Le 17 mars 2020, la France entrait en confinement pour la première fois pour combattre le covid19. Certains d’entre nous n'avaient jamais entendu ce mot auparavant, encore moins connu les affres de cette marginalisation sociale généralisée que nous avons depuis subie à plusieurs reprises.
Puis est arrivé le temps des querelles médicales :
D’abord toute la lumière fut braquée sur le Professeur Raoult qui alertait l’opinion publique contre l’industrie pharmaceutique et ses méthodes. Le Professeur Raoult fut critiqué en même temps qu’adulé, vilipendé en même temps que félicité. Ce personnage clivant par ses assertions n’en est pas moins un savant reconnu par plusieurs sociétés savantes.
Ensuite est arrivé le temps des vérités dites scientifiques et beaucoup d’entre nous, y compris les réticents de la première heure, avons joué le jeu : nous avons accepté de nous faire vacciner de substances diverses préparées en un temps record par rapport aux vaccins classiques connus, substances que nous ignorions jusqu’alors. On nous parla d’AstraZeneca, de Pfizer, de Moderna avec différentes techniques associées à ces laboratoires telles que l’ARN messager dont nous n'imaginons même pas l’existence.
Alors, pour nous calmer, on nous fit savoir que cela faisait 30 ans que dans nos laboratoires, les expérimentations étaient effectuées. En l’espace de 6 mois, voilà que nous disposions d’une solution à tous nos problèmes qui avaient duré toute l’année 2020. Comment pouvons-nous nous opposer à cette manne tombée des laboratoires pharmaceutiques ?
Seulement voilà :
Après la première dose, il en fallut une deuxième pour bien protéger l’organisme à 99% nous disait-on. A notre corps défendant, nous nous sommes jetés à l’eau et avons accepté de nous plier à cet exercice. Nous étions loin de nous douter que ce seraient les prémisses d’un cycle interminable de vaccinations au sein duquel les variants nouveaux ne laissent rien augurer de bon.
Ce qui rend les choses plus compliquées, c’est aussi que durant ces derniers mois, nous en avons beaucoup appris sur ces vaccins qu’on nous inocule :
1/ Les vaccins ne protègent pas de la maladie, mais de ses formes graves. Si je résume, même vacciné, on peut attraper la maladie et même la transmettre. Durant toutes mes humanités, l’on m’a enseigné que le vaccin crée des anticorps qui se signalent dès que le microbe apparaît et lui bloquant ainsi l’accès aux cellules du corps. La personne se trouve donc immunisée par le vaccin. Or avec le COVID, ce n’est plus contre la maladie que l’on est protégé, mais contre les formes graves, nous dit-on. Alors, qu’on lui trouve une autre dénomination, celle de vaccin ne sied pas à sa faible efficacité immune.
2/ Même vacciné, l’on est contagieux. Mais nous dit-on, moins qu’une personne non vaccinée. Qu’en sait-on ? Ma femme vient de l’attraper, y compris avec ses 2 doses et dans une crèche et elle est plus solide que moi. Ce qui suppose que si la réponse vaccinale est la seule possible à cette pandémie, comme les enfants sont des porteurs sains, l’on peut en déduire aisément que ce sont eux la prochaine cible.
3/ Nous allons tout droit vers un jour sans fin avec la stratégie vaccinale. Oui, car à l’allure où ce virus mute, nous connaîtrons d’autres mutations dans le futur et il faudra se précipiter pour des vaccins dès la moindre future mutation.
Messieurs les politiques,
Vous avez fait un choix, celui de la stratégie vaccinale quand bien même, vous en voyez l’efficacité relative. C’est votre choix. Nous, citoyens, avons le droit de ne pas y souscrire. Nous disposons d’un faisceau d’arguments pour étayer notre analyse. Car à vrai dire, force est de constater que vos experts en savent autant que nous sur cette maladie et font le choix de la mobilisation vaccinale faute de mieux.
Nous savons par ailleurs que l’OMS est défavorable à la généralisation d’une 3e dose comme ils l’ont fait savoir par la voix de leur directeur général Tedros Adhanon Ghebreyesus.
Le 13 juillet dernier, l’Organisation mondiale de la Santé par la voix de sa scientifique en chef, Soumya Swaminathan déclarait : « Il se pourrait qu’on ait besoin d’un booster après un an ou deux mais, à l’heure actuelle, six mois après la première dose, rien ne prouve que cela soit indiqué. Nous recommandons les boosters (les doses de rappel) lorsque nous jugerons nécessaire. Autrement dit, cette sollicitation à outrance du corps n’est pas bénéfique dans une balance bénéfices/risques. A quelle fin s’inscrit donc cette sollicitation vaccinale alors même que 28,7% de la population soit plus de 19M de personnes n’ont pas reçu la moindre dose de vaccin ?
Messieurs les politiques, Il s’agit de nos organismes, il s’agit de nos protections et surtout, nous avons le droit de constater la stratégie aporétique vers laquelle nous amène votre obstination à nous imposer une 3e dose inutile.
Depuis le 15 décembre dernier, la vaccination a été ouverte aux enfants de 5 à 11 ans en France.
Auparavant, elle n'était autorisée qu'aux 12 ans et plus. Le premier ministre a précisé qu’elle se ferait sur la base du volontariat, avec des solutions diluées, adaptées aux plus petits, mais qui ne rassurent pourtant pas les parents.
Le mardi 07 décembre, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) a appelé l'Europe à mieux protéger les enfants, tout en gardant la vaccination obligatoire comme un "dernier ressort absolu". Elle doit être décidée "seulement quand toutes les options possibles pour augmenter le taux de vaccination ont été épuisées", du fait notamment des possibles effets pervers sur la "confiance du grand public".
Mercredi 15 décembre 2021, les pass sanitaires de 400 000 personnes âgées de plus de 65 ans, éligibles à la 3e dose, ont été désactivés car la plupart d'entre eux ne veulent n'entendent plus être des cobayes.
De tout ce qui précède, je dis avec force :
Henri Georges Minyem
Enseignant dans les écoles d’ingénieurs
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