Pétition
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Auteur :
Auteur(s) :
devos ghislain
539, rue des haudoirs
60400
Destinataire(s) :
Madame la ministre de la santé et des sports, Madame Roselyne Bachelot
J'ai adressé le 28 septembre dernier un courier à Monsieur le president de la république Nicolas Sarkozy.
Ce courier à été transmis rapidement à Madame la ministre de la santé et des sport qui à ce jou ne pas accusé réception.Je sais que mon courier et récent et que Madame la ministre à beucoup de travaim mais je pense qu'il à urgence et qu'il faut accélérer les choses.Ce courier et un cri du coeur et j'ai été trés émus a confier ainsi mon inquiétude et ma tristesse.
Voici ce que j'ai ecrit:
Monsieur le Président
Comme souvent je m’arrête chez mes parents en passant pour essayer de me rassurer ou de voire un impossible espoir d’amélioration.
J’entre sans frapper comme d’habitude il y a de la lumière et le poste fonctionne, il y a encore de la vie. Mon cœur qui battait plus fort ralenti, il m’a déjà dit si souvent dans ses moments de désespoir qu’il le ferait.
Je traverse le couloir et j’arrive directement dans la cuisine, maman et assise sur son siège médicalisée accoudée sur la table elle marmonne en pleurant « je ne comprends pas qu’est qui se passe, j’ai mal je vais mourir, je veus retourner cher moi maman papa ». En me voyant arriver une brève lueur d’espoir se lit dans son regard, je me dépêche de venir l’embrasser en insistant sur le « bonjours maman » pour qu’elle comprenne bien pendant un instant qui je suis et qui elle est.
J’essaie de lui expliquer que tout va bien qu’elle est chez elle, mais comprenant que se n’est pas moi qui l’à ramènerais à cet autre chez elle, elle se remet à pleurer et à implorer le bon dieu qu’il veuille bien l’emporter.
Je me tourne vers papa, le dos courbé et penché sur l’évier en train de laver sa petite vaisselle du soir. Il me jette un bref regard le temps que je m’aperçoive que ses yeux son rougis par la nuit épuisante qu’il à passée, par son problème oculaire qu’il ne traite peut être pas assez et par les larmes qu’il a versées en cachète.
Monsieur le président ceci n’est pas le début d’un roman mais bien la vie que nous menons au quotidien et que mènent toutes les familles atteinte de la maladie d’Alzheimer.
J’ai toujours crus en vous et je sais que cette maladie qui détruit plusieurs centaine de milliers de familles chaque année, était l’un de vos soucis pendant votre campagne.
Aujourd’hui si on veut être objectif les choses avance, mais si vous en parlez aux familles vous comprendrais alors leur détresse.
Ce que veulent les aidants s’est de garder le plus longtemps à domicile leur parent, mais la difficulté est souvent trop grande et les aides, existantes, mais encore très insuffisantes. Lorsque l’on sait le temps qu’il faut accorder à ces personnes malades vous comprenez vite que la souffrance morale et physique s’ajoute le soucis de pas pouvoir financer toutes les aides dont on aurais besoins et qu’on voudrais apporter à nos proches.
Sachez par exemple que outre les soins infirmiers auquel elle à droit, maman étant en GIR 2 (échelle qui classifie la dépendance, GIR 1 étant la plus grande) tout en versant 260€ par mois le reste des frais étant supporté par le conseil général environ 800 € par mois elle a droit à 51 heures d’aide par mois. Le souci reste de donc de pouvoir financer soit même plus d’heures en réglant en chèque emploi service.
Mais ce que veule par-dessus tout et ce dont rêvent les familles c’est bien évidement, le traitement le médicament qui nous rendrais notre être cher.
Il semble que ce médicament existe car des essais qui se son déroulés avec succès