Pétition
48
signatures
Encore 52 signatures pour que cette pétition ait plus de chances de devenir virale sur les réseaux sociaux.
Auteur :
Auteur(s) :
emmanuel.sala@lepartiliberal.fr
Destinataire(s) :
Bertrand Delanoe, maire de Paris
Les impôts locaux explosent à Paris cette année. En particulier la taxe d’habitation augmente de 11,7 % et la taxe foncière de ... 55 %. !
Paris est donc maintenant dans le peloton de tête de la hausse de la fiscalité:
Depuis 2001, et sur un budget annuel de la ville de 7,1 milliards d’euros:
* Les dépenses de fonctionnement ont augmenté de 45 % en 8 ans: la ville a ainsi créé plus de 8 000 postes d'agents à temps plein. Les effectifs employés à la communication ont triplé.
* 3,5 milliards d’euros ont financé les travaux de voirie destinés à créer un « enfer pour les automobilistes », comme le revendique l’élu responsable de la voirie.
* 1 milliard d'euros pour 500 millions initialement budgétés dans l'extension du tramway.
* 600 à 700 millions d'euros, pour un budget initialement prévu de 350 millions pour la nouvelle architecture « en verre auto-nettoyant » des Halles.
* L'extravagante rénovation du cinéma Louxor et la transformation du théâtre Gaîté-Lyrique en « laboratoire populaire dédié aux arts numériques »: au moins 50 millions chacun,
Tout le monde paiera:
Les locataires et propriétaires occupants paieront, quoiqu’il arrive, la taxe d’habitation.
Quant aux taxes foncières payées par les propriétaires, que les locataires ne se fassent pas d’illusions ! Cette hausse sera un jour ou l’autre répercutée sur les loyers !
En 2014, au rythme actuel d’augmentation des dépenses, soit Paris sera en faillite, soit les seuls Parisiens qui se maintiendront dans cet enfer fiscal appartiendront à la clientèle électorale du maire actuel, bénéficiaires des subventions et allocations de notre "gestionnaire du progrès social" .
Bertrand Delanoë avait pourtant hérité, en 2001, d'un excédent cumulé de recettes de fonctionnement de 598,2 M€ (pour un total de dépenses annuel de 3,53 Mds € et d’une collectivité qui avait baissé de 4,7 % les impôts locaux en 1999 et 2000, démontrant ainsi qu'une baisse de la pression fiscale est possible !
Ce matraquage fiscal est intolérable dans le contexte économique actuel, et incompatible avec la baisse de nombre de revenus modestes.
Plus encore, le maire de Paris a prévenu que les hausses de l'année prochaine seraient tout aussi massives!
Refusons l'augmentation:
Si 85 000 Parisiens majeurs (5 % de la population) signent une pétition sur un sujet qu’ils veulent voir débattre, il sera inscrit obligatoirement à l’ordre du jour du Conseil de Paris dans les six mois.
Saisissons cette occasion!