Pétition
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Auteur :
Auteur(s) :
dominique devienne
rue de l'amitié
14330 sainte marguerite d'elle
Destinataire(s) :
Ministre des Finances
Monsieur le Ministre des finances,
Les prêts relais accordés aux citoyens sont dans la plupart des cas de grosses arnaques qu'il faut vérifier des plus près ce qui éviterait aux gens de se retrouver sans rien et de perdre ce qu'ils ont mis des années à obtenir.
Je m'explique. Nous avons obtenu ce prêt en 2006, un peu trop facilement mais à l'époque nous ne nous sommes pas méfiés. Avant de nous accorder le prêt la banque a envoyé un expert en immobilier pour évaluer notre bien, pourquoi se méfier à l'époque puisqu'il s'agit d'un expert donc un professionnel celui-ci a estimé notre bien et nous n'avons eu aucun mal à obtenir 70 à 80% de sa valeur sauf que cet expert était loin du compte et nous avons vendu notre bien 5ans et demi après avec plus de 90 000 euros de moins. Aujourd'hui on nous dit qu"il aurait fallu à l'époque, faire une autre estimation de la maison mais comment ne pas faire confiance à un professionnel. De plus, l'assurance sur le prêt ne couvre que mon mari, j'avais choisi une période de chomage pour changer de lieu d'habitation et entre temps j'ai été mise à l'invalidité partielle mais je ne suis pas couverte. J'ai eu l'occasion parce que j'ai un peu travaillé comme agent immobilier de rencontrer beaucoup de gens dans mon cas et nous croyons que le prêt relais est un réel problème. Au début, ce n'est pas cher, on vous demande de payer une petite somme mais si vous ne vendez pas vous ne pouvez pas payer le crédit qui vous est demandé ce qui est notre cas aujourd'hui malgré la vente de notre maison car entre temps les intérêts sont devenus conséquents alors nous nous attendons à ce que notre maison soit saisie et vendue mais à quel prix.
Nous demandons donc une plus grande surveillance des prêts relais pour que les gens ne risquent pas de se retrouver à la rue, à cause de négligence de certaines personnes, les banques et les experts.
Nous vous prions de croire, Monsieur le Ministre des finances, en l'assurance de notre haute considération.