Pour ce procès, elle :
Nous a extorqué 18 960 €. Avec une telle somme, elle avait le devoir de nous défendre et défendre nos intérêts ;
N’a jamais respecté ses engagements ;
Nous a dissimulé des documents importants qui nous auraient permis d’avoir un jugement en notre faveur et équitable. Elle nous a notamment caché la dette de notre père, ses impayés et toutes les prestations de l’EHPAD (frais d’hébergement et frais de dépendance) car nous en avions longuement parlé avec elle et nous exigions d’une part, plus de transparence dans leurs tarifs et d’autre part, nous exigions qu’il nous justifie et nous détaille les frais de dépendance et les frais d’hébergement ;
Nous a fait payer des écritures qu’elle n’a jamais transmises. Il s’agissait d’une requête administrative, d’un montant de 3 000 €, au profit du Tribunal Administratif de Poitiers et d’une demande de mise sous tutelle, d’un montant de 2 400 €, au profit du Tribunal d’Instance de Châtellerault ;
N’a fait qu’aggraver notre situation.
Requête administrative
Nous exigions que cet établissement nous démontre que l’état de santé de notre père exigeait en 2015, un placement dans une structure médicalisée. Cette avocate nous a donc réclamé 3 000 € mais elle n’a jamais transmis ses écritures. De plus, elle n’a fait qu’aggraver notre situation car l’EHPAD n’était plus obligé de nous justifier son état de santé. C’est honteux, scandaleux et pitoyable de tels avocats !
Demande de mise sous curatelle
Nous avions peur que notre père s’endette et qu’il se retrouve avec des impayés. Nous exigions de notre avocate, de remettre rapidement notre père sous tutelle. En le remettant sous tutelle, nous aurions pu avoir grâce à un tuteur de notre choix, un contrôle de ses dépenses et nous aurions été en mesure de demander des éclaircissements sur les tarifs de l’EHPAD. Cette avocate nous a donc réclamé 2 400 euros mais elle n’a jamais transmis ses écritures et n’a fait qu’aggraver notre situation. En effet, en juin 2019, la Direction des finances publiques de Poitiers nous a fait savoir que notre père leur devait, une somme colossale de 24 185,20 €.
Nota : En septembre 2014, notre père s’était rendu, seul en Suisse pour consulter un spécialiste du dos et en novembre 2015, il avait effectué un retrait de 820 euros. Pour se rendre en Suisse, il était en mesure d’assurer lui-même, ses besoins vitaux et n’avait pas besoin d’aides pour préparer et réserver ses billets de train, payer son voyage, s’y rendre, changer de gare à Paris, payer son hébergement, se lever, se laver, s’habiller, se nourrir, effectuer des retraits par carte bancaire, se rendre en Suisse, payer ses repas, le taxi et prévoir son argent de poche.
En avril 2018, nous avons saisi le bâtonnier de l’ordre, à savoir Maître BERAL Bernard qui a condamné cette avocate, à nous rembourser 8 515,63 €. Dans les 8 515,63 € figuraient :
Une erreur de 2 400 € dans les sommes réclamées. En effet, nous lui avions versé 18 960 € et elle n’avait pu justifier au Bâtonnier que 16 560 €. A l’été 2018, elle nous a rétrocédé 844,37 euros et nous avons pu avoir par l’intermédiaire du Bâtonnier ses factures. En corrélant ses honoraires avec nos numéros de chèques, nous nous sommes rendus compte qu’elle nous avait trop réclamé d’avances et qu’elle avait fait une erreur de 2 400 €. En tenant compte des 844,37 € rétrocédées à l’été 2018, cette avocate avait effectué une erreur de 3 244 ,37 €.
3 000 € pour une requête administrative au profit du tribunal administratif de POITIERS. Elle n’a jamais transmis ses écritures ;
2 400 € pour une demande de mise sous Tutelle/Curatelle (non transmise) ;
715,63 € de frais de carburant et péages (frais comptés 2 fois, selon le bâtonnier) déplacement à POITIERS
En pièce jointe, vous trouver l’ordonnance de taxation d’Honoraire rendue par Monsieur de Bâtonnier de l’ordre, en octobre 2018 :
https://docs.google.com/document/d/1IWpQ4-MtDI69LPllVOZ2k53_iNK4CW196iHt-7MknPQ/edit?usp=sharing
En pièce jointe, veuillez trouver le Jugement de la cour d'appel de Montpellier :
https://drive.google.com/file/d/1FFLggaUv7gTz4jpLsxr4dh7jKF8OZV87/view?usp=sharing
Le Bâtonnier de l’ordre et la cour d’appel de Montpellier n’ont pris en compte que l’aspect financier et n’ont pas tenu compte de son comportement pitoyable et consternant et des conséquences de sa malhonnêteté sur notre situation.
En avril 2019, nous avons fait un signalement au précédent Procureur de la République, Mr BARRET Christophe et il avait d’autres éléments qui prouvaient que cette avocate était vraiment malhonnête. Selon les gendarmes de Lunel (34), le procureur s’était engager à faire un courrier au Bâtonnier de l’ordre pour lui dire ce qu’il pensait de cette avocate et nous n’avons pas pu déposer plainte car il n’y avait rien de pénal dans ce qu’elle nous avait fait.
Cette avocate est responsable de l’aggravation de notre situation car si elle avait défendu nos intérêts, nous aurions eu un jugement en notre faveur et l’EHPAD aurait été sévèrement sanctionné par la justice et il nous aurait dédommagé financièrement.
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