Monsieur le Préfet, les responsables de la le maire de St-Paul,
Considérant que le restaurant Coco Beach ne respecte pas la réglementation en matière du domaine public maritime,Considérant que le contrôle du site des Florilèges en date du mardi 17 octobre 2017 a permis la fermeture administrative d'un des établissements suite à la saisie d'au moins
45 kg de viandes avariées,
Considérant que, qu'en application des codes de la consommation et du code rural de
l'article L. 231-1 et de l'article L.231-2 stipulant qu'un établissement menaçant la santé publique peut être voué à la fermeture de l'établissement ou l'arrêt d'une ou de plusieurs de ses activités,
Considérant que, le responsable du restaurant Coco Beach peut encourir d'une peine de prison ainsi qu'une amende pouvant aller jusqu'à 36 500 €,Considérant que, ce restaurant ne respect pas les normes de sécurités, ne respectant pas la norme d'hygiène, de respectant pas le Lagon, ne respectant pas les normes d'urbanisme, ne respectant pas les habitants natif de l'île en privatisant illégalement partiellement la plage de l'ermitage, respectant pas la préservation des sites et du patrimoine,
Considérant que la loi sur les AOT et la loi littorale ne sont pas respectées, et que la nuisance sonore est régulièrement constatée,
Considérant que, l'occupation illégale des paillotes sur les plages de Saint-Gilles amène à une diminution de l'espace de la plage que les créoles natifs de la Réunion étaient habitués de fréquenter,
Considérant que, la loi littorale entrée en vigueur le
3 janvier 1986 interdit la construction maritime et l'installation de paillotes sur les plages,
En espérant la destruction imminente et définitive de ce restaurant ainsi que d'autres restaurants des plages de l'île de la Réunion ne respectant pas la population réunionnaise ainsi que la loi littorale et le code de consommation instituée par les plus hautes instances.
Nous attendons des suites pénales, administratives de cette affaire et espérons votre contribution exemplaire à faire respecter la loi.
Cordialement,
Le kollectif kont akaparèr profitèr