Non à la répression et au harcèlement syndical à STEF Logistique (Vitry-Sur-Seine) !

Pour la démocratie et le dialogue social au sein du groupe, pour protéger la santé et la sécurité mentale des salariés élus du personnel, mobilisons-nous contre la répression syndicale et l’acharnement chez STEF logistique à Vitry-sur-Seine !

La CGT du groupe STEF dit stop aux méthodes managériales pratiquées par le directeur de STEF Logistique Vitry ! La CGT du groupe STEF ne cautionne pas la répression, la discrimination syndicale et l’acharnement antisocial dont fait preuve l’encadrement à l’encontre des élus CGT !

Des faits extrêmement graves et qui ont pour but de nuire à la CGT STEF Vitry S/Seine :

- La direction ne permet pas un dialogue constructif avec les élus CGT mandatés par notre organisation syndicale CGT. Elle met tout en œuvre pour rompre le dialogue social !

- Des menaces et des insultes sont proférées par des salariés à l’encontre des élus CGT, la direction ferme les yeux.

- Des élus CGT se font agresser dans l’entreprise, la direction refuse de laisser la police entrer sur le site. La direction n’a pas respecté son obligation de protéger les salariés.

- La CGT organise un barbecue revendicatif à l'entrée de l'entreprise pour dénoncer la répression syndicale au sein de l'entreprise et les mises à pied et les sanctions que les élus ont subies. Le même jour la direction organise un repas pour les salariés. La direction joue le jeu de la provocation et en plus elle demande le licenciement d’un élu CGT.

Les salariés et les élus CGT du groupe STEF, par cette pétition, demandent à la direction générale de faire cesser ces pratiques odieuses et de suspendre de ses fonctions le directeur de l’agence STEF Vitry S/Seine, pour n’avoir pas protégé le personnel et pour pratiquer la répression syndicale CGT dans l’entreprise.
Montreuil, le 23 mars 2015

La CGT du groupe STEF dit STOP au directeur de STEF Logistique Vitry et ne cautionne pas la répression, la discrimination et le harcèlement dont il fait preuve à l'encontre des élus CGT.
Ces faits sont extrêmement graves et ont pour but de détruire la CGT au sein de l'entreprise.
Quelques exemples :

- Dans le mois de novembre à décembre 2014, les adhérents de la CGT ont destitué M. **** de son mandat de DS CGT et ils ont voulu que M. TRAN DUC reprenne ce mandat.
Le directeur n'a pas voulu que M. TRAN DUC soit nommé DS CGT et voici ce qu'il a dit : dans un 1er temps il a dit aux élus CGT que M. TRAN DUC ne pouvait être nommé DS car il avait eu des ratures sur son nom aux élections professionnelles, ce qui est un mensonge car la loi lui permet d'être nommé DS.

Dans un 2ème temps il a dit à certains élus CGT que si M. TRAN DUC était nommé DS CGT, il fermerait sa porte à tout dialogue avec la CGT.

Le mercredi 26 novembre 2014 en salle de pause, le délégué syndical Jean/Tu TRAN DUC et un autre élu CGT se font insulter et menacer par un délégué syndical CFDT mais aussi par l'ancien DS CGT (qui d'ailleurs ne fait plus partie de la CGT) et par d'autres personnes hostiles à la CGT et cela devant plus de 20 témoins et tout cela orchestré par des membres de la Direction.

Le directeur de filiale a fermé les yeux sur ces faits et aucune enquête n'a été menée.
Le 12 décembre 2014 dans les bureaux, ***** menace de mort M. TRAN DUC, DS CGT, balance son portable par terre, ramasse les débris et s'en va avec.

De suite 3 élus CGT, et M. TRAN DUC appellent la police. Quand la police a voulu entrer sur le site, le directeur a refusé de les laisser entrer. Suite à ces faits et suite à une enquête CHSCT, bien sûr menée par la direction, M. **** sanctionne M. TRAN DUC par 5 jours non rémunérés et menace M. ******de licenciement s'il ne change pas de lieu de travail, qui par la suite s'est transformé par aussi 5 jours non rémunérés.

Tandis que ****** l'agresseur et le voleur de portable a eu que 2 jours non rémunérés et M. ***** dit que ***** n'a pas menacé et volé le portable de M. TRAN DUC. Sont-ce les agresseurs ou les victimes qui appellent la police ? Et pourquoi M. ****** n'a-t-il pas autorisé la police à entrer sur le site afin que la vérité soit faite ? Parce que le directeur veut détruire, enfoncer ces élus CGT dans un « trou ».

Le jeudi 5 février 2015, la CGT organise un barbecue revendicatif à l'entrée de l'entreprise pour dénoncer les mises à pieds et sanctions contre M. TRAN DUC et M. ****** et la répression syndicale au sein de l'entreprise.
Ce même jour, le directeur, pour contrer le barbecue de la CGT, organise en même temps un repas pour les salariés. Les élus CGT de l’entreprise ont voulu entrer voir les salariés, mais des responsables dont M. *****, leur ont barré la route dans les escaliers et ont bousculé M. ****, M. Tran Duc. M. **** responsable de gestion a tiré M. *** dans les escaliers pour le faire tomber par terre.

Suite à cela, M. Tran Duc et M. ****ont porté plainte au commissariat et ont eu 10 jours d’ITT. M. **** Directeur de filiale et M. *****directeur d’exploitation et, d’autres responsables par le biais de l’enquête CHSCT, retournent la situation et disent que M. *** a été bousculé violemment par M. ****, membre du CHSCT, et M. *** déclenche une procédure de licenciement à l’encontre de celui-ci.

De nombreux faits antérieurs et actuels à ces évènements ont aussi mis en lumière la répression syndicale et le harcèlement de M. ****directeur de filiale à l’encontre des élus CGT.

De ce fait la CGT du groupe STEF, par cette pétition, demande à la direction générale d’arrêter ces pratiques odieuses, et de démettre de ses fonctions M. *** Directeur de filiale STEF pour ces faits extrêmement graves.

Il est rappelé ici la présomption d’innocence des parties en cause, tant qu’une décision judiciaire n’a pas été rendue contre elles. C’est pourquoi les noms des personnes ont été masqués, mais pour la compréhension de l’affaire, le nom de la société et de sa filiale apparaissent bien.