Depuis plusieurs années, les violences faites aux femmes, filles sont une violation des droits de l’homme d’une ampleur pandémique qui se produit dans des espaces publics et privés ; même dans les pays les plus développés, comme la France.
Que ce soit à la maison, dans les rues ou pendant la guerre, la violence à l’égard des femmes et des filles se manifeste sous des formes physiques, sexuelles et psychologiques, est devenue une normalité.
Lorsque nous sommes victimes de violences, physiques ou psychologiques nous supportons tout, jusqu’au jour où l’on prend conscience que cet état n’est pas normal. Qu'il faille réellement, aller puiser dans ses ressources pour se protéger et protéger nos enfants.
Il faut une force de caractère, une énergie spirituelle et humaine, un amour et soutien de nos ami(e)s qui nous aident à nous dépasser et à sortir de cet isolement. Alors l’instinct de survie se réveille. Fuir ou mourir là est la question. La honte de la victime, sortir du silence demande du courage un non un jugement des personnes aidantes. J’ai été dans cet état, les moyens mis par les pouvoirs politiques, sont misérables et impuissants. Ce n’est pas la fautes de nos administrations, la police, juges etc…
Mais nos politiques eux non aucunes excuses. Car les lois actuellement ne favorisent pas l’accompagnement globales pour nous les victimes. Combien de victimes pour nous faire entendre cela ?
C’est pourquoi j’ai décidé d’agir, ne plus subir. Je refuse d’être la victime de plus de mon bourreau. Je lance cette pétition pour, demander de véritables moyens, des lois qui doivent protéger la victime, et une aide concrète. De vrais moyens.
J’ai décidé à travers de l'association AJDH « justice first of world », dont je suis membre très active de créer un projet « women first world ». Pour l’accompagnement globale des femmes et hommes victimes des 5 violences reconnues par l’ONU.
Une approche globale, capable de créer un réseau humanitaire à travers, « justice first of world » afin d’aider à améliorer les causes profondes de la justice sociale en menant des programmes d'activités avec les institutions et politiques de gouvernent, de sécurité, d'accès aux droits, de santé et d'éducation.
Le but de ce projet déposer à L’INPI et un accompagnement global, avec une application des services existant pour accompagner et aider par des professionnelles, mais issu des bénévoles. Les femmes au cœur de ces actions,
Dans tout ce programme, nous portons une attention particulière à la condition des femmes, premières victimes de la pauvreté dans le monde. C'est aussi un facteur essentiel dans la lutte contre la pauvreté. C'est pourquoi, mon programme contribue à l'autonomisation des femmes. L'implication des communautés locales.
Les projets sont élaborés en tenant compte des besoins, des attentes et des spécificités culturelles des bénéficiaires. Nos actions se basent sur la participation des acteurs locaux (Les acteurs locaux et instances de l’états communautés, société civile, autorités locales, secteur privé). Leur implication dans l'élaboration et la mise en œuvre des programmes est primordiale pour en assurer la pérennité. Ce sont leurs initiatives, mon projet women first world ne fait que les soutenir.
C’est pourquoi je lance un véritable projet national, européen et mondial, qui était expérimenté au niveau local, pour soutenir et aider les femmes et leurs enfants victimes de violences.
Sabah BIYE Responsable du projet violence faites aux femmes Women first world
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