C’est une avocate malhonnête du barreau de Montpellier qui a aggravé notre situation face à l’EHPAD public et à l’administration car si elle avait vraiment respecté ses engagements, nous aurions eu un jugement, en notre faveur et équitable. D’où la décision de créer cette pétition car la voie avocat a été pour nous, un échec.
En mai 2015, comme l’EHPAD n’avait pas répondu à nos courriers, qu’il n’était pas en mesure de nous justifier l’état de santé de notre père et que nous avions peur qu’il s’endette en milieu médicalisé, nous avons sollicité une avocate de Montpellier mais nous sommes « tombés » sur une avocate malhonnête qui :
Nous a extorqué 18 960 €. Avec une telle somme, elle avait le devoir de défendre nos intérêts ;
N’a jamais respecté ses engagements ;
Nous a dissimulé des documents importants qui nous auraient permis d’avoir un jugement en notre faveur et plus juste. Elle nous a notamment caché la dette de notre père, ses impayés et toutes les prestations de l’EHPAD (frais d’hébergement et frais de dépendance) car nous en avions longuement parlé et nous exigions de la transparence dans les tarifs de l’EHPAD, et plus particulièrement qu’il nous justifie et nous détaille les frais de dépendance et les frais d’hébergement.
Nous a fait payer des écritures qu’elle n’a jamais transmises. Il s’agissait d’une requête administrative, d’un montant de 3 000 €, au profit du Tribunal Administratif de Poitiers et d’une demande de mise sous curatelle, d’un montant de 2 400 €, au profit du Tribunal d’Instance de Châtellerault.
Requête administrative
Il est indispensable d’indiquer que nous exigions de notre avocate que cet établissement nous démontre que l’état de santé de notre père exigeait en 2015, un placement dans une structure médicalisée. Cette avocate nous a donc réclamé 3 000 € mais elle n’a jamais transmis ses écritures et n’a fait qu’aggraver notre situation car l’EHPAD n’est plus obligé de nous justifier son état de santé. C’est honteux, scandaleux et pitoyable de tels avocats !
Demande de mise sous curatelle
Il est important également d’indiquer que nous avions peur que notre père s’endette et qu’il se retrouve avec des impayés. Nous exigions de notre avocate, de remettre rapidement notre père sous curatelle et nous aurions pu avoir un contrôle sur ses dépenses et demander des éclaircissements sur les tarifs de l’EHPAD. Cette avocate nous a donc réclamé 2 400 euros mais elle n’a jamais transmis ses écritures et n’a fait qu’aggraver notre situation. En effet, en juin 2019, la Direction des finances publiques nous a fait savoir que notre père leur devait, une somme colossale de 24 185,20 € dont 18 551,79 €, rien que pour l’année 2014. Notre père n’aurait pratiquement rien payé en 2014 et il n’a jamais été inquiété. C’est inadmissible, écœurant et déplorable de tels avocats !
En décembre 2015, comme notre père avait désigné notre sœur aînée comme personne à prévenir et/ou de confiance, elle a reçu pendant 15 jours, les courriers de notre père et il figurait une facture de l’hôpital de Genève et un relevé de compte où notre père venait d’effectuer en novembre 2015, un retrait par carte bancaire de 820 euros. Ces courriers démontraient bien que notre père n’avait pas sa place en milieu médicalisé.
En avril 2018, nous avons saisi le bâtonnier de l’ordre, à savoir Maître BERAL Bernard qui a condamné cette avocate, à nous rembourser 8 515,63 €.
Dans les 8 515,63 € figuraient :
Une erreur de 2 400 € dans les sommes réclamées. En effet, nous lui avions versé 18 960 € et elle n’a justifié au Bâtonnier que 16 560 €. A l’été 2018, elle nous a rétrocédé 844,37 euros. Malgré nos demandes, elle ne nous a jamais fourni de factures et nous les avons récupérés via l’intervention du Bâtonnier. En corrélant ses honoraires avec les numéros des chèques que nous lui avions transmis, nous nous sommes rendus compte qu’elle nous avait trop réclamé d’avances, soit une erreur de 2 400 €. Si nous tenons compte des 844,37 € rétrocédées à l’été 2018, cette avocate a effectué une erreur de 3 244 ,37 €. Qui peut faire de telles erreurs ? Ce n’est pas du tout sérieux et cela manque de professionnalisme. Il est important de signaler qu’elle refuse de nous rembourser cette somme et qu’elle est protégé par le nouveau Bâtonnier.
3 000 € pour une requête administrative au profit du tribunal administratif de POITIERS. Elle n’a jamais transmis ses écritures ;
2 400 € pour une demande de mise sous Tutelle/Curatelle (non transmise) ;
715,63 € de frais de carburant et péages (frais comptés 2 fois, selon le bâtonnier) déplacement à POITIERS
En pièce jointe, veuillez trouver l’ordonnance de taxation d’Honoraire rendue par Monsieur de Bâtonnier de l’ordre, en octobre 2018 :
https://drive.google.com/file/d/1jL50kEtmB43zNMOFu1pLJ4o59RsOvKp9/view
En octobre 2018, elle a interjeté appel à l’ordonnance de taxation d’Honoraire rendue par Monsieur de Bâtonnier de l’ordre et en juillet 2019, le président de la cour d’appel de Montpellier l’a condamné à nous rembourser également la somme de 8 515,63 €.
En pièce jointe, veuillez trouver le Jugement de la cour d'appel de Montpellier :
https://drive.google.com/file/d/1FFLggaUv7gTz4jpLsxr4dh7jKF8OZV87/view?usp=sharing
Le Bâtonnier de l’ordre et la cour d’appel de Montpellier n’ont pris en compte que l’aspect financier et n’ont pas tenu compte de son comportement pitoyable et consternant et des conséquences de sa malhonnêteté sur notre situation. Elle n’a fait qu’aggraver notre situation et malgré les 2 condamnations, elle refuse de nous rembourser les 8 515,63 €. En janvier 2019, Il y a eu un changement de Bâtonnier, à savoir Maître LEVY Rémy et pour lui, le litige a été traité par son prédécesseur. C’est consternant qu’une telle avocate ne soit pas sévèrement sanctionnée car elle continu a extorqué des sommes faramineuses à ses clients.
En avril 2019, nous avons fait un signalement sur la malhonnête de cette avocate, au précédent Procureur de la République, Mr BARRET Christophe et nous avons été entendus par les gendarmes de Lunel. Le procureur avait d’autres éléments qui prouvaient que cette avocate était malhonnête. Selon les gendarmes, le procureur devait faite un courrier à Maître LEVY Rémy (Bâtonnier de l’ordre). Comme cette avocate refuse de nous rembourser les 8 515,63 €, en avril 2020, nous avons sollicité un Huissier de Justice (actuellement en cours).
Pour finir, cette avocate a fourni au précédent Bâtonnier 2 diligences contradictoires. Elle s’est permise de calculer ses honoraires, à partir des sommes réclamées et non, par rapport un travail réellement effectif. Le Bâtonnier de l’ordre, nous a fait parvenir en avril 2018, les premières diligences et à l’été 2018, le Bâtonnier nous a fait parvenir une autre série de « diligences » qu’elle s’est permise de dater au 30 décembre 2017 (facture récapitulative). Si elle était vraiment honnête et qu’elle avait vraiment effectué ces diligences au 30 décembre 2017, il n’y aurait qu’une seule « diligences » et elle nous aurait rétrocédée les 844,37 €, au courant du premier semestre 2018 et nous aurions retrouvé ces diligences dans le courrier du bâtonnier en avril 2018.
Nous ne sommes pas des juristes mais est-il normal d’avoir 2 diligences contradictoires ?
Diligences transmis par le Bâtonnier le 5 avril 2018.
https://drive.google.com/file/d/1lSEW0qFiyaq6VBeWZHqnz3MXQjWBgi8Z/view?usp=sharing
Diligences rédigées à l’été 2018 et datées au 30 décembre 2017
https://drive.google.com/file/d/1poUootE3S8q81WdiFBlf4lEM_v2RpXKr/view?usp=sharing
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