Parvenir, à ce que les écoles maternelles, s’appellent désormais, EPE.
Parvenir, à ce que les école maternelles, ne s’appellent plus ainsi, mais plutôt, écoles de la petite enfance, de telle sorte que de façon inconsciente, notamment au sein de ces écoles, le rôle du père ne semble plus accessoire.
Le qualificatif de « maternelle », est un non sens.
Persister à les nommer ainsi, ça signifierait que l’on cautionne cette donne, ce que je désapprouve.
L’éducation nationale, recherche toujours de jeunes maitres masculins, notamment, pour faire face au manque de pères, dans des familles monoparentales, quand la mère élève seule son ou ses enfants.
"École de la petite enfance" alors, remettrait l’église au milieu du village, en restituant aux pères, dès la naissance, son rôle prépondérant, ou au minimum, sur un pied d’égalité, vis-à-vis de la maman.
Je n’ai, personnellement, absolument aucun doute sur le fait, qu’un homme soit parfaitement capable, de prendre soin et d’aimer un bébé, des sa naissance, pour peu qu’il le revendique, autant qu’une femme, et autant que la maman, et pour cette raison, je pense que cela, est parfaitement souhaitable.
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