Exigeons la liberté vaccinale !

Les vaccins contre le Covid-19 ont été élaborés en urgence. Ils ne permettent pas d’avoir de certitude absolue sur les effets secondaires à long terme, notamment ceux liés à la technologie ARN, qui demeurent à ce jour méconnus. Voilà pourquoi le principe de précaution interdit l’obligation vaccinale, tout spécialement pour les enfants !

Il y a aujourd’hui 11 vaccins obligatoires en France, mais ce sont des vaccins qui ont fait leurs preuves pendant des décennies et sur lesquels on a un recul qui permet de conclure : ce n’est pas du tout le cas des vaccins contre le Covid-19 et encore moins de ceux qui sont basés sur la technologie ARN nouvelle, qui est utilisée sur l’homme pour la première fois.

Quels seront les effets à moyen et long terme de ces vaccins ?
Personne ne peut le dire.

• Il y a quelques mois, le discours officiel nous assurait que le virus ne pouvait pas être le fruit de bricolages humains et ceux qui évoquaient cette possibilité étaient moqués, vilipendés, traités de complotistes et de colporteurs de fake news : mais aujourd’hui les meilleurs spécialistes ont changé d’avis et ils enquêtent sur les nombreux indices qui accréditent l’hypothèse d’un virus d’origine humaine et d’une fuite du laboratoire de Wuhan.
  

• Il y a quelques mois, le discours officiel nous assurait que l’inscription de l’ARN dans l’ADN était impossible et ceux qui pensaient que c’était possible était également traînés dans la boue et traités d’incompétents ou d’obscurantistes : mais aujourd’hui les meilleurs spécialistes ont démontré que l’ARN du Covid-19 peut effectivement s’inscrire dans l’ADN et provoquer des Covids longs.
  

• Il y a quelques mois, le discours officiel nous assurait que les masques ne servaient à rien, que les tests étaient inutiles, que les traitements n’existaient pas, qu’il fallait prendre du doliprane, etc. mais toutes ces certitudes se sont révélées fausses avec le temps.
  

Quand on a proposé au ministre de la Justice que les détenus des prisons françaises soient vaccinés d’office, il a réagi : « Les détenus ne sont pas des cobayes ! Ils ont le droit de refuser la vaccination. C’est une question de dignité. » Et c’est évidemment pareil pour nous tous !

Nous ne voulons pas qu’on nous impose d’être des cobayes !

Il y a déjà eu assez de scandales sanitaires dans le passé (sang contaminé, Distilbène, Mediator, la Dépakine, les implants mammaires PIP, etc.) !

- La liberté, nous l’exigeons, car il ne peut en être autrement sur un tel sujet.
- L’égalité, nous la souhaitons, afin que personne ne se voit imposer un « pass sanitaire »
- La fraternité, nous la demandons, pour que ces demandes soient accueillies avec bienveillance.

La loi française, notre constitution, les traités européens et la jurisprudence impose normalement la liberté vaccinale sans limite, sans condition et sans restriction. Mais le Parlement s’apprête pourtant à discuter dans les prochains jours de l’obligation vaccinale ou d’un équivalent !

Nous n’en voulons pas, et nous devons être nombreux à le dire !

Le principe de précaution est rappelé dans notre Constitution depuis le 1er mars 2005 : nous sommes en droit d’exiger qu’il s’applique et que chacun soit laissé libre de se faire vacciner ou non.

Nous tenons à nos libertés individuelles !

Notre avenir et celui de nos enfants ne doit être décidé qu’avec notre consentement libre !

 Sources :

• Pour l'origine du virus, évoquée dans la LSDJ n°1277, alors que l’hypothèse d’une origine naturelle du virus semblait au début logique, puisque ce fut le cas pour les deux précédentes épidémies à coronavirus, la très forte capacité du virus à infecter des cellules humaines, alors que les expériences « d’amélioration » de coronavirus ont été menées à Wuhan, (comme nous le montrent des enquêtes), pose question. Au centre de tout cela, on trouve également un homme du nom de Peter Daszak. Il fut, via son association, le principal financier des expériences de Wuhan et en même temps celui qui s’agita le plus dans les médias et dans les publications scientifiques pour affirmer que le coronavirus avait forcément une origine naturelle ! À côté, même si tous les regards se tournent vers Wuhan, l’existence du virus dans les pays occidentaux avant même que sa présence ne soit détectée à Wuhan est un sujet sur lequel il semblerait également nécessaire d’enquêter.
  
• Pour la fixation de l'ARN dans l'ADN, des scientifiques, dont le professeur Christian Péronne, avaient alerté sur le risque que les vaccins à ARN puissent inscrire des morceaux du virus dans notre ADN. Ils avaient été traités, à l’époque, de complotistes, et on nous avait longuement expliqué que c’était impossible. Coup de théâtre, des scientifiques du MIT, dans une publication de l’Académie des sciences américaine, montrent que le virus peut inscrire son ARN dans notre ADN sans même avoir besoin du vaccin ! Quelles en seront les conséquences à long terme ?