Pétition
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Auteur :
Auteur(s) :
jean louis pecqueur
Destinataire(s) :
l'attention de Monsieur le Premier Ministre, François Fillon
C’est à Valéry Giscard d’Estaing, alors ministre des finances, que nous devons la loi du 3 janvier 1973 dont l’article 25 précisait « Le trésor public ne peut être présentateur de ses propres effets à l’escompte de la Banque de France », interdisant donc le financement direct de l’État par la Banque de France. Cette loi a été confirmée par l’article 104 du Traité de Maastricht – devenu 123 du Traité de Lisbonne. Cette interdiction, n’est, dans aucune autre zone monétaire, gravée ainsi dans le marbre d’un Traité !
En clair la France (de même que les pays de la zone euro) est obligée d’emprunter sur les marchés financiers, en payant des intérêts
Chez nous, les banques peuvent emprunter à 1% à la BCE et prêter aux États à 3, 5 ou 7% et parfois plus.
L’augmentation annuelle de cette dette publique de 1980 à fin 2009 correspond, bon an mal an, aux intérêts de la dette, dans un effet boule de neige. En euros constants la dette est passée de 239 milliards d’euros (21% du PIB) fin 1979 à 1489 milliards d’euros (78% du PIB) fin 2009, soit une augmentation de 1250 milliards d’euros. Sur la même période, nous avons payé environ 1340 milliards d’euros d’intérêts aux différents prêteurs privés (banques et établissements de crédits, fonds de pension, assurances-vie…).
Nous payons des intérêts sur l’argent qu’emprunte l’état. L’état n’est-il pas le créateur de l’argent ?
Donnez-moi le contrôle sur la monnaie d’une nation,
et je n’aurai pas à m’occuper de ceux qui font ses lois.
– Meyer Anselm Rothschild, banquier
George Pompidou, avant d’être président de la République était un banquier. De 1945 à son élection comme président de la République en 1969. Pompidou exercera des fonctions au sein du gouvernement français tout en continuant durant plusieurs périodes travaillées au service de la banque Rotschild
POUR REGLER LE PROBLEME DE LA DETTE . L'ETAT DOIT REPRENDRE LE CONTROL DE SES FINANCES ET REPRENDRE LE DROIT D'EMPRUNTER DIRECTEMENT A LA BANQUE DE FRANCE SANS PASSER PAR LES BANQUES.