La France décline à vue d'œil, ce que les Français ressentent au plus profond d’eux-mêmes et ce dont les données statistiques attestent.
Ce déclin ne serait pas aussi préoccupant s'il n'était que d'ordre économique. Non, celui-ci est général.
Aujourd'hui, le principal problème auquel doit faire face la France est celui de l'invasion migratoire qui menace très sérieusement notre identité nationale, les structures de notre société, notre sécurité, ainsi que notre Etat-Providence. Cela conduit les français à ne plus se sentir chez eux. Ceux-ci ne sont plus considérés comme des modèles par les immigrés afin de s’assimiler, ils ne sont désormais vus que comme des oppresseurs qui doivent se repentir en permanence. Pire, un désamour voire une haine de la France et de la civilisation occidentale, a minima une forte indifférence, se sont développés à grande échelle au sein de la population française.
L'idéologie dominante qui peut être qualifiée de "droits de l'hommiste", de progressiste et de mondialiste promeut une société multiculturelle en nous vantant les bienfaits de l'immigration et du brassage des peuples sur les plans économique et culturel depuis cinquante ans en Occident, et plus particulièrement en France. La confrontation de cette idéologie à la réalité a été un désastre, et bien qu'un grand nombre de personnes s'en rendent compte, les ayatollahs de la bien-pensance mondialiste musèlent ceux qui osent remettre en cause leur dogme et les résultats de son application concrète, en France et plus largement dans le monde occidental. Ce musèlement prend essentiellement la forme d'une offre journalistique loin d'être pluraliste (ce qui n'est pas nouveau car déjà en 2002 74% des journalistes votaient pour le candidat socialiste Lionel Jospin au 1er tour de l'élection présidentielle), d'une information systématiquement biaisée et, dernièrement, par la suppression de la parole du Président des Etats-Unis sur Twitter ainsi que par la dissolution de Génération identitaire. Le fait que les grands médias français appartiennent à des milliardaires mondialistes pour la plupart n'aide pas, tout comme le pouvoir acquis par les GAFA qui sont les premiers défenseurs de cette idéologie visant à un instaurer un monde sans frontières constitué d'individus hors-sol et interchangeables.
Dans ce contexte, la "meute" politico-médiatique a acquis un pouvoir démesuré conduisant à une réduction sans précédent depuis longtemps de la liberté d'expression et de l'esprit critique au sein de notre société. A l’heure actuelle, il est très difficile voire impossible de décrire certaines réalités sans être accusé de « fachiste », de « raciste » ou de « xénophobe ». Les stratégies utilisées par les bien-pensants afin de contrôler le débat d'idées sont toujours les mêmes et fonctionnent à merveille : caricature du raisonnement, maîtrise du vocabulaire à utiliser ou à ne pas utiliser, lecture de l'histoire revisitée, culpabilisation de l'adversaire et, attaques en "meute" pour ne citer que les plus fréquentes.
A l'échelle continentale, l'idéologie "droit de l'hommiste" et mondialiste s'incarne dans le projet européen tel qu’il a été pensé et mis en place depuis plus de trente ans.
Cette Europe, qui n'est pas une nation car elle est constituée de vingt-sept peuples ayant une histoire différente et des intérêts divergents, est dysfonctionnelle et inefficace. Dysfonctionnelle car, du fait de sa structure et des intérêts divergents par nature entre ses Etats-membres, l'Europe a mis en place un mode de gouvernance complexe qui conduit à l'impuissance politique. Inefficace car elle n'a pas su protéger les européens contre les effets de la crise financière de 2008, l'invasion migratoire ainsi que la crise sanitaire. Inefficace aussi car la mise en place de la zone Euro, qui n’est par définition pas une zone monétaire optimale et qui devait apporter initialement la prospérité, n'a pas permis de protéger notre base industrielle. Pire, la valeur de la monnaie étant décorrélée des performances économiques de certains des Etats, l’Euro a constitué une drogue permettant aux pays les plus faibles de s’endetter à faible coût en s’affranchissant d’une certaine discipline financière.
Ces constats d'échecs sont expliqués par l'idéologie mondialiste qui anime les promoteurs de cette Europe fédérale dont la mise en place progresse d'année en année et qui inspire donc fortement les politiques publiques à l'échelle du continent. Les citoyens des pays européens n'ont pas été suffisamment protégés par ceux qui les dirigent face à des chocs exogènes car les puissants du continent pensent en termes d'intérêts de l'homme et visent l'étape suivante, à savoir la mise en place d'une gouvernance mondiale: cela les a amenés à effectuer des choix fous tels que la création de la zone Euro qui est loin d'être une zone monétaire optimale, la signature de traités commerciaux injustes, la mise en place d'une politique industrielle construite en vertu du principe de concurrence à tout prix ou encore l'ouverture des frontières aux migrants syriens et africains depuis 2015.
Si cette Europe presque-fédérale a échoué à protéger les européens des crises passées, elle ne semble pas prête à affronter les défis futurs, ce qui la rend d'autant plus dangereuse. Au contraire, prisonnière de cette idéologie néfaste, elle constitue un outil politique puissant au service de l'idéologie dominante qui contribue à accélérer notre perte souveraineté, affaiblir de notre outil militaire, aggraver notre déclin économique et, conduit à la perte de notre identité. Pendant ce temps-là, des nations fières de leurs racines et de leur histoire, telles la Chine et la Russie qui sont fortes de nouvelles ambitions, avancent leurs pions sur la scène internationale de façon toujours plus affirmées et promeuvent un modèle politique et des valeurs différents des nôtres qui rencontrent de plus en plus d’écho.
A l'échelle française, le plus éminent défenseur de cette idéologie n'est autre que le Président de la République, Emmanuel Macron. Celui-là même qui a expliqué qu'il n'existait pas de culture française, que la colonisation était un crime contre l'Humanité et qui n'a pas fermé réellement les frontières du pays pendant la crise sanitaire créant, ironie de l'histoire, des frontières intérieures. Force est de constater que le Président de la République actuel se place dans les pas de Valéry Giscard d’Estaing qui avait théorisé l’idée de la « France puissance moyenne ». Si la France n’est plus une grande puissance de par sa démographie, elle n’en demeure pas moins un pays qui compte toujours sur le plan international et la sixième économie mondiale en dépit de nombreux handicaps liés à son modèle de protection sociale. Malgré les atouts du pays et les rodomontades de l’occupant de l’Elysée qui a dévalorisé la fonction présidentielle, le bilan du quinquennat qui s’achève reste maigre quand bien même le président de la République essaierait de se cacher derrière la crise sanitaire et économique qu'il a dû affronter. Ces cinq dernières années se sont traduites par une aggravation du déclin économique du pays et une accélération des pertes de repères identitaires débouchant sur un communautarisme de plus en plus marqué dégénérant souvent en violences. Même si la France n’est plus une grande puissance, elle aurait dû conserver une grande politique comme le souhaitait le général de De Gaulle, ce qui n’a pas été le cas loin s’en faut : en effet, malgré la situation compliquée que connaissait le pays au moment où il a accédé à la magistrature suprême, Emmanuel Macron n’a pris aucune des mesures drastiques et impopulaires que justifiaient l’état du pays. Aucune réforme de l’Etat sérieuse n’a été initiée, les prélèvements obligatoires restent à un niveau stratosphérique et la politique du « quoi qu’il en coûte » menée afin d’atténuer les effets sociaux de la crise sanitaire aura des conséquences négatives à long terme en termes de finances publiques et de productivité. Les flux migratoires ont augmenté et ce alors même que le pays était déjà en 2017 frappé par le terrorisme et dans une situation communautaire difficile. Même en pleine période de crise sanitaire, les éloignements d’étrangers en situation irrégulière ont baissé plus vite en pourcentage que l’octroi des titres de séjours … L’autisme de cet Etat technocratique saute d’autant plus aux yeux quand on observe l’étendue des moyens policiers déployés pour contrôler le port du masque dans l’espace public alors que depuis des décennies de plus en plus de quartiers sensibles ne sont plus sous le contrôle de l’Etat. Les tensions communautaires anciennes ont été renforcées par les nouvelles exigences du parti racialiste auxquelles le gouvernement fait semblant de s’opposer.
Au regard de ce qui a été dit précédemment, il est impossible de faire à nouveau confiance à Emmanuel Macron et à sa clique de socialo-mondialo-progressistes pour redresser la situation du pays tant leur responsabilité dans les problèmes auxquels nous sommes confrontés est importante.
L’élection présidentielle est l'élection centrale sous la Cinquième République. L’offre politique actuelle composée en grande majorité d’hommes et de femmes politiques ayant souscrit à la pensée unique et ayant échoué successivement au pouvoir est catastrophique. Pas tant en raison d’un manque de compétences des personnalités en question que d’un manque de convictions ou de courage. Tous les grands leaders se sont ralliés à l’idéologie dominante dont l’incarnation politique est la perpétuation de la notion de front républicain ou de « cordon sanitaire » (cette dernière expression étant insultante pour des millions de français) à l’encontre du Rassemblement National. Cependant, depuis quelques années, la perspective d’arriver au pouvoir a conduit Marine Le Pen à renoncer à un certain nombre de mesures pourtant indispensables au vu de la situation du pays en vue de normaliser l’image de son parti : la sortie de la zone euro et la sortie de la CEDH n’étant pas les moindres. Ceci démontre que ses convictions ne sont pas suffisamment fortes et qu’elle n’est pas le leader dont la France a besoin dans cette période troublée. Dans ces conditions, un vote utile des patriotes en faveur de Marine Le Pen au premier tour de l’élection présidentielle n’aurait aujourd’hui aucun sens en l’état actuel des choses.
Pour tous les nombreux français patriotes inquiets pour l’avenir de leur pays et qui ont encore une ambition pour la France, un seul homme émerge aujourd’hui de ce naufrage collectif et semble capable de restaurer la grandeur de la France.
Il s’agit d’Éric Zemmour.
Celui-là même dont l’émission « Face à l’info » a apporté une bouffée d’oxygène bienvenue dans le paysage médiatique français et qui a fait preuve d’un courage exceptionnel après avoir enduré de nombreuses menaces de mort ainsi que des campagnes d’informations calomnieuses.
Son talent ainsi que la profondeur de ses connaissances historiques et de sa pensée lui permettent de bien analyser les situations sous l'écume de l'actualité et lui donnent la capacité de développer un programme à la hauteur des enjeux qui se posent à la France.
La France a besoin de croire à nouveau qu'elle n'est pas vouée à disparaître à terme du fait de l'invasion migratoire qu'elle subit conduisant au Grand Remplacement en cours.
Seule une politique ambitieuse composée de réformes chocs à mettre en œuvre durant la première année du mandat présidentiel permettra de sauver la France et de lui redonner de l’élan :
- arrêt de l'immigration via la reprise du contrôle de nos frontières ;
- suppression du droit du sol ;
- suppression des dispositions relatives au regroupement familial ;
- expulsion de tous les délinquants étrangers et binationaux de par le durcissement des conditions constitutives de la double peine ;
- rétablissement de l'ancienne procédure en matière de droit d'asile visant à étudier seulement les demandes déposées dans les ambassades françaises à l'étranger et non sur le territoire national ;
- rétablissement des conditions d’acquisition de la nationalité française antérieures à 1998 et conditionner l’acquisition de celle-ci au passage d’examens linguistiques et historiques exigeants ;
- réinvestissement dans les fonctions régaliennes à savoir la police et la justice afin que « la peur change de camp » et que les peines de prisons deviennent systématiquement effectives ;
- rééquiper notre armée en hommes et en matériel, et sortir de missions de « maintien de la paix » coûteuses et inefficaces ;
- sortie de la CEDH ;
- pratiquer la politique de la « chaise vide » dans les instances européennes si besoin afin de défendre nos intérêts et notre vision de l’Europe politique ;
- sortie de la zone euro ;
- défendre l'industrie nationale et relancer un programme nucléaire ambitieux ;
- promouvoir des relations commerciales "justes" sans hésiter à recours à l'arme des droits de douanes si nécessaire ;
- réforme de l'Etat en redéfinissant son périmètre d'intervention;
- rétablir notre compétitivité en baissant les charges patronales et salariales pesant sur le travail et en instaurant une TVA sociale ;
- libéraliser le marché du travail en supprimant les freins à l'embauche ;
- rétablir la préférence nationale en matière d’emploi et de protection sociale ;
- réforme de la protection sociale afin de réinciter au travail et de supprimer l'assistanat ;
- rétablir l'excellence à l'Université en introduisant la sélection à l’entrée, en favorisant le financement privé et en augmentant les droits d'inscription ;
- revaloriser les métiers manuels.
La France est à la croisée des chemins. Espérons pour elle et pour nous tous Français qu'elle emprunte celui de Monsieur Zemmour. Cependant, rappelons-nous aussi qu'un seul homme, si talentueux soit-il, ne pourra pas redresser la situation dans laquelle se trouve le pays. Nous Français devrons faire preuve de courage derrière lui voire à ses côtés afin d'affronter les problèmes qui sont les nôtres et faire en sorte que la France ait encore son destin en main, un destin.
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