syndrome du déni ( psychologie)
Le DENI ou la HONTE
Le déni est l'attitude de refus de prendre en compte une partie de la réalité, vécue comme inacceptable par l'individu. En psychanalyse, c'est un mécanisme de défense, par lequel le sujet refuse de reconnaître la réalité d'une perception ressentie comme menaçante et/ou traumatisante.
Au bout d'un moment, on se retrouve à devoir effectuer ce choix : soit j'accepte l'idée que je me suis trompé, ce qui entraîne un sentiment de honte plus ou moins intense, plus ou moins durable ; soit je choisis le déni et je refuse d'imaginer cette hypothèse inconfortable. Dans les deux cas, il y a de la souffrance : brûlures de l'ego dans le premier cas, choc brutal contre le mur de la réalité dans le deuxième cas. Mais le mur semble parfois tellement loin, presque abstrait, qu'il est bien facile de choisir la première option.
Il est terrible d'éprouver de la honte envers soi-même. Notre orgueil est impacté ; nous nous sentons faibles et idiots. Nous aimerions tellement préserver l'illusion infantile que nous sommes plus forts, plus intelligents et plus sages que n'importe qui ! D'où le caractère puissamment séducteur de l'autre option : le déni. L'orgueil est préservé, de même que le sentiment de contrôle, d'avoir raison. Les illusions sur soi persistent, la dure vérité est provisoirement écartée. Plus le temps passe, plus la réalité devient difficile à admettre. La réalité ne s'accepte pas par petits bouts indépendants, mais entièrement ou aucunement.
Au bout d'un moment, la personne se sera trompée tellement longtemps et tellement souvent qu'il sera d'une dureté effroyable d'admettre ses torts. Il est facile d'admettre s'être trompé sur quelque chose après un déni de cinq minutes, d'une journée, voire d'une semaine.Après plusieurs années, ce n'est plus la même chose.
Certaines personnes vivent dans le déni pendant une partie importante de leur existence, d'autres, toute leur vie. Le déni, lui, n'apporte que malheur et misère.On dévalorise trop souvent les émotions négatives : la peur, la tristesse, la colère la honte. On croit fréquemment qu'elles nous tirent vers le bas, qu'elles ne servent qu'à saboter notre joie de vivre.Mais si ces émotions étaient si nocives pour l'être humain, pourquoi en serions-nous affublés.
Les émotions dites négatives ont un rôle crucial à jouer : elles nous renseignent sur ce qui ne va pas dans notre vie, nous invitent à réagir avant qu'il ne soit trop tard. Il est indispensable d'éprouver de la peur, afin de se défendre ou de fuir devant une situation dangereuse. Il est indispensable d'exprimer sa colère afin de ne pas devenir malade de haine et de rancœur. De la même façon, il est indispensable d'embrasser sa honte si l'on désire progresser dans l'existence.
Seule cette conscience permet de devenir plus fort. Seul celui qui accepte la réalité peut espérer y gagner quelque chose. Celui qui, par contre, refuse la réalité, persiste dans le confort de ses illusions. Il sera constamment épuisé d'enjamber le fossé entre le monde imaginaire et le monde réel ; il se sentira progressivement coupé de sa famille et de ses amis, mis à part de ceux qui partagent ses illusions. La route du déni ne mène à rien d'autre qu'à l'épuisement psychologique, au malheur et à la perdition. Certaines situations personnelles engendrent un sentiment de honte injustifié et persistant ; ce n'est pas de cela dont il s'agit ici. La plupart du temps, la honte renseigne, éduque et fait grandir. Il faut donc l'écouter, avec courage et bienveillance, et ne jamais céder aux sirènes du déni.
Ces substances mortifères que les merdias s'obstinent à nommer des 'vaccins', n'en sont pas et les risques pour l'organisme de ceux qui le reçoivent n'a pas été estimé sur le long terme. Quant aux décès, accidents graves ou handicapants, c'est le silence radio de la part des autorités comme de la presse subventionnée. Quelle confiance accorder aux 'Labos-Providence' n'ayant d'autre quête que le bien du genre humain ? C'est une mesure de bons sens et de prudence que de refuser de se faire...ino-culer volontairement !
La campagne de vaccination passée et celles à venir sont totalement le fruit de décisions non compatibles avec le serment d'Hippocrate de préserver la santé!
L’imposture de ces dirigeants qui ont imposé un vaccin toxique et qui n’a pas démontré l’efficacité de sa protection contre la contagion et n’a pas réellement protégé
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