont personne ne peut prévoir les effets à long terme. Il suffit simplement de penser à la narcolepsie provoquée par l’injection du vaccin contre la grippe A en 2009-2010. Nous ne savons pas ce qui peut se produire à l’avenir, mais nous devons tout particulièrement protéger les enfants contre tous les irresponsables qui promettent de manière déraisonnable la fin miraculeuse de l’épidémie.
Nous constatons que la vie sociale, culturelle et politique du pays est désormais déterminée par l’état d’urgence sanitaire qui a été décrété en fonction du risque de saturation du système hospitalier. Cet argument est intenable en fait et en principe. Il y a quelque temps encore, personne n’aurait accepté de conditionner le droit à être soigné à l’état de l’hôpital. C’est la conséquence de la décision irresponsable de pratiquer une médecine protocolaire, décidée en haut lieu et imposée par décret ministériel, qui interdit aux médecins de prescrire à leurs patients certains médicaments décrétés nocifs du jour au lendemain. Depuis le moment où l’exécutif a décrété que l’hôpital était le seul lieu légitime pour traiter les personnes infectées par le virus, aucune mesure n’a été prise pour augmenter la capacité de prise en charge, alors même que les professionnels de santé et les urgentistes en particulier réclament des moyens supplémentaires depuis des décennies. C’est même le contraire qui s’est produit : 5 700 lits ont été fermés en 2020… Qui est irresponsable ? Qui est responsable du démantèlement de l’hôpital depuis 20 ans ? Qui a pris la décision inique d’interdire de pratiquer leur métier aux soignants qui refusent, en leur âme et conscience, de se soumettre aux injonctions de la médecine gouvernementale qui sont en contradiction avec le serment d’Hippocrate ?
Nous assumons les conséquences de la décision que nous avons prise de refuser la “vaccination”. Mais le gouvernement porte seul l’entière responsabilité de l’existence de la catégorie discriminatoire des Sans-pass ! L’exécutif traite des millions de citoyennes et de citoyens majeurs et vaccinés comme des mauvais élèves ou des enfants qu’il faut punir en les privant d’activités sociales, culturelles, etc. Il est même question de nous faire payer les soins en cas d’hospitalisation liée au Covid, alors que rien ne prouve que le “vaccin” l’aurait empêchée. Personne n’a jamais contesté le droit à être pris en charge par la sécurité sociale des individus dont l’addiction a causé de graves maladies. Qui remet ainsi en question le principe fondamental de la solidarité de toutes et de tous au sein de la société ?
Nous sommes solidaires avec tous ceux et celles qui se sentent floués par les promesses non tenues par l’exécutif d’en finir avec l’épidémie grâce au confinement, à la “vaccination”, etc. Nous comprenons leur désarroi et leur colère qui est bien trop souvent dirigée contre nous, à tort : nous sommes les boucs émissaires de la gestion gouvernementale de la crise sanitaire.
Nous sommes avant tout solidaires avec toutes les victimes de l’obligation “vaccinale”, qu’elles en aient pâti en cédant au chantage ou en refusant de le faire. Nous sommes tout particulièrement solidaires avec le mouvement de résistance à l’obligation vaccinale dans les Antilles. Nous sommes reconnaissants envers tous les individus et les groupes d’information et d’action qui se sont engagés ouvertement contre la politique sanitaire du gouvernement : nous sommes solidaires au regard de toutes les menaces, injures et injustices que ces personnes ont dû subir à cause de leur engagement.
Nous sommes solidaires avec toutes les victimes de la gestion gouvernementale de la crise dite sanitaire depuis presque deux ans : pendant le confinement, soignants contraints de travailler sans protection contre la contamination, patients atteints du Covid abandonnés sans soin chez eux, femmes obligées d’accoucher seule, personnes âgées privées de tout contact avec leur famille, enfants et femmes maltraités dans leur propre foyer, retard dans le diagnostic et le soin des autres pathologies, dépressions et détresses liées à l’isolement antisocial, troubles de l’apprentissage lié à l’enseignement en distanciel, fermeture d’entreprises, etc. ; depuis lors, pathologies dépressives chez les enfants et les adolescents, amputation de la vie sociale et culturelle, etc. La liste des maux en tout genre qui sont induits par cette crise politique et sociale s’allonge de jour en jour…
Ce Manifeste a pour but de rendre visible la masse des Sans-pass ! Nous avons jusqu’à présent été caricaturés comme une masse de gens ignorants et irresponsables dépourvus de tout sens de la solidarité. Cette pétition nous fait sortir de l’anonymat des données statistiques en manifestant virtuellement notre existence en contrepoint des manifestations anti-pass qui ont lieu depuis l’été 2021. Nous invitons les “vaccinés” à manifester leur solidarité avec la minorité stigmatisée que nous sommes devenus à notre corps défendant, en se joignant à notre pétition.
Chaque signataire est libre de fournir les informations sur son identité personnelle (nom ou seulement prénom, lieu de résidence, métier, etc.) tout en précisant son statut (sans-pass, pass extorqué, pass périmé) :
Cassandre A., Nice, sans-pass
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