Dans le diagnostic de la COVID-19 les autorités sanitaires proposent l’utilisation de test dit « test PCR ».
Ce sont des tests naso-pharingés qui sont imposés en grande majorité par les laboratoires.
Hors, cette technique est une technique invasive qui représente un certain risque.
Il s’agit d’un risque immédiat mais surtout d’un risque à long terme. Hormis le fait que ces tests de dépistage à grande échelle semblent bien disproportionnés, ils sont imparfaits et inadaptés par leur taux potentiellement très élevés d’erreurs. L’utilisation de ces tests PCR naso-pharyngés sont par ailleurs dangereux anatomiquement parlant. En effet, en enfonçant un écouvillon dans les narines jusqu’à toucher la plaque cribliphorm, le risque d’irritation est très grand et les conséquences peuvent mener à la mort.
Au niveau anatomique, cette plaque cribiphorm permet innervation du bulbe olfactif situé à la base du cerveau. Il fait partie de la barrière encéphalique qui protège notre cerveau. Tout contact avec cette barrière ne peut être sans conséquence et aucune garantie ne peut être apportée qu’en à la qualité pratique du test PCR. Il y a donc un risque certain de « polluer » cette plaque. Ce risque peut mener à la mort immédiate ou à la dégradation progressive par l’irritation de cette plaque. Une infection de cette partie du cerveau peut mener au dysfonctionnement de l’olfaction, à un hématome septal, une rhinnorrhée du liquide céphalo-rachidien, à une méningite etc…
Cette plaque cribiphorm est très fragile. C’est un os d’un millimètre d’épaisseur, perforé de petits trous qui laissent passer les nerfs olfactifs. C’est un peu comme une éponge ou une passoire. C’est un accès direct au cerveau ! D'où la dangerosité de ces tests PCR naso-pharyngés.
Les gens testés racontent que la douleur est très forte et qu'elle peut durer plusieurs jours. Ce ne sont pas des tests simple et sans conséquence. Certaines personnes testées par ce moyen perdent l’odorat, probablement parce que l'écouvillon a touché ou seulement effleuré les minuscules petits nerfs olfactifs provoquant une irritation. Hors une irritation où qu'elle soit, forte ou légère est toujours une source de dysfonctionnement cellulaire avec toutes les conséquences négatives sur la santé de l’individu. L’infection peut être due à la manipulation mais aussi par la qualité du tampon au bout de la tige. Celui-ci est fait de matière, il y a donc un doute sur la qualité de ces matières.
IL est donc à notre point de vue, URGENT de changer de technique et d'abandonner le test naso-pharyngé.
Demandons l'utilisation de tests oro-pharyngé déjà pratiqués dans de nombreux pays
Collectif Anti-PCR
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