5 Avenues : Interdire l'ouverture de la salle de shoot près des écoles et crèches.
Pétition
2.036
signatures
Encore 2 964 signatures pour que cette pétition soit plus susceptible d’atteindre son destinataire !
Auteur :
Auteur(s) :
Des parents inquiets
Suivre cet auteur
Recevez l'actualité de cet auteur
Auteur suivi
Ne plus recevoir l'actualité de cet auteur
Destinataire(s) :
Gabriel Attal (Député des Hauts-de-Seine, président du groupe Ensemble pour la République à l'Assemblée nationale)
Aurélien Rousseau (EX Ministre de la Santé et de la Prévention)
La ville de Marseille
La pétition
Salle de shoot et sorties scolaires...
Quartier familial et sans histoire, les 5 Avenues risquent de payer cher le tribu de cette décision !
À deux pas de nombreuses écoles et crèches, à quelques numéros de Fissiaux, centre culturel et sportif de tous les enfants du quartier, va ouvrir une salle de shoot.
Projection : Il est 16h30, sortie d'école, rencontre fortuite avec Julien* (prénom choisi aléatoirement), Julien sort du 110 bld de la Libération. Julien plane complètement. Et là, la petite Camille*(idem : prénom fictif) croise Julien. Il est archi "perché", il la bouscule, hurle ensuite, tombe, se relève, hurle de nouveau... Les yeux vitreux, hagards.
Camille a 3 ans, elle vient de voir un monsieur "fou", effrayant, Camille ne dormira pas bien ce soir, ni les prochains soirs...
Alors on va dire "pauvre Julien, il est malade", sauf que Camille ne doit pas être témoin de tel spectacle.
Pour nos enfants, rejoignez moi.
2.036
signatures
Signez avec votre email
Encore 2 964 signatures pour que cette pétition soit plus susceptible d’atteindre son destinataire !
Veuillez sélectionner une option
Vous êtes sûr ? Votre mobilisation est importante pour que les pétitions atteignent la victoire ! Sachez que vous pouvez vous désinscrire dès que vous le souhaitez.
En signant la pétition, j'accepte que MesOpinions traite mes données à des fins de gestion de signatures et des commentaires. J'accepte également d'être informé(e) des actions citoyennes initiées via MesOpinions. Pour en savoir plus, sur ces traitements et sur mes droits, je consulte les conditions d'utilisation.
Au lieu de soigner ces malades, on leur donne leur dose et l’État pense avoir la paix. Malheureusement ça ne se passe pas comme ça. Il aurait fallu créer des places en psychiatrie, des prises en charge psychologique, mais depuis des décennies l’État a supprimé les médecins, les places dans les hôpitaux et il faut bien caser ces personnes quelque part. Donc, on les laisse dans la rue, on leur donne leur dose (avec nis impôts) et tant pis si ça met en danger le reste de la population ! Rappelez-vous le monsieur âgé qui s’était fait massacrer par une toxico en plein Paris il y a quelques mois…