Nous y sommes : la traque aux personnes non vaccinées a commencé.
Deux semaines seulement après un assouplissement des mesures qui nous faisait entrevoir le bout du tunnel, le gouvernement français a annoncé de graves mesures restrictives en prenant prétexte du fort développement du variant Delta(1).
Ces mesures liberticides reposent sur un contresens scientifique. Elles attentent au droit de choisir en conscience un acte médical.
L’an dernier, le mardi 24 novembre 2020, Emmanuel Macron s’y engageait : “le vaccin contre le Covid-19 ne sera pas obligatoire” (2).
Cette vaccination obligatoire a pourtant bel et bien commencé.
L’Etat avait d’abord choisi la stratégie de l’incitation : offre de cadeaux aux jeunes pour les inciter à se faire vacciner (3), opérations “une injection, une entrée offerte” dans les discothèques.
Mais devant des chiffres insuffisants, l’Etat est passé à la punition. “Nous allons faire porter les restrictions sur les non-vaccinés”, a tonné le Président.
Sans pass sanitaire, plus de liberté d’accéder aux lieux de cultures à partir de ce 21 juillet.
Plus de possibilité d’accéder aux restaurants, cafés et bars ensuite.
Et le plus fou : bannissement de tous les non-vaccinés des centres commerciaux… l’endroit où les 3/4 des Français font leurs courses !
Cette violence d’Etat nous prive de nos libertés fondamentales.
Jamais, en France, des actions de la vie quotidienne comme faire ses courses, pousser la porte d’un café, monter dans un train ou acheter un ticket de métro, n’avaient été conditionnées par la détention d’un pass sanitaire.
Les premiers qui en font les frais, c’est le personnel de santé.
Les soignants sont passés du statut de « héros » du premier confinement à celui d’élèves désobéissants auxquels il faut imposer la vaccination.
Quelle ingratitude !
Comment peut-on leur imposer une vaccination obligatoire alors que :
En décembre sera mis sur le marché le vaccin de SANOFI qui, contrairement aux vaccins ARNm, utilise une technologie “traditionnelle” éprouvée depuis plusieurs décennies. Ce vaccin devrait être approuvé au quatrième trimestre de 2021 (9).
Pourquoi ne l’attend-on pas ? Quelle est cette précipitation ?
Les lois internationale et française sont de notre côté, nous signataires de cette pétition.
Le Code de Nuremberg (1947) déclare que pour tout acte médical, “le consentement du sujet humain est absolument essentiel. (10).
Le Pacte international relatif aux droits civils et politiques, datant de de 1966 (11), stipule que “nul ne peut être soumis sans son consentement à une expérience médicale ou scientifique”.
La totalité des vaccins anti-Covid étant encore en phase 3, obliger quiconque à recevoir l’un de ces vaccins revient à le soumettre de force à une expérimentation médicale.
Dire NON à la vaccination obligatoire en préparation, c’est une nécessité pour protéger nos libertés !
Notre gouvernement doit :
Signez et partagez cette pétition pour faire valoir vos libertés et votre libre choix !
Auteur : Rodolphe Bacquet
Sources :
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