Monsieur le président,
Une guerre asymétrique d'une démocratie contre des terroristes est perdue d'avance parce que ceux-ci peuvent frapper des civils n'importe où, n'importe quand et qu'ils souhaitent mourir pour leur cause. Quand vous en éliminez un, c'est cinq autres qui prennent la place.
La France n'a ni la responsabilité du devenir de la Syrie, ni les moyens stratégiques, humains et financiers d'obtenir des résultats.
Elle doit donc être réaliste et se désengager de ce conflit sanglant pour retrouver le chemin de la paix.
Vous êtes sûr ? Votre mobilisation est importante pour que les pétitions atteignent la victoire !
Sachez que vous pouvez vous désinscrire dès que vous le souhaitez.