Pétition
71
signatures
Encore 29 signatures pour que cette pétition ait plus de chances de devenir virale sur les réseaux sociaux.
Auteur :
Auteur(s) :
Contribuables Associés
42 rue des Jeuneurs
75002 Paris
www.contribuables.org
Destinataire(s) :
Nicolas Sarkozy
Signez la pétition adressée à Nicolas Sarkozy et diffusez-la très largement.
C’est un déni de démocratie, nous sommes tous concernés !
Une commission d’enquête parlementaire « sur les mécanismes de financement des organisations syndicales d’employeurs et de salariés » dont le rapporteur est Nicolas Perruchot, député Nouveau Centre de Loir-et-Cher, a auditionné pendant 6 mois les acteurs de la vie syndicale.
A la stupéfaction du rapporteur et des citoyens, la commission a voté contre sa publication, (les députés PS ont voté contre, les députés UMP, sauf un, ont décidé de s’abstenir) le 30 novembre dernier, suite à des pressions politiques. Une première à l’Assemblée nationale !
La loi ne permet pas de revenir sur ce vote. Heureusement, des éléments d’informations explosifs avaient été communiqués aux médias.
Signez la pétition adressée à Nicolas Sarkozy :
Monsieur le Président !
Nous sommes indignés, révoltés !
Le rapport Perruchot sur le financement des syndicats ne peut être enterré, ce serait un scandale !
On nous cache la vérité et pourtant c’est nous qui finançons, par nos impôts, les syndicats, et non pas les cotisations de leurs rares adhérents.
Des milliards d’euros disparaissent dans une gestion opaque et parfois frauduleuse.
Si le rapport ne peut légalement être publié, prenez vos responsabilités et faîtes changer la loi !
Respectez les parlementaires courageux qui ont fait un remarquable travail d’investigations et d’auditions, et respectez les contribuables français qui ont le droit de savoir où va l’argent de leurs impôts !
Heureusement, il y a eu des fuites. Vous en savez donc assez pour prendre les mesures immédiates qui s’imposent. Ne cautionnez pas ce déni de démocratie !
Plus un sous d’argent public pour les syndicats ! C’est ce que nous demandons au nom des contribuables français.
Monsieur le Président, il est encore temps d’agir.
Je vous prie de recevoir l’expression de ma plus haute considération.