Sauvons la ferme de creuse !

PÉTITION CLÔTURÉE

La ferme de creuse en danger ! A l'origine gîte d'étape, elle deviendrait une résidence secondaire.

C'est une ferme traditionnelle équipée, avec possibilité d’accueillir 54 lits et ayant une cuisine de collectivité flambant neuve. Cette ferme est aux normes pour handicapés.
Des séjours à la campagne y étaient organisés. C’était un gite d’étape, inscrit aux Gîtes de France ! Bref, une aubaine pour la vie locale, surtout dans la perspective du futur 11ème Parc National français.

Il y aurait 5 emplois possibles et la vie des animaux de la ferme serait préservée ! Le commerce et l'artisanat local étaient ravis de cette présence dans notre zone rurale fragile.

Faut-il rappeler que sur le canton de Recey, il n’y a plus d’hôtel et peu de structures de restauration ? Recey est situé en plein cœur du futur Parc National : nous devons avoir les structures pour.

Que se passe t-il ?

La ville de Dijon, propriétaire de cette ferme décide de la vendre. La commune de Recey ne peut pas, financièrement, l’acheter, mais elle pouvait avoir un droit de préemption (priorité). Une association a donc été créée dans la précipitation, afin que cette ferme reste dans le giron local.

Cette association Tous pour la ferme de creuse voulait perpétuer la vocation de cette ferme dans un respect écologique en préservant son aspect architectural, typique de la région. L’association a donc fait une offre de rachat à la ville de Dijon, à hauteur du prix moyen du patrimoine local.

Conclusion de l’affaire :

Le conseil municipal de Dijon, réuni le 15/12/2014 a décidé de l’attribuer à un particulier, afin d’en faire une résidence secondaire pour un prix curieusement très voisin de l’offre de l’association.
Ceci ruine toute possibilité de développement économique local car les installations de cette ferme vont être démantelées et elle sera fermée 10 mois sur 12 avec un risque non négligeable d’être squattée.

Pourquoi la ville de Dijon en a décidé ainsi ?

Les services de la ville de Dijon ont écarté la proposition de l’association, après avoir consulté deux élus locaux, le maire de la commune où se trouve la ferme et le président du Conseil Général de Côte d'Or. C’est une curieuse manière de défendre l’intérêt local.

Néanmoins, l’association existe toujours et tout espoir n’est donc pas perdu !

Si vous estimez que l’intérêt général doit primer, signez cette pétition qui démontrera que le poids d’une mobilisation locale pour ne pas mourir peut contrarier les mesquineries et l’égoïsme de la majorité du conseil municipal de Dijon qui compte se servir des fonds ainsi recueillis, pour financer un projet autour de Dijon.

Merci de votre soutien!