Stop au mercure dans notre environnement

ET en priorité dans les amalgames dentaires !

Comment cela direz-vous ? Il y aurait encore du mercure dans les amalgames dentaires ?

Eh oui ! 40 à 50 % de poison violent : Le mercure est le métal le plus volatile et le plus toxique de la planète (OMS)  :

- il est cytotoxique (tue les cellules),

- endommage la BHE (barrière hémato encéphalique) ,

- neurotoxique,

- oxydant,

- toxique pour le système immunitaire,cardio vasculaire, digestif, hormonal et reproducteur,

- néphrotoxique (reins),

- il entraîne une perméabilité de l’intestin,

- il infiltre les os à la place du calcium.

Les symptômes des électro hyper sensibles, des fibromyalgiques, et autres maladies « émergentes » montrent de questionnantes similarités à l’HYDRARGYRISME ou intoxication au mercure !

En voici les symptômes connus :

insomnie, fatigue, asthénie, épuisement, fièvres inexpliquées, essoufflement, douleurs articulaires et musculaires, palpitations, problèmes cognitifs de compréhension, mémorisation, lenteur, absences… décharges électriques, spasmes, contractions, migraines, infections diverses, sinusites chroniques, acouphènes, vertiges.

Il faut savoir que, comme le mercure qui va se concentrer chez les gros poissons qui mangent les petits intoxiqués, les mères vont se « nettoyer » en transmettant les toxiques (dont les métaux) au fœtus, et dans le lait maternel de génération en génération…

Aucun examen de recherche du mercure n’est remboursé par la Caisse d’Assurance des Maladies… (et non de la Santé). Seule une analyse d’urine (à votre charge) existe, qui sera envoyée à la Préfecture de Paris (??) ou l’on vous demandera de ne pas manger ni poisson ni crustacés 3 jours auparavant… (c’est dire l’état de nos mers…) Mais le mercure qui est stocké dans nos cellules (surtout les cellules graisseuses du cerveau) depuis des dizaines d’années… lui, ne se verra pas. L’analyse ne peut déceler que le mercure « circulant », c’est à dire dans le sang.

On le trouve dans :

- Les médicaments et préparations médicales  : Nitrate et borate de phenyl mercure, mercurio-thiolate et le très dangereux thimérosal. Thimérosal, thiomersal, merthiolate, mercurothiolate, sodium ethylmercury, thiosalicylate sont utilisés pour la stérilité de préparations médicales (gouttes ophtalmiques ou auriculaires ou nasales, solutions pour lentilles ophtalmiques, immunoglobines)

- l’alimentation : le poisson, certaines viandes, fruits et légumes,

- les vaccins,

- certains produits cosmétiques et dentaires, particulièrement pour blanchir,

- Les thermomètres, baromètres, les tubes néons et ampoules à économie d’énergie : ATTENTION !!! si vous les brisez, prenez toutes les précautions pour ramasser les morceaux, muni d’un masque, à mettre dans un récipient et porter à la déchetterie, aérer la pièce. Pas d’aspirateur, qui conserverait et redéposerait le mercure durant des années.

- certains produits de l’industrie chimique : pesticides, peinture, savons, recherche de l’or

Source de la totalité de l’article : Un poison violent dans nos bouches ! Par Danièle Bovin

Exigeons le retrait immédiat du mercure dans notre environnement !

photo biodelyance.com